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Event - Un instant d'insouciance - Bal des Armstrong
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Le Père
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Le Père
Bal des Armstrong



La belle est fâchée. La petite Griffin a été extraite de sa cellule sous le quartier général de Wrath, Envy était fou de rage de l'avoir laissée filer et surtout d'avoir raté le Fullmetal Alchemist de peu, mais ce n'était qu'une péripétie. D'autant que maintenant, pour remplacer la petite Griffin, ils avaient désormais deux cibles de choix, à condition qu'elle donne son aval. Et pour en être certaine, autant se glisser l'air de rien dans la soirée organisée par la famille Armstrong ; avec un peu de chance, au moins l'une de leurs nouvelles cibles s'y trouverait.

Pour se fondre dans la masse, la belle troque sa robe à décolleté trahissant sa nature d'homonculus pour une tenue plus sobre, une robe noire qui couvre son tatouage, une perruque rousse plutôt discrète ainsi qu'un maquillage léger, se contentant d'un rouge à lèvres, d'un peu de blush et d'une touche de mascara ; inutile d'en faire trop, elle est là en repérage, ça devrait suffire.

Une fois prête, elle se fait conduire jusqu'au lieu de la fête, montrant son invitation obtenue auprès de Wrath, et se mêle à la foule. Juste à temps pour voir ce dernier s'afficher afin de délivrer un discours qu'elle est bien obligée de reconnaître comme étant efficace ; c'était bien pour ça que Père l'avait choisi pour remplir le rôle de Généralissime auprès de ces pathétiques humains.

Lorsqu'il termine, il s'éloigne, et la belle se met à déambuler parmi les invités, échangeant quelques mots avec des invités pour ceux qui croisent sa route, et son regard se pose sur le Flame Alchemist. Ainsi, il est venu, et accompagné qui plus est... Bien. Elle va donc le surveiller le temps de la soirée, et pour ce faire, elle se dirige vers le buffet et attrape une coupe de champagne, l'air ingénue. Pour l'instant, il ne se passe rien d'intéressant, mais peut-être que la soirée sera malgré tout riches en enseignements sur Mustang. Quel dommage que le Fullmetal ne soit pas présent, elle aurait pu faire d'une pierre deux coups...


Mar 22 Aoû - 14:18
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Roy Mustang
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Roy Mustang
valse ; subst. fém.Danse de salon standardisée, à trois temps, avec une légère accentuation sur le premier, exécutée par couple et en tournant ; air sur lequel elle se danse.
Pas de traces du Fullmetal, et encore moins d'Alphonse : il faudrait d'ailleurs que tu penses à convoquer le nabot pour quelques détails et rapports, au vu des récents évènements — auxquels tu n'as pu participer compte tenu de ta mauvaise condition physique. Sans doute auront-ils préféré le bal populaire... ou pas d'ailleurs : les festivités ne sont en rien obligatoires et les humeurs du Fullmetal ont tendance à tellement fluctuer qu'on ne sait plus à quel saint se vouer. Sans doute aura t-il été poussé par Pierre, Paul ou Jacques à assister à la fête. Tu le sauras bien assez tôt.

Le monde afflue.

Sûr que l'ambiance n'est pas comparable à celle de chez Madame Christmas, mais elle a au moins l'avantage de rassembler bon nombre de grosses têtes du coin, autant fréquentables qu'imbuvables : c'est un tout autre univers. Ton cerveau n'a de cesse de s'activer, n'en déplaise à la doxa. Tu es comme ça et pas autrement, bien que ce ne soit pas objectivement la première chose que l'on puisse retenir de toi. Le moindre petit détail est important. Le moindre son suspect. Le plus insignifiant des comportements.

Toutes ces informations sont de l'or en barre.

Les donzelles sont toutes bien fardées ce soir et tu te prends à jeter quelques œillades un peu trop indiscrètes — brièvement (tu n'es pas un porc non plus) — vers certaines convives : nombreux sont les militaires à ne pas t'apprécier pour ce côté je-te-pique-ta-moitié, mais... tout n'est pas nécessairement de ta faute, ils devraient l'entendre. Ce n'est pas de ta faute si elles accourent souvent vers toi. Tu adresses justement un sourire et un geste de la main à l'une d'entre elles, charmante petite brune à l'œil vif. Toutes ont décidemment tronqué leur uniforme si couvrant pour revêtir une tenue plus habillée : une robe longue, pour la plupart — le dieu des mini-jupes n'a donc pas entendu ton appel, dommage.

Les convives sont sans doute tous arrivés.

On ne compte plus les bêtes de foire — dont tu fais partie — présentes ce soir. Tes pensées volettent quelques secondes durant jusqu'à Maes. Aurait-il seulement assisté à cette soirée s'il était encore en vie ? où en seriez-vous actuellement, ensemble, au niveau de l'armée, avec les dernières découvertes ? Deux années se sont écoulées, et pour autant, tu ne peux t'empêcher d'y penser. Ton esprit galope.

L'arrivée du Généralissime te tire de ta torpeur.

Sacré cérémonial pour un Homonculus. Quelle fanfare. Tu plisses légèrement les yeux. Quel sourire hypocrite. Vos regards se croisent ; s'accrochent, pour être plus exact. C'était quasi inévitable en fait. Loin de baisser les mirettes, tu gardes la tête haute. À quoi est-ce qu'il s'attendait d'autre ? Les œillades de ce personnage ne sont jamais anodines. Commettre le moindre petit faux pas ce soir serait la pire des erreurs, mais pourtant, bien loin de porter son discours dans ton cœur, tu ne lèves aucun verre et n'applaudis assurément pas : c'est comme un mécanisme, Roy, que de ne plus répondre à ses attentes à présent, consciemment comme inconsciemment. Tu ne t'en rends plus vraiment compte. Si d'autres s'en sont aperçu ? peut-être bien que oui, peut-être bien que non. Et après ? Il pourrait se trouver dans le plus gros des merdiers actuellement que tu n'accourais pas le moins du monde — disons que ça t'arrangerait, ça aurait au moins le mérite de faciliter ton ascension. Tu ne peux empêcher à une légère crispation de tes mains à sa simple vision : tout te ramène à l'hypocrisie sans nom dont il avait fait preuve le jour de l'enterrement de Maes. Un spectacle bien ficelé à même de tromper tous les convives. Rien que pour ce fait, tu le hais de tout ton corps. Et quoi ? il faudrait que tu montes sur l'une des tables pour énoncer la triste réalité que l'armée est gangrénée ? qui te prendrait seulement au sérieux ? Non, il faut il aller avec des gants, subtilement, et ça prendra le temps que ça prendra.

