Intempérie : Fortement nuageux, risque de neige Temps : Début de matinée
Plusieurs mois semblaient s'être écoulés depuis les attentas concentrés sur Central, la capitale de Amestris. Les tensions entre Drachma et la frontière du nord ne cessent de grandir. Cela s'observe avec beaucoup d'attention, encore plus depuis que des unités d'Amestris se soient infiltrer sur le territoire. Seule l'une d'entre elles en était revenu. Le ciel était fortement nuageux, et annonçait probablement de forte retombée de neige, d'ici quelques minutes ou heures, ce qui réduira fortement le champ visuel des deux extrémités qui se fixent. Une ombre se profilait dans les rangs des soldats de Drachma qui surveillait la Forteresse contrôlée par le Général Olivia Armstrong. Un soldat qui allait prendre son service, disparut soudainement dans les ombres d'un couloir, avant de réapparaître aussi naturel que d'ordinaire... Son fusil à l'épaule, il gagna les hauteurs pour prendre son poste d'observation... tandis que des soldats de Briggs faisaient une rotation des patrouilles. S'agenouillant dans un coin plutôt discret, l'homme prit position à l'aide de sa lunette.. et se mit à tirer, venant à descendre trois hommes du Général. Ce qui alerta les hommes de Drachma qui se demandaient qui pouvait bien tirer. Quand ils arrivèrent à son niveau, c'est un soldat d'Amestris qui leur faisait face, braquant son fusil dans leur direction, tirant sans aucun regret, le sourire aux lèvres. L'un des blessés se mit à hurler pour prévenir les autres, avant d'être exécuté d'une balle dans le crâne :
« Amestris nous attaque!!!.... »
L'alerte fut donnée, et des troupes plus importantes se formèrent dans une base plus loin.. un mouvement de troupe parfaitement visible depuis la Forteresse de Briggs, qui essuyait aussi trois morts en attendant...
[HRP] - Ceci est une mission où vous subissez une infiltration de la part d'un ennemi "invisible" Les deux camps semblent s'armés pour s'affronter, suite à des tirs mortels. - Ce sujet concerne : @Olivia Mira Armstrong et @Alistair Van Helsing - Que le sort vous soit favorable.
Le général Armstrong était rentré de central avec une civile dans ses bagages. Elle était parvenue à trouver un artisan pour entretenir les horloges de la forteresse. Pauvres mécanismes mis à rude épreuves. Et il faut avouer que la jeune fille avait pas mal de travail à son arrivée. Mais cette arrivée avait entrainé pas mal de modification dans l’organisation de la muraille de Briggs.
Avant son départ de central, Olivia avait donner quelques instructions pour son retour. Des travaux avaient été entrepris à proximité des quartiers du général. Les quartiers de Charlie s’y trouveraient. Ils ne seront pas d’une très grande ampleur, mais suffisant pour qu’elle s’y sente à l’aise et qu’aucun homme en mal de tendresse ne s’y aventure. En attendant, Charlie avait posé ses valises dans les quartiers du général. Ce n’était pas le grand luxe non plus, mais suffisant pour un peu d’intimité. Ils se limitaient à une chambre basique avec une petite salle de bain. La blonde avait abandonné le confort de la vie mondaine de central pour entrer dans l’armée et défendre son pays. Ce n’était pas pour retrouver un grand luxe à Briggs. D’autant plus que ses hommes se contentait d’un dortoir et de douches communes.
En attendant, Olivia passait ses nuits dans son bureau, non loin de ses quartiers, pour travailler, et ainsi veiller sur la jeune fille. Les travaux cessant la nuit pour laisser la jeune civile se reposer. La journée, la reine des glaces se reposait à l’infirmerie entre deux rondes. Ce qui permis à Olivia de se remettre totalement de sa rencontrer avec le Frozen.
Pour parfaire la sécurité de la demoiselle Griffin, La maitresse des lieux avait charger le major Van Helsing d’organiser la protection. Après tout, cet homme connaissait bien le frère de la demoiselle. D’après ce que le général en avait compris, les deux hommes étaient plutôt bons amis. Cela devrais donc faciliter le travail. C’était la raison pour laquelle le major était en charge de cette tâche annexe. Et comme elle veillait la nuit, elle lui avait donner l’ordre de se reposer durant ce laps de temps. Pour être au mieux de sa forme le jour.
