Allongé sur son lit, les bras croisés derrière la tête, Bruce repensait à tout ça. Il secoua la tête pour confirmer à Alistair qu’il pouvait aller se rafraîchir sans problèmes. L’espion ne savait pas trop dans quoi ils venaient d’être embarqués, mais une chose est sûre, ça craint. A travers la porte le major pu entendre la consigne suivante “ Fermez les volets et ne sortez pas”. Cette consigne le perturba quelques instants, dans quel genre d’hôtel on est ? Le sable n’est pas la seule raison d’autant de méfiance, il se redressa pour aller fermer les volets posant alors son regard sur le doc.
“Cet endroit est étrange. Pourtant j’en ai vu, dans ma carrière, mais ce cadre, les consignes douteuses. Je sais pas, il y a un truc qui me gêne.”
Alors qu’il retournait à son lit, d’un coup la lumière se coupa. Une main sur son arme, il mit quelques secondes avant de bouger. Préférant écouter, voir ce qu’il se passerait, c’est la voix d’alistair qui détendait le major.
“Ouais je suis là.”
Dit-il avec une voix basse ne sachant pas ce qui l’attend.
“Vous vous souvenez quand il y a cinq minutes je vous ai dit que cet endroit ne m’inspire rien de bon ? Et bien figurez-vous que cette impression ne fait que grandir.”
Il fouilla sa poche, à la recherche de son briquet.
“J’ai un briquet si jamais. Essayons de trouver de quoi s’éclairer, sans lumière nous sommes à la merci de la première menace.”
Puis l’espion se mit à regagner son lit à tâton pour tenter de trouver quelque chose à brûler. Sortant son briquet, il l’alluma, utilisant le peu de lumière qu’il offrait pour retrouver ses camarades, une fois chose faite ils devaient réfléchir à la suite du plan.
Retrouver Armstrong et Mustang quand ils auront fini leur caprices et comprendre ce qu’il ce passe ici.
“On fait quoi maintenant ? On cherche les Généraux, ou on essaye d’aller dans le salon ?”
2023-11-24, 10:33 am
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Adair Fletcher
Isolation
Mission Halloween
Tandis qu’Alistair occupait la salle de bain, notre médecin-en-chef s’était approchée de la fenêtre pour regarder distraitement ce qui pouvait se passer dehors. Pas grand chose étant donné qu’il faisait déjà bien nuit. D’ailleurs il ne fallut pas plus longtemps pour qu’on leur demande de fermer les volets sans doute pour éviter que ces derniers s’envolent ou finissent par fracasser une vitre. Etant la plus proche Adair s’exécuta, ne trouvant rien de suspect dans la consigne, même si le cadre de l’hôtel laissait un peu à désirer, tout comme la décoration… Mais qui était donc cette fillette dont le portrait était accroché au mur opposé ?
- J’ai vu mieux en effet. Répondit-elle tout en fixant le tableau du coin de l’oeil.
Puis la lumière vacilla un bref instant avant que la pièce soit plongée dans le noir.
- La tempête doit faire suffisamment rage dehors pour que les plombs sautent, lâcha-t-elle légèrement fâchée avant qu’Alistair ne sonde leur présence. Je suis aussi là.
Une petit boule de lumière finit par apparaître dans la pièce, maigre flamme d’un briquet que Bruce avait la chance d’avoir sur le moment.
- J’ai vu une vieille lampe à huile sur la table de chevet, elle doit sûrement servir pour ce genre d’imprévu.
Voyant que ce dernier avait mis la main dessus et l’avait allumé, la jeune femme s’approcha de lui soulagée. Après quoi elle regarda autour d’elle pour habituer ses yeux à la pénombre, avant de voir le major Van Helsing plus loin qui visiblement a été pris de court et se trouvait à moitié habillé.
- On devrait se rendre le salon, si ça se trouve ils sont déjà là-bas. Venez… Et remettez votre chemise Alistair...
Simple suggestion avant qu'il ne mette le pied dehors et se trouve face-à-face avec l'un de leurs supérieurs.
PrettyGirl
2023-11-26, 8:28 pm
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YOU PUT ME ON TRIAL, BUT YOU'RE DEAD ON ARRIVAL, BUT YOU'RE FUCKIN' IRRELEVANT
Tes sourcils se froncent face au brouhaha qui monte soudainement du salon : toi qui t'attendais à te relaxer un peu avant l'arrivée des autres, c'est raté.