Une fois le discours achevé, tu suis sa trajectoire et—

« Êtes-vous en état de m'inviter à danser quelques pas, Général ? » que... vient-elle de demander ? C'est un nouveau revirement plutôt inattendu. Tes pommettes virent à l'incarnat et, alors que tu t'apprêtes à répondre quelque chose, la blonde te coupe déjà la chique. « Ou préférez-vous d'abord vous rendre au buffet afin de voir ce qu'il y a à grignoter ? [...] » non, en fait, tu restes surtout baba de sa demande. Mais qu'a-t-on fait au Capitaine Hawkeye ? manger ? quelle idée saugrenue, hors de question maintenant que la proposition de danser a été formulée et— « Et n'oublions pas d'aller les saluer, d'ailleurs, c'est ce que nous allons faire de ce pas. » saluer la famille Armstrong. oui. bien entendu. Enfin, de toute façon tu n'as surtout pas le choix, déjà entraîné par la cavalière à ton bras.

La salle de réception est vaste et bondée, tu ne peux assurément pas capter tout ce qui se passe dans les environs — l'attitude du Major Andersson envers la plus jeune des Armstrong, entre autres —, mais sans explication aucune, ton regard est derechef happé par Olivia qui virevolte aux bras... d'un inconnu ? forcément que ça fait jaser autour et il faut bien avouer que tu es le premier à être étonné de cette démonstration de danse. Le Général serait donc friand des pas subtils ? rions ensemble : il n'y a rien de délicat chez cette très chère Olivia et encore moins une once de féminité — excepté ce soir, apparemment (décidément, ces dames sont pleines de surprises aujourd'hui). Même pas certain qu'elle connaisse la définition du mot délicatesse, c'est pour dire. Il faudra noter ce jour d'une croix sur le calendrier au bureau et savoir lui ressortir en temps et en heure. Tout n'est que compétition chez les militaires et tu consens que la blonde ne t'apprécie pas outre mesure car, au-delà de ton jeune âge, tu as une carrière bien plus... fulgurante que la sienne ? c'est la vie ma pauvre Lucienne. Mais cet inconnu...

Coup du destin.

Bradley se trouve justement avec les Armstrong. Hawkeye. Hawkeye, ce n'est pas la bonn— Tu la forces à se stopper, freinant de tes pieds : être en face-à-face direct avec le Généralissime n'est pas une bonne idée, vraiment pas. Peur ? non, ce n'est pas la peur qui t'habite face à cet homme, c'est une toute autre émotion. Mais il ne faudrait pas que l'on te sorte pour insubordination, pas ce soir : on a dit pas de vague Mustang. Diversion. Diversion. Diversion. Beaucoup mettront ce revirement sur le dos de ton manque de maturité alors qu'il n'en est rien. Absolument rien. Tu vous préserves tous les deux, ce n'est pas la même chose. Riza ne sera sans doute pas dupe, mais passons outre cette pensée pour le moment. Bingo ! « Dansons, j'adore justement ce morceau, il serait frustrant de le manquer. Nous irons voir les Armstrong par la suite. » à son tour de ne pas avoir le temps de rétorquer quoi que ce soit. Il sait qu'Hawkeye — tes subalternes aussi, mais plus spécifiquement Riza — est ton point faible, tu n'as rien à lui apprendre à ce niveau, bien que tu te refuses de l'avouer tout haut. Par contre, hors de question d'emporter cette canne idiote pour danser : tu la laisses adossée à la table la plus proche. Si elle ((Riza, pas la canne, entendons-nous)) ronchonne ? devinez.

« Où en étions-nous déjà ? ah oui. Collez-moi un peu plus. »

C'est bien le seul moment où tu peux lui faire ce genre de demandes, non ? autant en profiter. L'homme se doit de diriger la danse. Trois temps. Il n'y aura ni remarque, ni réprimande en cas de mauvais pas de madame — tu ne savais même pas que Hawkeye savait danser. Le but est de la guider, de la faire évoluer, de créer une sorte d'osmose. Tu n'es pas un as de la danse non plus, mais disons que Madame a su t'inculquer quelques bases rudimentaires. Une valse. La logique voudrait qu'au moins une largeur d'épaules vous éloigne, mais tu grignotes quelques centimètres, voulant — consciemment ? — profiter de sa présence. Ta main droite vient se placer sous son bras, atteignant l'omoplate, tandis que ta main gauche vient chercher sa main droite.

« Savez-vous valser, Riza ? »

Tu t'approches de son oreille, petit sourire en coin.

« Fermez les yeux et laissez-vous guider, détendez-vous. » un murmure tendre, une petite invitation à se laisser aller, à se laisser guider. « Tout doucement. Parfait. » tes iris se fixent sur son visage, scrutant le moindre millimètre de peau ; diaphane, tout comme la tienne. Il faut vraiment qu'elle apprenne à se détendre. Son grain de peau est régulier, les cheveux lui tombant sur les épaules lui vont à merveille.

Si seulement la vie était plus simple.
Tu t'autorises à ton tour à fermer les yeux.

Un cocoon de douceur auquel vous n'êtes tous deux pas habitués. Vous tournez, tournez, tournez — dans le vide. Les temps ne sont pas tout à fait respectés, la faute à une jambe en compote, mais tu prends plaisir à partager ce moment avec elle. Valser avec le Capitaine Hawkeye... que l'eût cru ? que penserait seulement feu Berthold de ce rapprochement corporel avec sa fille ? Tes yeux s'ouvrent. Si tu as envie de laisser innocemment tes mains glisser le long de ses courbes ? de profiter de la pureté de son corps ? assurément. Mais restons correct. Tu vois déjà son ombre planant aux côtés de son ange blond, le regard soupçonneux : pas certain qu'il approuverait une telle liaison si certaines choses devaient se concrétiser et, dans le fond... compte tenu des emplois que vous occupez respectivement, serait-ce une si bonne idée que ça ? les relations personnelles dans votre milieu sont tellement mal perçues. Pensons à autre chose, ce n'est qu'une danse après tout, pas une demande en mariage. Et puis de toute façon, il n'est en aucun cas question de liaison dans l'instant et il n'en sera sans doute jamais réellement question — à ton grand damne — alors... pourquoi se torturer l'esprit ? non, vraiment, inutile. Respire, Mustang. Voilà qui est mieux.

Pourtant.

Oui, pourtant, quelque chose te dérange. Et tu dévies, laissant ton regard inspecter discrètement autour au fil des pas — ce qui n'est pas chose aisée, entendons-nous. Les visages défilent toujours un peu plus. Tu sens un regard, tu as l'impression d'être observé : n'est-ce pas ce que l'on nomme plus communément sixième sens ? L'une des premières choses que tu croises ? le duo que forment Olivia et son cavalier : tu adresses un air amusé à la première

« Belle délicatesse, Général ~ » tu aimes lui lancer des punchlines, tu n'y peux rien. Il paraît que qui aime bien châtie bien ? hum.

Et tu en reviens à tes moutons.

Vous n'êtes assurément pas les seuls à valser, alors on ne peut sans doute pas imputer ce regard à la fantaisie de la danse, mais... non, vraiment, ça te tracasse. Tu tentes au mieux de ne rien montrer, tout sourire, redirigeant tes pupilles vers la blonde à tes bras. Vous passez justement tout prés du buffet à ce moment précis. « Heureuse de danser aux bras du beau et merveilleux général Mustang ? » ce genre de boutades est habituel chez toi, n'est-ce pas ?

Elle.

Le roux de sa chevelure finit par attirer ton œil : ce n'est pas une couleur capillaire que l'on retrouve fréquemment ici-bas. Ravissante, vraiment — mais prends garde Mustang, ravissante ne veut pas dire innocente. Son visage ne t'est pas familier. Étrange qu'elle se trouve encore seule, avec les nombreux lourdauds qui peuplent la salle — et dont tu fais forcément partie. Peut-être vient-elle d'arriver ? une chevelure rousse, ça se remarque en général. Elle t'intrigue, outre son apparente beauté — sans fioriture aucune. Il te semble même que son regard accroche le tien à répétition entre les pas échangés avec ta partenaire. Peut-être vous connaissez-vous en fait ? ou une femme du quartier général ? tu peux parfois avoir la mémoire courte, surtout suite à ta dernière mésaventure.

Encore une œillade.

Demander à Hawkeye si elle sait de qui il s'agit ? Ce serait assurément déplacé compte tenu de la danse en cours et surtout du fait qu'elle soit ta... cavalière ce soir. Faisons profil bas pour l'instant.

Attendons la fin de la valse et nous verrons.

Tes yeux viennent trouver refuge dans ceux de Riza, continuant fièrement à guider vos pas. Ta jambe te ferait un mal de chien que tu n'arrêterais pour rien au monde — c'est l'un de ces moments que l'on souhaite voir s'éterniser.
Anita Codes


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Mar 22 Aoû - 16:50
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Alexis Andersson
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Alexis Andersson
Le généralissime fit son entré et se mis à parler. Mais je ne relâchais pas mon attention de la petite souris qui se trouvait sous mes yeux. Je gardais tout de même un œil attentif à ce qu’il se passait dans la salle. C’est ainsi que je pu constater que le général Mustang avait était plutôt proche de sa capitaine. Je me demandais si derrière cette apparence glaciale, la petite blonde s’enflammait pour le brasier ?

J’eu également la surprise de voir la reine des glaces sourire. Elle est donc capable de de sourire ? qui l’eut cru… Et qui est parvenu à ce résultat ? Nul autre que le terrifiant général Hawat. La sorcière serait donc éprise de cet ogre ? Remarquez, entre monstres, il n’y a rien de surprenant. Je dirais même que cela peut être très intéressant. Dangereux, mais intéressant. Finalement, je ne regrette pas d’être venu. En plus d’un petit rossignole dans mes filets, même si ce point était optionnel, j’obtiens d’agréables information.

J’allais reporter toute mon attention sur la jeune Armstrong quand je croisais le regard de son ainée. Je me contentais de lui adresser un sourire charmeur. Intérieurement je savourais ce moment où elle devait, sans doute, vouloir me tuer sur place. D’ailleurs quand elle le put elle tenta de venir à moi. Serais-je en train de mettre la main sur son précieux trésor ? Pourtant, je n’ai rien trouvé sur un quelconque attachement à sa famille. J’ai sans doute loupé quelque chose d’essentiel. Heureusement, la furie fut interceptée par… Tiens, tiens… Je ne le connais pas celui-là… En tout cas. Il me sauve la mise.

J’allais donc pouvoir revenir à ma précieuse collecte de baisers sans me soucier de l’ours des montagnes quand son major vint nous interrompre. Il n’y a pas à dire, elle sait s’entourer cette bonne femme. Je loupais les lèvres de peu car la petite se ravisa. Celui-là, je lui réserverai le même sort que sa reine… Je cachais ma frustration derrière un sourire jovial.


-        Vous avez raison. Demandons-lui…

Ledit homme confirma mes dire mais précisa que ce fameux combat d’entrainement avait eu lieux en janvier. Sa petite sœur précisa alors que c’était pendant l’hospitalisation d’Olivia… Evidemment, si on remet en place le contexte justifiant un affaiblissement du colosse…

-        Il faut être prêt en toute circonstance… Mais, au fait. Connaissons-nous l’identité de l’individu qui a su blessé cette indomptable général ?

Indomptable… Avec tout ce que je voyais ce soir, je commençais à douter. Elle serait donc humaine ?

Un autre couple de danseurs se rendit sur la piste. Le célèbre général Mustang et sa capitaine. On voit très nettement que leurs rapports ne sont pas que professionnels. Mais, il y a-t-il des sentiments ? Vu comme l’homme regarde les autres femmes de la soirée, j’avoue avoir un doute. Mais il peut très bien être comme moi. Aimer les femmes, mais n’en aimer réellement qu’une. Ce qui n’empêche en rien de partager un moment de tendresse avec une autre… Mais son regard semble accroché par… Jolie rousse. J’irai bien la voir quand je me serais débarrassé de ces gêneurs… De toute façon, je n’obtiendrai plus rien de la petite Armstrong.

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Event - Un instant d'insouciance - Bal des Armstrong - Page 2 79d24612
Mar 22 Aoû - 17:16
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Vadim
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Vadim



Event - Un instant d’insouciance



Tenant la main de sa nouvelle cavalière, Vadim profitait pleinement de cet exploit, il était entrain de danser avec Olivia Armstrong. Cependant, il faisait bien attention de ne rien laisser paraître, il sortait de nulle part, si quelqu’un venait à se poser des questions concernant son unité, il serait rapidement découvert. Inutile de préciser ce qu’il se passerait si l’un des soldats ici présent, découvrait son identité. Mais est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? Complètement. Il payerait chère pour voir leur tête à tous, quand ils comprendront qui il était et ce qu’il a fait. Arrivant sur la piste de danse, Vadim tenait une main de sa cavalière, tout en posant la sienne au niveau de sa taille.

Voici la première question de la soirée, il sourit légèrement, avant de poser son regard sur sa partenaire du soir.

“Bien évidemment, tout un tas. Mais pour être honnête, aucune ne vous arrive à la cheville.”

Il bougeait en rythme, s’adaptant à sa partenaire. Il ne pouvait pas le nier, elle était vraiment très belle, cette beauté qui contrastait avec son caractère de ce qu’il avait entendu dire. Vadim ne la quitta pas des yeux, ce serait un manque de respect, du moins de ce qu’il avait lu. Fallait dire, les soirées mondaines de la sorte n'étaient habituellement pas dans ses habitudes.

De plus cette situation l’agaçait profondément. Une partie du peuple de ce pays vit dans la misère, certains n’ont même pas de quoi manger à leur faim. Puis voilà que tous ces soldats pourris jusqu’à la moelle dansent et s’amusent. Dépensent à n’en plus compter, ce généralissime qui se pavane comme un coq au milieu de son poulailler. Vadim n’était pas un enfant de cœur, loin de là, il volait, tuait mais il ne laissait personne mourir de faim.