Alors tu rouvres les yeux... avant de te demander si tu viens réellement de les rouvrir : il fait noir. Tu comprends maintenant mieux les cris de stupéfaction — ils ne sont pas nombreux, mais qu'est-ce qu'ils jacassent ! Pour autant, tu réfléchis à une solution pour apaiser ce petit monde et aussi comprendre ce qui se passe. Pourquoi paniquer de suite ? il peut très bien s'agir d'une simple coupure causée par la violence de la tempête de sable, non ? rien ne sert de dramatiser dans la minute. Bon, par contre, le peu de personnes dans ces quelques kilomètres carrés ne doit pas avoir... de briquet ou choses dans le genre. Et puis pas le temps de poser la question.
Réfléchis Roy, qu'est-ce que tu pourrais enflammer sans— le restant de Whisky.
Tu t'abaisses donc, partant à la recherche du verre, à tâtons. Et c'est tout naturellement en quelques secondes que tu trouves ce précieux trésor. Un petit claquement de doigt contrôlé devrait suffire à produire un peu de lumière en attendant de pouvoir te pencher sur ta valise. Il doit y avoir bon nombre de documents — personnels — que tu peux enflammer là-dedans.
« Ici le général Armstrong. Est-ce que l’un de vous est déjà arrivé ? Général Mustang, vous êtes là ? » tiens, pourquoi c'est étrangement à toi qu'elle pense en premier ? Sans doute parce qu'elle t'a laissé comme un chien sur le seuil ? mais tu n'as pas le temps pour les enfantillages et elle demeure tout de même ta supérieure.
« Je suis là. » Ta voix n'a rien d'avenant.
Une petite lueur grandit là où tu te trouves, t'arrangeant pour faire un rapide tour de la pièce du regard, t'assurant que tout le monde va bien. Une fois chose faite, tu te penches à nouveau vers ta valise et en ressors quelques documents que tu enroules assez solidement, de manière à en faire une sorte de flambeau. « Est-ce que tout le monde va bien ? » l'éclairage se propage à mesure que le papier se consume : heureusement que tu peux doser l'intensité, ça aura au moins le mérite de durer le temps que le responsable de cet hôtel miteux trouve de foutues bougies. Il n'arrivera pas à te faire croire que les coupures de courant sont rares ici et qu'il n'a pas une alternative, c'est logique en fait. Mais où est-il ? merde. Le verre commence à se faire chaud et assurément qu'il finirait par se briser avec de telles températures, alors tu étouffes le petit brasier avant de diriger ton regard vers Olivia.
« Il m'en faudrait une seconde. »
La personne âgée lisant son journal ne t'a pas échappée et c'est pour cette raison que tu marches vers elle avec prudence tout de même, venant tranquillement prendre le journal qui git au sol. « Nécessité de service, merci bien. » tu l'enroules avant d'en faire flamber l'extrémité et d'aller vers Olivia pour le lui tendre, sans lui adresser le moindre regard : osera t-elle seulement affirmer, dans l'instant présent que l'alchimie est mauvaise ?
« Il faut trouver le propriétaire et s'assurer que les autres vont bien. » car oui, le bien-être des autres à une grande place dans tes valeurs. « Le compteur ne doit pas être bien loin, je vais chercher le propriétaire. » pas le temps de niaiser, tu la laisses en plan, allant vers le comptoir en espérant y trouver quelqu'un, mais personne à nouveau. « Y-a-t-il seulement quelque chose de normal dans ce maudit hôtel ? » tu penches le flambeau plus vers l'avant, t'avançant plus dans le couloir — mais ne perdant tout de même pas de vue le salon, pour lancer d'une voix claire :
« Fletcher ? »
C'est le seul nom dont tu te souviens en fait, tu as toujours été mauvais pour retenir les noms.
”SI L'ON OUBLIE LES IDÉAUX, LES ILLUSIONS ; SI ON PARDONNE LES FAUX PAS, LES DÉCEPTIONS. JE TE PARDONNE.
Climat actuel : tempête de sable, ne sortez pas, car le sable pourrait bien vous trancher la chair. La nuit est tombée
L'hôtel est donc plongé dans le noir et l'électricité ne semble pas pressé de revenir dans l'établissement. Les gens qui sont dans le salon, se sentent un peu perdu et le vieux monsieur avait laisser son journal à Mustang, tandis que l'employé s'évertuait à installé des lampes à huile. Le vent au dehors faisait rage et les volets vibraient, mais paraissaient resté solide.
« tout ira bien, ce n'est pas la première fois que l'on essuie une tempête. »
Chambre 322 : Alors que la fine équipe pensait quitter les lieux pour rechercher leur supérieur.. Voila que le fracas d'un meuble qui tombait sur le sol, ainsi qu'un cri de douleur à demi étouffé se firent reconnaître. Des bruits de lutte, puis le silence. Nul doute que cela provienne de la chambre de l'étage du dessus... Bientôt, des bruits de fuite se perdirent dans l'hôtel, tandis qu'un pas très lourd, faisait à présent trembler le lustre de la chambre des trois officiers.
Les couloirs : Le propriétaire était dans une pièce qui se trouvait dans la zone privé, juste derrière le comptoir, il bataillait avec un employé pour remettre l'électricité. Mustang qui s'était aventuré dans les couloirs, cru apercevoir Fletcher, mais ce n'était pas le cas. Il tomba plutôt sur une ombre familière, qui venait des escaliers. Une ombre masculine qu'il ne pourrait pas bien voir en ne s'approchant pas avec sa lampe. L'homme ne chercha pas même à répondre et chercha plutôt à vouloir descendre, sans plus de cérémonie... Dans le mouvement, on pourrait croire qu'il portait un masque blanc..Quelque chose de médical.
« Poussez vous.... »
Une voix un peu impatiente et à la fois fortement familière, avant de se rendre compte qu'il avait affaire à un militaire.. Rapidement, il tenta de prendre la fuite vers les étages plus bas , repoussant avec force Mustang.
Alistair baissa les yeux sur son torse nu couvert de cicatrices, effectivement il n'avait même pas pensé à prendre sa chemise dans l'urgence. Il était sur le point d'aller la chercher quand les bruits de chute, de cris de douleur, lutte et fuite se firent entendre.
Et bien on dirai que les vêtements vont attendre... dit-il en remarquant grâce à la lampe de Bruce qu'il y en avait une autre prés de la porte ou il se trouvait sur une petite commode. Il s'approcha de son collègue pour l'allumer et alla ensuite ouvrir la porte de leur chambre, éclairant faiblement le couloir. Il grommela, regrettant de ne pas avoir une des puissantes lampes torches qu'ils utilisaient à Briggs. Il avançait lentement, le bras avec la lampe tendu devant lui et sa gunblade posé le long de celui-ci, le canon caché de l'arme pointé aussi face à lui.
Il entendit du bruit venant de l'escalier, il fit signe à ses camarades de se plaquer contre le mur tout en avançant.
Même en Enfer, Régner est digne d'ambition. Mieux vaux régner en Enfer que servir au Ciel.
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Alistair parle en #318CE7
2023-12-05, 8:14 pm
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Bruce Grayson
Bon déjà que l’endroit n'inspire pas forcément conscience, voilà que d’un coup plus aucune électricité, des consignes étranges concernant les volets. Comme si quelqu’un voulait se protéger de quelque chose à l’extérieur. Alors qu’il avait l’intention de sortir de la chambre pour aller chercher les généraux, des bruits venant de la chambre du dessus attira son attention ainsi que celle de ses camarades présents. Après avoir échangé un bref regard avec ses deux comparses, il sort son arme, vérifie qu’elle soit bien chargée et met une balle dans la chambre.
Arme à la main, il s’engagea dans le couloir, prêt à faire feu au moindre comportement suspect il arriva dans l’escalier, Alistair ouvrit la marche, Bruce se rapprocha du mur tout en montant les marche une à une avec le plus grand soin. Une fois à l’étage il dépassait Alistair, normalement le protocole exigeait qu’ils prennent le temps de tout vérifier, de sécuriser les lieux avant de foncer.
Mais une personne était en détresse.
Depuis quelques minutes il n’y avait plus aucun bruit, tout ça n'annonce rien de bon. Son expérience en tant que soldat le poussait à s’attendre à trouver un cadavre. Même s’il espérait que dans le pire des cas il y ait juste une personne inconsciente. Arrivé devant la porte, il resta silencieux, écoutant brièvement avant d'entrer.
Quelque chose n’allait pas, les pas lourds qu’ils avaient entendu se sont vite arrêtés. Comme si l’individu s’était évaporé, car même en montant il n’avait rien entendu. Il regarda ses deux camarades, voyant que tout le monde semblait d’accord pour intervenir il ouvra rapidement la porte, se décalant sur le côté pour laisser les deux autres entrer, il suivra pour les appuyer.
“Armée d’Amestris ! Si vous êtes là, signalez-vous immédiatement. Toute présence non signalée sera considérée comme hostile !”
2023-12-07, 1:17 pm
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Olivia Mira Armstrong
Un « je suis là » répondit aux appels de la blonde. Certes cela n’avait rien d’avenant, mais cette simple voix arracha un soupir de soulagement à la reine des glaces. Elle s’était vraiment inquiétée pour lui car quelque chose en ce lieu la rendait mal à l’aise. Une lueur apparut et des éléments appartenant au général Mustang devirent visible. Il était bien là et vivant.
- Vous me prenez pour la marchande d’allumettes ?