“Sinon, comment vivez-vous cette soirée ? De ce que j’ai pu observer vous ne semblez pas être dans votre élément. Je vous comprends tellement, ces endroits où l'on est obligé de faire bonne figure, une vraie plaie.”

Cette soriée le dégoutait au plus haut points, sans parler de cette femme avec qui il partageait un moment en principe agréable. Elle était l’une des leurs, elle ne valait pas mieux, la toucher était une épreuve, mais il devait le faire. Quand il pense à l’annonce qu’il va passer, ça en vaut largement le coup. Imaginez, tout le gratin de l’armée d’Amestris rassembler pour une fête et au milieu, un fugitif, évadé de la prison de Central, ayant tué plusieurs de leurs camarades.

Heureusement pour lui ce n'était pas une danse trop compliquée, il n’avait pas beaucoup révisé. Shani l’avait complètement abandonné, alors oui sous prétexte qu’il lui marchait légèrement sur les pieds, il avait terminé son apprentissage avec Jake. Une chance que personne d’autre n’ai vu ça.



Ven 25 Aoû - 23:18
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Le Père
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Le Père
Un instant d'insouciance

∎ Bal des Armstrong - Avril 1916
La musique ayant reprit, beaucoup de couples se formèrent sur la piste de danse. Son Excellence buvait tranquillement son verre de champagne tout en contemplant avec un certain ennuie tout ce petit monde. Mais cela ne se voyait pas le moins du monde derrière cette façade des plus officielle de sa part. Il eut presque un son moqueur quand il remarqua que le Général Hawat s'était rapprocher d'Olivia Armstrong, avant de se faire ravir la place par un parfait inconnu. Voilà qui était cocasse.  Puis son œil unique s'attarda sur une nouvelle entrée, celle de Lust. Il ne pouvait pas ne pas la reconnaître. Certes il lui avait conféré une invitation, mais il espérait surtout qu'elle saura retenir tout les potins les plus importants de cette soirée, des bouches les moins discrètes, à l'aide de ses charmes et de l'alcool qui était présent en cette soirée.  Le Généralissime la regarda longuement pour offrir un contact visuel, lui rappelant sa tâche.

Puis enfin, il se détourna d'elle pour constaté que l'on ennuyait un peu trop la plus jeune de cette illustre famille. Il ne connaissait pas tellement  les deux Majors qui se tenaient devant elle, mais il connaissait leur noms. Quand ces derniers se présenterons, il fera rapidement le lien avec le Nord mais aussi avec la Section 9. S'approchant donc, et saluant brièvement le Commandant Armstrong,  il usa d'une voix mi autoritaire, mi de convenance à une soirée.. Il était toujours aussi bon à ce jeu là...

« Messieurs, il serait préférable que vous laissiez cette jeune fille profiter de sa soirée. Vous ne croyez pas ? »

Son œil s'attarda sur les deux officiers du même grades, alors que l'on semblait croire de loin, qu'il ne faisait que discuter...Donc personne ne s'alarmait et ça laissait le champ libre à Lust pour faire ce qu'elle avait à faire.

….........................................................

HRP :

Le Généralissime est joué au dé pour ses diverses réactions envers vous..

Il n'y a pas d'ordre de postage, soyez juste logique avec vos partenaires et ce qu'il se passe autour de vous.
Vous avez  15 jours pour répondre, au delà, le PNJ postera.
Ce poste concerne :    @Olivia Mira Armstrong   @Roy Mustang  @Daneel Hawat  @Riza Hawkeye    @Alexis Andersson  @Vadim  @Alistair van Helsing  @Rebecca Catalina

Lun 28 Aoû - 11:46
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Daneel Hawat
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Daneel Hawat
•RAPPORT : AVRIL - 1916•
•Si sa présence eut le dont de surprendre Olivia, Daneel retint tout de même ce petit sourire de sa part. Mais cet échange qui promettait d'être des plus agréable, fut brutalement interrompu par un homme dont il ne connaissait rien, qui invitait sans la moindre gêne, la Général à danser. Évidemment, légèrement prise de court, elle ne put refuser et était déjà entraîné sur la piste de danse. Voila qui ne fut pas pour plaire à notre homme du sud qui en fronça des sourcils, alors qu'il tenait sa coupe de champagne.. Il l'a vida d'une traite pour la déposer sur le plateau d'un serveur qui passait par là. Blasé, c'est bien le terme de ce qui tenait en cet instant, le Général Hawat. Du moins intérieurement, car extérieurement, il restait pareil à lui même dans son uniforme officiel. Ses lèvres s'entrouvrirent légèrement.. Le voilà donc seul à nouveau. La belle affaire. Son regard s'attarda brièvement que le Généralissime qui s'était rendu proche de la plus jeune des Armstrong, avant de revenir rapidement sur Olivia qui dansait avec cet inconnu. Il analysa ce dernier, ne notant rien de familier. Voila qui était frustrant. Mais dans un sens, Daneel ne pouvait pas non plus aller s'agacer pour rien, dans une soirée comme celle ci. Il y avait des manières et même s'il appréciait beaucoup cette femme, elle ne lui était aucunement réservé. C'était donc le jeu et la patience était quelque chose d'utile dans ce genre de situation. Aussi, le Général préféra attendre son retour.

Il se contenta de se frotter un peu la barbichette, et tourna un peu les talons pour aller se prendre un autre verre, passant non loin de cette belle inconnue qu'il ne connaissait pas plus..Attrapant donc une flûte il se mit à savourer ce  champagne d'un bien grand cru, tout en écoutant la musique. parfois, notre officier venait à glisser un regard sur la piste de danse.. croisant pendant quelques secondes, la présence de Mustang et de sa Capitaine. Il y en a au moins qui s'amusent. Mais après tout, si ce Général là était là, c'était sûrement aussi pour se faire reconnaître et possiblement se faire quelques avis positif de la part  des grandes familles. Quoi de mieux pour monter dans les hautes sphères.

Daneel n'en avait que faire de ce genre d'ascension. Ce qui le préoccupait c'était de faire son devoir, rien de moins et rien de plus. Pourtant, il savait pertinemment bien le jeu auquel jouait cet arriviste.. Et il était même devenu un allié. Qui l'aurait cru.  C'est donc aux portes de l'ennui que Daneel buvait son verre.. Observant cette femme blonde et à la robe rouge, tournoyer sur la piste.

•Tleilax•

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«Ne te trouve jamais en compagnie de quelqu'un aux côtés de qui tu ne voudrais pas mourir.»

Lun 28 Aoû - 21:02
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Olivia Mira Armstrong
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Olivia Mira Armstrong
Entrainée sur la piste de danse Olivia suivait son cavalier. Elle ne saurait dire s’il dansait bien ou mal. Et s’en fichait pas mal du reste. La danse n’était pas son fort. Elle avait bien pris quelques cours dans son adolescence avant d’entrer dans l’armée. Mais elle avait toujours eu deux pieds gauches. Et de ces leçons, il ne lui en restait pas grand-chose. D’ailleurs, elle venait d’écraser le pied de son cavalier. Mais elle ne s’excusa pas. Après tout, s’il était un vrai gentleman, il ne broncherait pas. Sans compter qu’un bon cavalier saurait la guider parfaitement en… Non. Elle préférait ne pas penser à l’éventualité que cet inconnu ne la serre encore plus contre lui pour la guider au mieux. Cette pensée la mit si mal à l’aise qu’elle ne vit pas tout de suite que le flam alchimist était également entré sur la piste de danse. Mine de rien, elle avait quand même ouvert le bal avec cet inconnu. Elle qui s’était jurée de ne pas danser ce soir.