Répondit sèchement Olivia à cet opportuniste qui lui avait fait une demande hors de sa portée. Voilà pourquoi elle était un rang au-dessus. Elle savait faire usage des compétences de chacun et ne demandait jamais ce qu’ils ne pouvaient pas faire. Mais en contrepartie, elle exigeait que chacun se donne à fond. Dans sa réponse, elle faisait référence à un vieux conte pour enfant, celui qui parlait d'une gamine qui vendait des allumettes sous la neige pour pouvoir s'acheter un bout de pain.
Sans vraiment comprendre comment ni pourquoi, elle se retrouva avec un journal enflammé dans les mains en guise de torche. Elle devait bien admettre que cet homme savait doser son alchimie pour que le feu ne consume pas trop vite le papier. Et bien qu’il agissait comme un meneur, qu’il était certes mais pas ici, Olivia admettait qu’il avait raison. Seulement, il pourrait la regarder ! Elle enrageait intérieurement de ce manque de considération. Vraiment, pourquoi s’était-elle inquiétée pour ce gougeât ?
- Allez mourir en enfer !
Lança-t-elle en tournant les talons pour se diriger dans les étages, laissant le flame alchimist seul. En s’engageant dans les escaliers qui montaient, elle l’entendit justement chercher le maitre d’hôtel et appeler le docteur. Elle se conforta en se disant qu’il ne serait pas seul et qu’elle pouvait donc aller voir si les deux autres se portaient bien.
Munie de sa torche de fortune, elle montait dans les étages, mais au palier du second, le journal était presque consumé. Elle l’éteignit pour que le feu ne se répande pas et lâchât ce qu’il restait. Elle n’allait pas s’en encombrer.
- Tss… fichue alchimie…
Pesta-t-elle alors qu’elle se trouvait dans le noir à gravir le dernier étage qui la séparait de la chambre de ses hommes. Elle n’avait pas entendu le bruit du quatrième car à ce moment, elle était encore au rez-de-chaussée.
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Adair Fletcher
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Adair se para de son arme en entendant également le vacarme suspect. Vu l'urgence de la situation, elle ne rajouta rien à la remarque du major Van Helsing et les suivit avec prudence et détermination. Suivant celui qui ouvrait la marche, la fine équipe monta à l'étage pour voir ce qu'il en était. Devant la porte, elle eut un signe pour le blond, laissant ce dernier l'honneur de passer le premier avant que la porte se fasse défoncer et entra aussitôt qu'il fit le premier pas dans la pièce, prête à faire feu sur un quelconque ennemi...
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2023-12-17, 11:41 pm
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YOU PUT ME ON TRIAL, BUT YOU'RE DEAD ON ARRIVAL, BUT YOU'RE FUCKIN' IRRELEVANT
« Allez mourir en enfer ! » avec Ishval, c'est déjà à moitié fait ((n'en déplaise)). Les flammes ne sont pas toujours salvatrices, loin de là même, en témoignent tes méfaits ((pourtant auréolés de succès et de louanges flatteuses)) à la guerre.
Tu perçois un léger boucan de là où tu te trouves, avant de constater qu'une ombre est en approche, plutôt masculine à première vue. Pourtant, tu ne perçois pas grand chose, si ce n'est que— « Poussez vous... » tes yeux s'écarquillent.Cette voix.Kimblee. Mais tu l'as vu, tu es certain qu'il a péri par la force de l'explosion et par le feu, alors comm— ... son corps n'a jamais été retrouvé. Captain obvious. Tu sens une pression sur ton corps, de celles qui souhaitent une chute virulente. Dire que tu parviens à éviter le basculement serait mentir, mais tu as au moins le mérite de ne pas laisser la torche embraser le sol. Une chose est sûre cependant : tu as mal au cul. Ta mâchoire se serre. Pas le temps de faire dans l'émotionnel, ce n'est vraiment pas le moment. Et que trouverait donc à dire cette charmante Armstrong qui t'a pris de haut tout à l'heure lorsque tu as émis l'hypothèse que—
Enfoiré.
« Reviens ici ! »
Il n'y aura plus de vouvoiement pour cette ordure. Ton sang ne fait qu'un tour et tu te lances ((bien entendu)) à sa suite. Et il n'y a pas de garde-fou cette fois-ci — pas de Riza, de Corwin et encore moins de Jean —, la route est libre. Autant dire que ce n'est absolument pas une bonne nouvelle, pas pour Kimblee en tout cas. Il ne crèvera donc jamais ?
Entre le temps de te redresser et de te mettre en marche, tu l'as perdu de vue — si l'on peut dire, étant donné que tu dois énormément jouer avec le flambeau pour percevoir à minima devant toi.
« Merde. »
Tu nourris une aversion toute particulière envers cet alchimiste, tant son manque d'humanité est profond ; un gouffre incommensurable. Et c'est sans compter sur le dernier exploit accomplit la dernière fois que vous vous êtes affrontés : la blessure de Corwin. A cette époque, alors, il a osé porter la main sur l'un de tes hommes, avec la froideur qu'on lui connaît, sans aucun remord. Non. On ne touche ni aux tiens, ni aux civils. Hors de question que ça se reproduise. Il ne portera plus la main sur qui que ce soit. Il sera de nouveau arrêté ou il périra, littéralement, de tes mains : cette fois, tu t'assureras bien que c'est son dernier souffle.
Je t'ai trouvé !
Tu es certain de l'avoir entrevu sur la droite, dans l'un des couloirs. « Je t'ai dit de te stopper ! » Kimblee n'a jamais su te prendre au sérieux, te qualifiant de trop faible, d'inutile, d'innocent idéaliste. Combien de temps t'a-t-il seulement fait déjà perdre cet abruti ? Non, vraiment, c'est trop. Tu claques une première fois des doigts, visant ses jambes en première intention. « Hors de question que tu t'en tires encore une fois ! »
Tu aimerais exprimer toute la rage qui t'anime, claquer des doigts encore et encore, mais pour autant, tu dois faire preuve de retenue : il ne s'agirait pas de faire flamber le bâtiment, surtout pas. Avec la tempête de sable et les vies en jeu, ce n'est juste pas envisageable.
La course-poursuite continue dans les étages inférieurs et c'est après cinq bonnes minutes de course que la blessure à la jambe te rappelle à ton bon souvenir. Mais tu n'as pas le droit de te laisser aller, Roy, tu dois l'attraper. Si tu ne détales plus aussi rapidement qu'avant, tu as tout de même un petit rythme de croisière. Canard boiteux. Les autres sont visiblement tous en haut et par analogie, de l'équipe, il ne doit y avoir que toi en bas pour le moment. Le tout est de ne surtout pas se planter en descendant ces maudits escaliers.
Un bruit de porte t'interpelle et tu accours, refermant derrière toi. C'est à ce moment précis que le flambeau de fortune décide de totalement te lâcher et que tu te trouves obligé de te stopper, écoutant avec grande attention les bruits alentour. Tu l'as suivi ((enfin, normalement, à moins que ça ne soit pas/plus lui)), mais en vérité tu ne sais pas du tout où tu te trouves actuellement : êtes-vous encore aux étages destinés aux clients, ou bien, êtes-vous plus bas encore ? Peut-être est-il en plus plus familier avec les lieux ? Le moins que l'on puisse dire, c'est que tu pars avec un handicap dans l'immédiat. Mais tu es comme ça, Roy, impulsif et fonceur. Cette assurance démesurée — quasi suicidaire — t'amène d'ailleurs plus souvent d'inconvénients qu'autre chose.
Tu n'as aucune visibilité. Alors tu tends l'oreille, prêt à claquer.
Pourquoi l'électricité n'est-elle toujours pas rétablie ?
Tu tournes sur toi-même, espérant détecter quelque chose, un signe avant-coureur. Et puis, il ne peut pas se déplacer comme ça lui non plus normalement, enfin, dans la logique des choses. En plus de ça, il te semble que vous êtes dans une pièce relativement vaste et vide, petits échos à la clef.
« Je sais que tu es là. Ne me sous-estime pas. »
... car tu l'as déjà trop fait et ça finira par te mener à la tombe pour de bon. Néanmoins, il ne faut pas oublier à qui tu as affaire, Roy... Kimblee n'est pas n'importe quel alchimiste et est bien loin d'être un enfant de chœur. Il s'agirait de rentrer à Central sans être de nouveau amoché, si possible, mais là encore... ça semble pas mal compromis vu le poisson dans la mare.
Détestant attendre, tu tritures déjà le bas de ta chemise ((de la main la moins précise en alchimie)), à la recherche d'un morceau suffisamment docile pour se laisser déchirer afin de l'enflammer : outre ce besoin de le foutre à terre personnellement, tu as aussi cette nécessité de le voir en chair et en os ((et éclairé)) pour être certain qu'il s'agit bien de Kimblee.
« Je ne suis pas d'humeur à jouer à un, deux, trois, soleil. »
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Chambre 405 : La porte s'ouvrit donc avec force, sous l'action du Major Grayson. Cependant le manque de lumière n'aidait pas à voir grand chose.. Sous leur pas, quelques crissement de verre se firent entendre et ils devraient bien faire attention aux boules de billards qui gisaient un peu partout. Si l'on tendait bien l'oreille, on percevait un souffle lourd et puissant. Une masse se dessinait dans le fond de la pièce totalement mise en désordre. Le vent faisait vibrer les volets et passait partiellement par une fenêtre brisée, comme si on avait balancé quelque chose à travers, depuis l'intérieur. Lorsque la pénombre devint un peu plus lisible pour la vue de nos trois officiers, chacun d'eux purent constaté, que la masse n'était autre qu'une créature, qui se voudrait humaine, mais d'une taille imposante. Elle faisait bien dans les deux mètres et vu le tas de muscles, il ne vaudrait mieux pas se prendre un coup. … Soudain, la lumière se fit pendant quelques secondes, révélant un visage humain torturé par la peur et la colère. Ses bras étaient anormalement long et il ne semblait plus avoir de main, mais plutôt des tentacules. D'un mouvement large, il balaya la table de billard dans la direction des trois hommes, avant de charger droit devant lui, vers la porte de sortie qui menait dans les couloirs.