Et s’agissant de connaitre l’unité de son cavalier, la blonde n’avait pas les idées assez claires pour avoir cette présence d’esprit. Il répondit à sa question en la complimentant. Etait-il idiot ou le faisait-il exprès ? Savait-il que la reine des glaces était insensible à ce genre de flatteries ? Pire encore, elle détestait qu’on la ramène à sa condition de femme. Certes, sa tenue ne laissait pas d’autre choix que de la voir, ce soir, comme une femme avant de la voir comme un officier de l’armée. Mais tout de même, elle n’en était pas moins général. Elle décocha un sourire de face, un de ces faux sourire forcé, en guise de réponse. Mais était très expressive de visage, on avait pas de peine à savoir qu’elle n’en pensait rien. Que c’était pour faire bonne figure.

Dans un coin de la pièce, Olivia aperçoit son major qui vient sortir Catherine des Griffes de ce rouquin. Soulagée, elle tente d’apercevoir Daneel mais croise le regard de Mustang qui semble s’amuser de la situation. Cela finit par achevée sa mauvaise humeur. Olivia grimaça à la remarque de cet arriviste. Elle serra les dents pour ne pas répliquer. Elle serra la main de son partenaire, à la limite de la lui broyer, pour ne pas envoyer soin poing dans la figure de Mustang. Si bien qu’elle ne vit pas le généralissime se rapprocher d’Alistair, et donc de sa sœur. Elle perdit également l’objectif de voir Daneel. Il n’était plus là où elle l’avait laissé. Et à force de tournoyer, elle en perdait ses repères. Mais l’homme avec qui la blonde dansait sut capter à nouveau son attention.

Non cela ne lui plaisait pas. Et pour diverses raisons. Elle n’aimait pas ses mondanités, ses faux semblants, toujours tout basé sur l’apparence. Ses soirées n’étaient rien de plus qu’un étalage de richesses qu’elle ne cautionnait pas. Bien sûr, elle ne crachait pas sur le fait de vivre richement, ou du moins d’offrir une certaine sécurité financière à sa cadette. Mais elle, préférait la vie rustique du nord. Olivia savait se contenter de peu. Et quand la nourriture venait à manquer à la forteresse, elle subissait, au même titre que ses hommes, le rationnement. Elle n’hésitait pas à partager sa ration avec les blessés pour qu’ils en ai plus pour se rétablir plus vite. Alors oui, cet étalage de richesses la dérangeait. Mais elle ne pouvait pas le dire. La décence, dans ces soirées, était de cautionner le tout.

La décence ? depuis quand respectait-elle les traditions ? Depuis quand se pliait-elle à la convenance ?


-        J’aurai encore préféré combattre Drachma. La montagne à bien plus à offrir que les faux-semblant de ce soir.

Oui. Pourquoi cacher qu’elle préférait la vie rustique des montagnes de Briggs ? C’était la vérité. Elle était connue pour avoir un caractère aussi indomptable que ces chères montagnes. Alors pourquoi le cacher ? Elle resterait fidèle à elle-même et dirait ce qu’elle pensait.

-        La prochaine fois, j’aimerais vous proposer une toute autre danse. Nous parlerons à travers nos épées. Je trouve cela bien plus plaisant.

Avouer qu’elle préférait se battre, était en général une manière de faire fuir ces petits arrivistes qui cherchaient à la séduire, elle l’héritière des Armstrong. Car nulle n’ignorait qu’en mettant la main sur l’ainée de la fratrie, on mettait aussi la main sur les richesses de sa famille. Et s’il fallait se faire transpercer pour y arriver, d’autres jeunes femmes moins aisé, faisaient un parti moins risqué.

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Jeu 31 Aoû - 14:24
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Vadim
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Vadim


Un instant d’insouciance



La Générale Armstrong avait un tas de qualité, mais elle était piètre danseuse, Vadim malgré la douleur il continuait de danser, ignorant parfaitement les gestes maladroits de sa partenaire du soir. Cette femme mourrait d’envie d’être ailleurs, il n’y avait pas besoin d’être le plus grand des génies pour le voir. Soudainement elle venait lui serrer la main, avec tellement de force qu’il dût serrer les dents pour ne pas broncher. En regardant autour de lui, il se disait qu’il n’allait pas devoir traîner, beaucoup de monde commençait à approcher de la piste. Dans peu de temps il se retrouvera proche de certains militaires qui eux n’auront pas de voile créé par le champagne.

Son regard se posait de nouveau sur sa partenaire lorsqu’elle répondait à ses questions. Un faux sourire de complicité se dessinait sur son visage.

“Je comprends parfaitement. Tellement d’hypocrisie, tous sont ici uniquement pour être vu.”

Dit-il. Vadim le pensait vraiment, s’il le pouvait il ferait sauter cet endroit avec tous ses occupants. Sans aucune autre forme de procès.

“ Dans ce cas, j’accepte votre proposition avec plaisir. La prochaine fois que nous nous verrons, ce sera pendant un combat.”

Le voleur l’avait bien compris, elle n’était clairement pas en état de contrôler son identité, elle aura sans doute oublié cette soirée le lendemain matin. Cependant, lui qui faisait semblant jusqu’ici était très sérieux, la prochaine fois qu’ils se croiseront, ce sera sur un champ de bataille, ça elle pouvait en être sur.

Plusieurs longues minutes de danses, avant que la musique ne prenne fin. Du moins la première, mais s’en était assez pour notre voleur. Une fois la musique arrêtée, comme tout bon gentleman, il salua sa partenaire avec une légère révérence avant de se redresser, pour la regarder une dernière fois.

“Je vous remercie pour cette danse, Générale. Je vais laisser ma place aux autres, visiblement vous n’êtes pas prête d’avoir la paix. Ce fut un plaisir. Je vous souhaite une bonne soirée.”

Il lui montra rapidement les quelques cavaliers potentiels qui n’osaient pas inviter celle qui avait une réputation d’être aussi froide et dure que la glace. Vadim profita des gens qui affluaient dans son sens, pour disparaître dans la foule. Il ramassa au passage quelques collations pour la route, descendit un verre de champagne presque cul sec avant de filer d’ici.

Il en avait assez fait pour ce soir.