Les couloirs : L'homme jouait allégrement avec le sombres pour évité cet épineux problème qu'était Mustang.. Ce dernier l'avait donc reconnu malgré son masque et cette noirceur. Toujours ennuyeusement perspicace ce type.. C'est en pensant lui fausser compagnie, que des pas vinrent dans leur direction... Il allait se plaquer contre le mur, quand la lumière se fit soudainement ! Bordel, ils avaient déjà remis l'électricité ? Ce n'était pas le moment de succomber à la frustration. A la vue de ses adversaires, Il eut un sourire en coin, avant de rire.
« La Fabuleuse Olivia Armstrong, et le Grognon Mustang.. Comment se porte ta petite buse ? On l'appelle double face à présent ? »
Il portait un masque qui couvrait une partie de son visage, il était clair qu'il avait encore quelque reste de ce qu'il s'était passé la dernière fois. Kimblee s'arrangea pour les avoir en face de lui... et il Attrapa l'une des boules de billard qu'il avait gardé au cas où dan sa poche pour la jeter dans leur direction. Au moment ou elle explosa, la lumière disparue à nouveau.. Le revenant tentait à nouveau de leur fausser compagnie en courant dans le couloir..
A force de tourner et virer dans les couloirs et escaliers de l’hôtel, Olivia se retrouva dans le seul coin du bâtiment où elle aurait tout fait pour ne pas s’y retrouver. En compagnie de deux alchimistes. Ou du moins l’un l’était, c’était certain. Elle l’avait d’ailleurs envoyé au diable en le quittant quelques instants plus tôt.
La lumière fit son apparition pile au moment où Olivia arriva dans une pièce et vit un homme porter un masque. Du moins, elle supposait que c’était un homme. Toutefois, elle n’avait jamais vu cet individu et ne pouvait pas l’identifier à l’aide de sa seule corpulence, ni même sa voix. Si cet individu, était bien le Kimblee que prétendait avoir reconnu Mustang, Olivia n’avait de lui que des photos pour l’identifier. Avouez que cela n’aide pas. Lorsque l’homme tourna son visage vers elle, elle put apercevoir la moitié de ses traits. Elle devait bien admettre que les deux alchimistes, qu’étaient Mustang et Griffin, avaient bien foirés leur coup.
- Tsss… On ne peut vraiment pas conter sur vous général !
Dit-elle en s’élançant, la lame de son épée en avant, en direction de l’homme masqué qui avait eu le malheur de parler sur son petit protéger. Elle voulait le tailler en pièces. Car oui, elle portait une affection toute particulière à cette buse. Même si elle n’aimait pas que cela se sache. Elle avait tout de même caché sa rage derrière une petite remarque adressée à l’alchimiste de flammes.
En s’élançant de la sorte, Olivia ne put que se retrouver face à cette bille de billard qui arrivait dans la direction où elle se trouvait avec Mustang. Elle eut juste le temps de mettre son bras gauche devant elle pour se protéger. Au moment où elle pensait sentir une douleur en lien avec une boule de billard, elle sentit à la place la fulgurante douleur de résidus d’explosion lui lacérer le bras. Elle avait échappé de peu à la collision avec cette bombe.
- Merci…
Souffla-t-elle à Mustang. Car pour elle, cela ne pouvait être que lui pour l’avoir tirée en arrière. Il n’y avait pas à dire, il l’avait combattu et connaissait les habitudes de ce gaillard.
- Très bien. Vous connaissez ses capacités et sa manière de combattre. Quel est donc votre plan d’attaque ?
Elle devait bien avouer que seul Mustang pouvait prendre la directive des opérations à ce stade de la mission. Mais que faire quand la pénombre était de nouveau présente. Et si les propos de la blonde semblaient avoir été arrachées à sa propriétaire, c’était parce qu’elle serrait les dents plus de douleur que de devoir avouer sa faiblesse devant cet alchimiste. Elle ne doutait cependant pas que, dès qu’il le pourra, il fanfaronnera d’avoir eu le dessus sur elle. Mais ce n’était pas l’heure de penser à cela.
Le major blond suivit ses collégues dans la pièce sombre, la lame de sa gunblade posée à plat sur l'avant bras de son bras afin de la stabiliser pour tirer avec précision. Le spasme de lumière qui éclaira la pièce leurs montrât à quoi ressemblait l'occupant de celle-ci, le visage d'Alistair se figeât alors dans une grimace de dégout.
Encore une chimère ... gronda-t-il.
La créature balaya alors la table de billard en réponse à Bruce. Il tira Adair vers lui pour s'écarter de la trajectoire de la lourde table volante. Tombant au sol avec la jeune femme, mais ça ne l'empêcha pas se rapidement se redresser sur un genou pour tirer sur la chose qui les chargeait.
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Alistair parle en #318CE7
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Bruce Grayson
Au premier coup d’oeil le major n’avait pas remarqué la présence d’une chose, ce n’est qu’au bout de quelques minutes qu’il comprennait que quelque chose se tenait devant eux dans le noir. Bruce pointa son arme dans sa direction, il ne savait pas trop ce que c’était et ne voulait prendre aucun risque, une chimère ? Que ferait une chimère dans cet hôtel ? Une chose est sûre, elle n’avait pas l’air d'apprécier leur présence. La lumière éclaira quelques instants l’individu, un humain, modifié on dirait mais Bruce n’avait pas le temps de réfléchir, d’un mouvement rapide l’intru balaya la table de billard.
Du coin de l'œil il remarqua Alistair protéger le doc, Bruce lui se coucha par-terre pour éviter l’attaque. Une fois au sol, il prit une seconde pour se remettre de ses émotions, il tourna sur lui-même, avant d’ouvrir le feu sur celui qui venait de les attaquer.
Son arme pouvait tirer six coups, il en tira quatre.
Mais la créature charge dans le couloir, il ne devait pas le laisser sortir de la pièce. Aussitôt le major Grayson se lança à sa poursuite. Tout en courant il tira en direction du monstre, une fois ses dernière balles utilisées il rechargea il ne devait pas laisser cette chose s’en prendre à qui que ce soit.
"Merde !"
Pourquoi est-ce qu'il devait toujours se retrouver dans ce genre de situation, dès qu'il y avait un manoir tenu par un taré où il se passe des choses étranges, c'était pour lui. Pendant qu'il poursuivait le monstre, il se demandait s'il y avait vraiment d'autres clients, personne en semblait réagir à tout ce vacarme.
2024-01-16, 11:31 am
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∎ Date d'inscription : 10/06/2023
∎ Localisation : sans doute en train de glaner des informations à gauche et à droite à central (aka « rendez-vous galants ») // jamais bien loin de sa fidèle seconde
YOU PUT ME ON TRIAL, BUT YOU'RE DEAD ON ARRIVAL, BUT YOU'RE FUCKIN' IRRELEVANT
... et la lumière fut. C'est un Kimblee a moitié masqué qui vous fait face. « La Fabuleuse Olivia Armstrong, et le Grognon Mustang... Comment se porte ta petite buse ? On l'appelle double face à présent ? » tu es un sanguin Roy. tes sourcils se froncent, mais tandis que tu t'apprêtes à répondre — de façon plus ou moins véhémente —, voilà qu'Olivia s'affère, les deux pattes en avant : grave erreur. Il ne faut surtout pas agir de la sorte avec un Kimblee... qui a souvent bien des surprises plein les poches. « En arrière ! » la scène défile vite, mais tu as le temps de tirer la blonde en arrière, interceptant son épaule tout contre ton torse. Un claquement de doigts de la main la plus précise et voilà la bombinette qui se désintègre — n'épargnant, malheureusement, pas totalement la blonde. Il y a un timide merci qui passe un peu à la trappe car tu te rends compte qu'avec cette seconde coupure d'électricité... Kimblee se fait à nouveau la malle.
Pas le temps de vanner la blonde sur son incompétence face à un alchimiste.
« Très bien. Vous connaissez ses capacités et sa manière de combattre. Quel est donc votre plan d’a— » « Tout va bien ? » pas le temps pour faire la causette, d'autant plus qu'il a fait la chose à ne pas faire avec toi : il t'a provoqué et a porté atteinte à la vie de quelqu'un d'autre. Elle est ta supérieure dans le cadre de cette mission, mais elle n'en demeure pas moins humaine avant tout. Et puis... une personne lambda face au Crimson Alchemist ? suicidaire. Tu l'as déjà assez vu à l'oeuvre pour savoir qu'Olivia y laisserait assurément sa vie : vous étiez deux la dernière fois et pourtant... il n'a — visiblement — pas rendu l'âme ; pas de bol. Un plan d'attaque. Pas le temps pour un plan quelconque — si ce n'est celui de barrer les sorties, quoi qu'il ne risque pas de sortir de la bâtisse au vu de la tempête de sable dehors.