Jeu 31 Aoû - 17:10
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Riza Hawkeye
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Riza Hawkeye
Un instant d'insouciance - Bal des Armstrong


C'est avec surprise que Riza se retrouve embarquée par Mustang, qui semble davantage préférer son invitation à danser - si l'on peut appeler ça une invitation - plutôt que d'aller saluer les Armstrong, lui lançant :

Dansons, j'adore justement ce morceau, il serait frustrant de le manquer. Nous irons voir les Armstrong par la suite.

Un coup d’œil du côté des Armstrong permet à la capitaine de repérer la présence du Généralissime, et elle hoche la tête, suivant Mustang sur la piste et lui lançant un regard noir lorsqu'il pose sa canne avant de reprendre :

Où en étions-nous déjà ? ah oui. Collez-moi un peu plus.

Riza s'exécute, le laissant poser sa main droite sur son omoplate et sa main gauche prendre la main droite de la capitaine, et rosit lorsqu'il lui demande :

Savez-vous valser, Riza ? Fermez les yeux et laissez-vous guider, détendez-vous. Tout doucement. Parfait.

Les yeux de Riza se ferment légèrement, ses épaules se détendent sensiblement, et elle se laisse guider, se hasardant à poser sa tête sur la poitrine de Roy. C'est le seul moment où elle peut se permettre, au moins quelques instants, baisser légèrement sa garde et profiter de l'instant. Elle ne sent qu'à peine Roy se tendre, mettant cette tension sur sa jambe qui doit lui faire mal, et elle ne s'en offusque pas. Une valse avec lui, à cet instant, elle ne pensait pas y avoir droit, en fait, maintenant qu'elle y pense... Et maintenant qu'elle y est, elle compte bien en profiter un maximum.

Finissant par rouvrir les yeux, elle croise le regard de Roy et, avec un sourire, elle lui souffle :

Merci pour cette valse... Roy. Mais... N'hésitez pas à vous arrêter si votre jambe vous fait souffrir.

Elle continue d'échanger quelques pas avec lui, son naturel reprenant légèrement le dessus pour observer ce qu'il se passe autour. Le général Armstrong en train de danser avec un parfait inconnu, des silhouettes qu'elle ne reconnaît pas forcément et dont elle ne pense pas qu'elles puissent être un danger... Non, pour l'instant, tout va bien, et elle reporte son attention sur son cavalier, lui souriant et continuant de valser avec lui. C'est l'un des moments qu'elle chérira toute sa vie, bien sûr sans que Roy ou n'importe qui de l'équipe puisse s'en douter, alors qu'elle en profite un maximum, tant que c'est possible.

•Tleilax•


La tenue de Riza, le noeud en moins:

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Dim 3 Sep - 22:01
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Alistair Van Helsing
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Alistair Van Helsing





EVENT - UN INSTANT D'INSOUCIANCE - BAL DES ARMSTRONG
Feat -




Alistair ne se départit pas de son sourire quand il intervint dans les projets du roux envers la plus jeune des Armstrongs. Il était même en joie devant la frustration du type qu'il arrivait tout de même à dissimuler à la plupart.

Il haussa un sourcil à l'arrivée du Généralissime, trouvant ainsi étrange qu'il vienne ainsi vers eux au lieu d'être alpaguer par tout les riches présent. Il trouva cela étrange, mais il le salua instantanément.

Bonsoir Généralissime. Major Alistair Hellsing. Bien entendu, il est préférable pour mademoiselle d'être avec des jeunes de son âge et pas des baroudeurs tel que nous. Répondit-il sans se départir de son sourire. Il avait noté du coin de l'oeil l'arrivée d'une nouvelle tache rouge dans son champs de vision, ou plutôt rousse. Il n'avait pas eu le temps de voir le visage de la jeune femme qui venait ainsi d'arriver mais il préféra reporter son attention sur Bradley, l'étudiant, maintenant qu'il l'avait en face de lui pour la première fois.

Il se demandait ce que cet homme qui était à la tête du pays depuis plusieurs décennies avait a y gagner de s'associer aux homonculus pour mettre le foutoir dans son propre pays...


© Jawilsia sur Never Utopia

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Même en Enfer, Régner est digne d'ambition. Mieux vaux régner en Enfer que servir au Ciel.

Pas de Victoire sans souffrance, pas de liberté sans sacrifice.


Alistair parle en #318CE7

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Lun 4 Sep - 20:55
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Rebecca Catalina
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Rebecca Catalina
Après avoir fait la conversation avec divers jeunes gens, je décidai m’isoler. La recherche d’un mari semblait plus facile dans ma tête. J’avais comme critères principaux la beauté et la bourse, mais après avoir discuté avec divers hommes ce soir, je pensais qu’il fallait que je revoie mes standards à la hausse. Bien que la plupart répondaient à au moins un des deux critères, ils avaient tous un petit quelques choses qui leur manquait.  

Une coupe de champagne à la main, j’admirais les courageux qui se laissaient tenter par une valse. Bien que c’était une bonne excuse pour être dans les bras d’un jeune homme de haut rang, mais lacune en danse m’empêchait d’aller sur la piste de danse. Je mettais tellement concentré sur ma carrière que j’avais négligé les cours de danses.  

Mon regard s’arrêta sur la reine de la soirée et son cavalier inconnu qui avaient ouvert le bal. Malgré ses maladresses apparentes, la blondinette restait toute de même gracieuse. Quand, à son cavalier, il n’avait pas froid aux yeux. Bien que j’étais de nature entreprenante, jamais je n’aurais osé entraîner la blondinette sur la piste de danse.  

Mon attention se tourna ensuite sur Riza et le beau Mustang qui avaient décidé eux aussi de se laisser tenter une par une valse. Bien que j’aurais aimé être à la place de ma petite Riza, je devais avouer qu’ils étaient plaisants en regarder. Mustang était pleine d’assurance, tandis que mon amie semblait un peu moins à l’aise.  

« Ah… Rebecca, tu devrais te trouver un cavalier de choix au lieu de rêvasser en regardant les autres… » Dis-je à voix basse

A en juger le visage du Général Hawat qui fixait la piste de danse, je n’étais pas la seule blasé de la tournure de la soirée. Je suivais la direction de son regard qui me mena à la l’aîné des Armstrong.    

« Se pourrait-il … » Dis-je encore une fois à voix basse

C’est vrai qu’en dépit de son visage sévère et de sa réputation qui l’a suivait, la blondinette était d’une grande beauté. Avait-elle remarqué que Général Hawat ne semblait pas être insensible à son charme ?  Serait-ce une attirance partagée ?  Je voulais le cœur net en faisant un petit test. Je me dirigeai donc vers notre bel officier.