Tu ne t'en sortiras pas comme ça.
Sans donc répondre à Olivia, tu attrapes son bras et la traînes avec toi, te souvenant de où se trouve la sortie de la pièce. Tu t'arranges pour placer Olivia bien en arrière, mettant un bras en barrage, de manière à ce qu'elle ne puisse pas outrepasser la frontière et risquer de se brûler les ailes. Et puis... tu claques des doigts.Une fois. Deux fois. Trois fois.... la quatrième est plus large. Les flammes noircissent le sol et ta frustration est complète : il faut que ça l'atteigne à tout prix, qu'il soit au sol. Il faut qu'il périsse cette fois, qu'on en parle plus ! Ce type est un poison, une pourriture sans nom. Cette joie qu'il avait à descendre des civils. Ce besoin de sang. Ces pauvres victimes récentes. Ce n'est juste plus possible. Tu crois en l'humanité, mais croire en Kimblee... te semble tout simplement impossible, il a beaucoup trop dépassé les bornes.
Il a sauté dans ce qui semble être des escaliers. Merde.
Sourire nerveux. Okay, jouons au chat et à la souris. Il ne peut pas sortir non plus, hm ?
Il y a le brouhaha qui semble venir de plus haut... Elle veut un plan d'action ? très bien. Allons-y.
« Vous n'aurez aucune chance face à Kimblee. » au moins, la messe est dite. Elle peut prendre ça pour de l'arrogance que toi tu dirais que tu fais ça pour lui sauver les miches. Non, vraiment, faisons autrement. « On dirait qu'il y a du grabuge à l'étage. » la suite est bien prévisible quand on sait combien tu fonces tête la première. « Je me charge de lui, assurez-vous que Fletcher et les autres vont bien. » pas le temps de la laisser répondre que tu te précipites vers les escaliers pour partir à la suite du criminel. Ce n'est pas que tu veux te donner un air héroïque, mais tu as besoin de le saigner de tes propres mains, de lui faire comprendre que tu n'es pas n'importe qui et qu'il ne faut surtout pas sous-estimer le Flame Alchemist. Et sans mentir, Olivia serait peut-être un poids pour toi dans cette poursuite, tant tu veillerais à vos arrières à tous les deux face à ce timbré.
Il faut que tu prennes par contre garde à ce qu'il ne pousse pas sa folie meurtrière plus loin et ne vous ensevelisse tous sous les décombres de cet hôtel. Il y a des civils. Et autant dire que des pièges, sur ton chemin, tu en évites, manquant même parfois de te bouffer des trucs pas franchement sympathiques.
Vient le calme complet, celui où tu ne sais officiellement pas de quel côté il est passé : chose promise, chose due ; tu arraches un épais bout de ta chemise pour commencer à le faire se consumer. Est-il passé à gauche ou à droite dans ce couloir ? Tu as confiance, il ne peut aller bien loin. Il faut le pousser à descendre au plus bas du bâtiment, de manière à le bloquer officiellement, le mettre au pied du mur. L'ayant perdu de vue, tu inspectes les environs calmement, de gauche à droite : un mouvement et tu claques des doigts, qu'il en soit certain. Le souci dans cette mission ? tu ne connais pas du tout les lieux.
”SI L'ON OUBLIE LES IDÉAUX, LES ILLUSIONS ; SI ON PARDONNE LES FAUX PAS, LES DÉCEPTIONS. JE TE PARDONNE.
∎ Localisation : Hôpital militaire de Central City.
∎ Fonction : Médecin chef de l'armée, officieusement séparatriste.
∎ Grade : Major
Staff.FMA
Adair Fletcher
Isolation
Mission Halloween
Adair n'eut le temps de faire quoique ce soit qu'Alistair vint la tirer brusquement pour lui éviter une violente confrontation. S'étalant dans les débris de verre, elle se redressa brièvement avec un léger grognement de douleur avant de voir une masse noire charger à côté d'eux. Les quelques éclats de lumière peu avant avaient révélé une créature monstrueuse aux bras tentaculaire doté d'un visage humain. Une apparition si fugace qu'elle se demandait si son esprit ne lui jouait pas un tour face à la forme invraisemblable de leur ennemi...
Puis des coups de feu s'enchainèrent tandis que la jeune femme parvint à se redresser, non sans mal, avant de voir s'élancer ses compagnons d'infortunes à la suite de la bête. Un peu fébrile sous le choc et la douleur, elle constata que sa chair était entaillée à quelques endroits à cause du verre et en retira même un morceau tranchant avant de serrer les dents et de reprendre en main son arme pour les suivre dans le couloir.
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