« Bonjour mon Général, puis-je me joindre à vous ? » Lançais-je avec le plus beau de mes sourires

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Sam 9 Sep - 20:55
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Alexis Andersson
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Alexis Andersson
Le généralissime se joignit au petit cercle de discution que nous formions à présent laissant ma question en suspens. Je ne saurai pas ce soir qui est capable de battre cette femme. Ou du moins pas tout de suite.
La blondinette remercia le généralissime d’un signe de tête et quitta mon champ de vision à présent restreint. Je ne pensais pas que se borgne était si imposant de près ? Jusqu’à présent, et même durant la mission qui vient de se finir, je me suis toujours débrouillé pour être à plusieurs mètres de cet homme. Mais il est à présent à quelques centimètres. Si proche, il me masquait la vue d’une partie du buffet. Le blondinet n’était qu’une légère entrave visuelle pour la piste. Je vis tout de même le général Armstrong marcher sur le pied de son cavalier. Le pauvre… Même si elle reste gracile, elle est bien moins douée pour la danse que pour les armes. Je me surpris à sourire en pensant à l’inviter à danser si l’occasion se présentait. D’autant plus que j’avais perdu de vue la rousse, nouvellement arrivée. Mais j’eu le plaisir de voir miss beau fessier se rapprocher du général du sud. Il est possible qu’on ait un peu d’animation d’ici peu de temps. En attendant je dois faire bonne figure et discuter avec le chef de ce pays détestable.


- Bonsoir généralissime. Major Andersson. Et pourtant cela nous réchauffe le cœur que de voir d’aussi belles créatures…

Ma réponse était plus pour le major Hellsing que pour le généralissime. J’avais pris, peut-être à tort, sa réponse comme un pic m’étant adressé. Je ne pouvais pas ne pas lui répondre. Pourrions-nous ainsi converser à travers le dirigeant de ce pays ? Cela serait amusant.
Toutefois, je n’aurai jamais imaginé le généralissime se joindre à deux majors.


- J’espères que vous passez une agréable soirée généralissime. Il est important de savoir se distraire un peu quand on a des responsabilités telles que les vôtres.

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Dim 10 Sep - 19:03
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Roy Mustang
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Roy Mustang
tie you upwatch your back, they want to drag you more ; it's hard to see what's feared and loved.
Sa tête sur ton torse, c'était inespéré.

Ton cœur n'est pas tant en paix que tu tentes de le faire croire. Ces contacts, bien que désirés, sont tellement rares que tu ne sais jusqu'où tu peux réellement te laisser aller. Étrange moment de gêne et de satisfaction à la fois ; une combinaison des plus ambigües. « Merci pour cette valse... Roy. Mais... N'hésitez pas à vous arrêter si votre jambe vous fait souffrir. » que nenni, milady. Le moins que l'on puisse dire, c'est que ça change des balles qui criblent les murs du quartier général au moindre rapprochement corporel. Le Capitaine Hawkeye n'est pas de ces femmes qui se laissent docilement accoster, mais elle a néanmoins un sens maternel, notamment avec les frères Helric, qui attise souvent ton respect. Elle est bonté. Elle est droiture. Elle est discipline. Mais elle est aussi visiblement tendresse lorsque ses défenses tombent. « Il serait grossier de s'arrêter en si bon chemin. » ... mais il serait aussi mentir que d'affirmer que ta jambe ne fait pas des siennes actuellement, alors tu n'ajoutes rien sur ce fait. Son sourire s'encre dans ta mémoire, car il est de ceux qu'il est rare de pouvoir apprécier sur ce joli minois.

Moment d'audace, tu la fais tourner sur elle-même, venant la réceptionner tout contre toi par la suite. N'en fais pas trop Roy, ça pourrait te jouer des tours et tu le sais.

La valse se passe.

Et lorsque sonne la fin, que les couples se séparent, tu la fais légèrement se pencher en arrière, suivant par la même le mouvement — ouh, l'affreux cliché, mais personne ne t'en voudra. Vous voilà maintenant officiellement yeux dans les yeux. Et tu as ce sourire arrogant sur les lèvres, de ceux que l'on te connaît bien. Tu as assuré mon vieux. Lorsqu'elle se redresse, vos lippes ne sont pas si loin les unes des autres finalement, un seul pas et bien des choses pourraient en découler. Tu la regardes dans le blanc des yeux, silence à la clef.

Du calme, ne fais pas l'idiot, Roy.

Il serait odieux d'oublier que cette petite souris est farouche à la base et que la brusquer reviendrait à signer une pseudo mise à mort. Il faut savoir doser avec parcimonie, d'autant plus que bon nombre de gradés se trouvent aux alentours et que les relations trop poussées entre militaires sont loin d'être les bienvenues. Et que dire des rumeurs qui risquent de circuler d'ici peu ? ça, tu te doutes qu'étrangement tu n'y échapperas pas — et elle non plus d'ailleurs —... mais ça pourrait donner du grain à moudre au moulin aussi, hum. Point trop n'en faut néanmoins.

Combien de temps dure cet échange ?
Tu ne saurais dire.

L'équilibre est retrouvé pour les deux.

Pourtant, cette main qui s'attarde depuis tout à l'heure sous l'omoplate de la blonde glisse progressivement jusqu'au milieu de son dos pour atteindre le haut de sa chute de reins. Tout en finesse. Un message ?

Mais ((il y a toujours un mais)).

... une nouvelle fois, ton regard tombe sur elle, juste derrière l'épaule de Riza. Elle n'a de cesse de t'intriguer, en bien ou en mal, ça non plus tu ne saurais le dire. Mais les faits sont là. « Si vous me permettez, Riza. Profitez-en pour aller saluer la famille Armstrong comme convenu, je vous rejoins. Je n'en ai pas pour long. » tu lui fais un signe de la main, te décollant tendrement d'elle et indiquant que tu as besoin de la laisser quelques minutes au moins pour te ressourcer aux petits coins — enfin, du moins, c'est ce que tu veux lui laisser à penser. Si tu te dérobes à sa vue pour draguer ? non, ce n'est pas réellement ça, jusque que quelque chose chez cette inconnue te taraude et que tu n'arrives pas à déconnecter ton esprit de son visage. Dire que sa beauté n'y est pas pour quelque chose reviendrait de nouveau à mentir, mais ce n'est pas que ça, non. Manque de chance, quand tu penses la retrouver près du buffet, elle n'y est plus.

Décidément, un autre petit rongeur qui se fraie des chemins partout. Cette pensée suffit à te faire sourire, tandis que, déambulant entre Pierre, Paul et Jacques, tu finis par l'apercevoir à nouveau, là, accoudée au balcon. Un coin reculé et loin de toute l'agitation interne (et si ça ce n'est pas encore un gros cliché tiré d'un film à l'eau de rose, alors pincez-moi).

Te voici.

Un regard curieux vers la salle te permet de voir que Riza n'est pas dans les parages — ou du moins, que tu es hors de sa vue. Parfait. Il ne te reste donc plus qu'à gagner l'extérieur et vous ne seriez rien que tous les deux, elle et toi. C'est silencieusement que tu pénètres sur le balcon, refermant les double-portes fenêtres comme initialement et que tu t'accoudes à quelques mètres, ne voulant pas non plus te faire étouffant, dérangeant — ou pis, lourdaud. Ses regards insistants ne t'ont pas échappé, il faut bien qu'elle en ait conscience. Mais pourquoi ? là est toute la question. Est-ce une attirance quelconque ou a-t-elle quelque chose de particulier à te communiquer ? Qui est-elle ? au vu de sa tenue, il ne serait pas étonnant qu'elle soit femme de gradé, pour autant, tu ne te souviens pas l'avoir déjà croisée dans un quelconque couloir ; le roux aurait attiré ton attention, tu le sais. Après, il n'y a pas que les agents de Central qui sont réunis ce soir, ça doit sans doute être cela. Mais une chose est certaine : sa beauté est sans pareille et ses formes laissent rêveur.

Il y a un silence de quelques secondes.

Tu n'es pas idiot, tu sais très bien ce que pensent les autres de toi — surtout les hommes en fait — et ce rapprochement avec la rousse n'aura rien de suspect — s'il est perçu de l'intérieur : quoi de plus étonnant que de voir Roy Mustang en si bonne compagnie après tout ? « L'air frais est revigorant. » tu ne la regardes pas, non, mirettes braquées sur le paysage qui vous fait face. « Le buffet est-il bon ? ou votre présence aux tables et vos regards étaient-ils le fruit du hasard ? » et c'est la première réelle question, celle qui lui fera bien comprendre que oui, tu n'es pas aveugle. Pas le temps de tourner autour du pot et encore moins le temps de se montrer hésitant, ce n'est pas dans tes habitudes de toute façon. C'est aussi ce qui fait ton charme, non ?

Tu n'es pas discrète ma jolie.
Ou alors c'était clairement voulu ?

« Que fait donc une charmante jeune femme en dehors, seule, sur ce balcon, alors qu'elle pourrait valser aux bras d'un officier ou... de sa moitié ? » pourquoi est-ce que personne ne l'accoste ? c'est plutôt étrange. En même temps, elle ne doit pas être sur les lieux depuis si longtemps que ça. Ou alors tu as manqué un épisode — ce qui n'est pas totalement impossible. Tu te prends à vaciller légèrement sur la droite, n'ayant pas assez bien réparti le poids sur le haut du corps. Maudite jambe, on dirait bien que tu l'as déjà trop sollicitée ce soir. Heureusement que la rembarde est là et que tu y étais déjà accoudé. Reprends-toi mon vieux ; fais mine de rien. Tu n'es pas homme à te laisser abattre par une douleur, aussi fort puisse t-elle résonner entre tes chairs. Pourtant, là, tu dois bien avouer que c'est loin d'être agréable. Mais montrer ses faiblesses, surtout actuellement, serait sans doute la pire des erreurs. Et les bonnes manières, elles sont où ? enfin, tu as une renommée, peut-être qu'elle te connaît déjà — qui ne connaît pas le Flame Alchemist ?

« Roy Mustang, enchanté. »

Ta dextre est tendue vers elle.
Saisira ? saisira pas ?
Anita Codes

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Dim 10 Sep - 22:30
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Le Père
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Le Père
Un instant d'insouciance

∎ Bal des Armstrong - Avril 1916
La soirée semblait vivre plusieurs rebondissements dans un même temps... Tandis que les Armstrong pouvaient s’enorgueillir de cet événement, qu'on pouvait qualifier de réussit. Les convives dansaient et s'amusaient, tandis que le Généralissime discutait un peu plus loin, en compagnie des deux Majors. S'il laissait tranquille Alistair qu'il salua d'un hochement de tête, son attention resta braqué sur Alexis. Ce dernier, il ne le connaissait pas plus que cela, si ce n'était qu'il faisait partie de la Section 9. Son œil avisé se fit plus concentré sur ce visage pourtant avenant.. Comme si notre homme cherchait à lire son âme. Ce n'était peu être pas qu'une impression en vérité. Retenant son verre de champagne, son Excellence  s'exprima enfin.

« Major Andersson, vous êtes de la Section 9 si je ne m'abuse.. J'espère que votre intégration s'est bien passé.. Que pensez vous de votre supérieur ? Le Colonel Griffin »

Ce dernier n'était pas présent, et cette tournure de phrase ouvrait à un avis des plus ouvert. Pourtant, cela pouvait autant discrédité le Colonel, comme le mettre en lumière. Buvant son verre à travers sa moustache, , le Généralissime nota l'approche du Général Mustang, envers Lust.. Elle était donc là.. Elle avait intérêt à lui ramener des informations intéressantes. Autant dire que Vadim n'avait pas même attiré son attention, ce qui était une chance pour ce dernier s'il désirait se barrer d'ici.  La soirée avançait progressivement et d'ici une petite heure, la soirée irait lentement sur sa fin... La musique invitait tant à la danse qu'à la conversation.


….........................................................

HRP :

Le Généralissime est joué au dé pour ses diverses réactions envers vous..

Il n'y a pas d'ordre de postage, soyez juste logique avec vos partenaires et ce qu'il se passe autour de vous.
Vous avez  15 jours pour répondre, au delà, le PNJ postera.
Ce poste concerne :    @Olivia Mira Armstrong   @Roy Mustang  @Daneel Hawat  @Riza Hawkeye    @Alexis Andersson  @Vadim  @Alistair van Helsing  @Rebecca Catalina

Lun 11 Sep - 16:13
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Alexis Andersson
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Alexis Andersson
Je ne m’étais pas attendu à ça. Une question qui en soit semblait anodine mais pouvait être un piège. Même dans une soirée qui appelle à la détente comme ce soir, tout n’est pas permis, surtout envers ses supérieurs. D’autant plus, et je me suis renseigné sur le sujet, que le major Hellsing est un ami du colonel Griffin. Je ne peux donc pas dire n’importe quoi.

- J’ai été agréablement surpris par l’attachement que le colonel à envers la population. Il s’évertue de la protéger du mieux qu’il le peut. Toutefois, je le trouve un peux candide de croire que l’on peut tous les protéger… Car il met les peuples adverses au même niveau que le nôtre. La guerre étant ce qu’elle est, nous devons accepter d’avoir des ennemis et de devoir les tuer… N’êtes vous pas d’accord ?

En bref, généralissime, comprenez que face à mon ennemi, je n’aurais aucun scrupule, qu’il soit homme, femme ou enfant. Si je dois tuer, je tuerai. Après tout, je suis un soldat.

Mais le regard pénétrant de ce borgne me dérange. Que cherche-t-il ? Je continue à lui sourire comme si de rien n’était mais je me demande s’il ne m’a pas percé à jour. Si cela est le cas, je risquerais de perdre la vie dans les prochains jours. Une chose est sûre, je ne lui ai pas mentit dans ma réponse. Même si j’apprécier la candeur de ce petit colonel, il n’est qu’un pion qui sert à ma couverture malgré lui. Je ne mens que très rarement. Seulement, mes propos n’ont pas forcément le même sens pour mon interlocuteur que pour moi. C’est plutôt pratique pour brouiller les pistes et faire croire que nous sommes dans le même camp. Je vous assure, la vie d’un espion infiltré n’est pas facile tous les jours…

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Jeu 14 Sep - 22:37
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