Du temps était passé depuis les attentats de Central, mais la vigilance de la forteresse n’avait pas baissé. Bien au contraire. La blonde doutait de plus en plus des motivations d’Amestris pour la guerre. Cependant, il lui était impossible de laisser passer Drachma. Cette nation, bien que peu hostile de base, pouvait se montrer tout aussi terrifiante et impitoyable qu’elle-même. C’était une règle dans ces montagnes, ne peuvent y survivre que les forts. Olivia s’était battu pour obtenir ce poste et faire de la forteresse de Briggs un rempart inébranlable d’Amestris. Pour sa famille, son pays, les enfants…
Pour la blonde, c’était un matin comme les autres depuis son retour d’Amestris. Le général Armstrong venait de terminer la paperasse du jour, ou plutôt de la nuit, et allait distribuer la suite du travail en effectuant sa tournée d’inspection. Après quoi, elle irait manger un bout et se reposer un peu. Ce n’est qu’en arrivant sur les remparts que la reine de glaces compris que son programme du jour serait perturbé. Partagée entre le regret de ne pas pouvoir se reposer et l’excitation d’un peu d’action, elle ordonna sèchement l’évacuation des cadavres et un rapport détaillé de la situation. Le rapport fut simple, clair, et concis : Il y avait un mouvement de troupe du côté de Drachma. La forteresse subissait une attaque.
La dame de fer aboya quelques ordres, l’alerte retentissait dans les murs. En quelques instants, les soldats de Briggs avaient abandonné leurs tâches annexes pour prendre les armes. Dans le train, Olivia avait briffé Charlie. En cas d’alerte, celle-ci devait s’enfermer dans les quartiers du général et n’en bouger sous aucun prétexte. Elle ne devait ouvrir à personne excepté le général Armstrong, ou l’un de ses plus fidèles hommes soit Miles, Buccaneer, ou Alistair Van Helsing, sachant que les trois premiers seraient fort probablement au combat durant toute la durée où retentirait l’alarme. La jeune fille lui avait sembler bien assimiler la consigne. De ce fait, la blonde ne se souciait pas plus de la demoiselle. Dans les murs de la forteresse, elle ne risquait pas grand chose, l’attaque venant de Drachma.
Le général Armstrong rejoignit ses troupes dans le hall central de la forteresse afin de prendre place dans un char. Les chars d’assaut se tenaient devant la grande muraille, la bataille allait démarrer. La reine des glaces était debout, le buste sorti du char de tête, épée en main, prête à lancer l’assaut dès que les troupes de Drachma seraient à portée de vue.
Alistair était à la salle d'arme de la forteresse à s'entrainer avec sa nouvelle gunblade. Il s'était félicité d'avoir des pièces de rechange à Briggs à son retour, il avait aussi pu réparer son fusil. Une fois ça fait, il s'était entretenus avec les ingénieurs avec qui il avait conçus sa lame pour trouver un moyen d'en renforcer le métal. Les gars avaient commencer a chercher des solutions, voir même a créer un nouvel acier renforcer. Le soldat les avait laissé sur ces considérations pour retourné à ses obligations.
Alors qu'il finissait une passe d'arme, l'alarme retentit.
Hum ? Il se passe quoi ? Se dit-il en rengainant sa gunblade et en saisissant sa winchester. Il la remit aussi dans son holster, revêtit son manteau blanc et passa le harnais retenant son arme sur son dos. Il prit sa radio pour avoir des informations. On l'informa alors que Drachma s'agitait de son côté et que trois soldats avaient été abattu sur la muraille, le Général Armstrong avait donc mit la Forteresse en état de siège. Alistair fût surprit de cet assaut, après toutes ces années d'escarmouches, on dirai que leur voisin avait finalement décider de prendre le chemin de la guerre.
Il alla dans la réserve et prit une radio neuve, puis se mit en route tout en contactant Athéna et ses hommes avec la sienne, leur donnant l'ordre de se séparer en deux groupes. Il envoya les spécialistes du tir à longue distance avec Athéna sur la muraille pendant que le reste de unité devait le retrouver avec le gros des troupes qui se mobilisait aux portes de la muraille. Ils allaient accueillir Drachma comme il se devait. Mais pour le moment il se dirigeait vers les quartiers de la Général ou logeait aussi la sœur de son ami Corwin.
Il avait été étonné de croisé la jeune femme ici à Briggs alors que la dernière fois qu'il l'avait vu, elle était à Central avec sa famille. Elle logeait dans les quartiers des rares femmes qui officiaient à Briggs, Athéna y était aussi. Ainsi elle n'était pas seule. Il avait discuter avec elle pour convenir de plusieurs codes si d'aventure la forteresse était attaquée. Il y avait peut de chance que l'ennemie parvienne à envahir la place, mais au cas ou il avait préfère prévoir. C'était aussi pour si il y avait des agents infiltrés, il avaient eu de nouvelles arrivées à la forteresse et préféraient rester prudent vu les derniers évènement. Il arriva à la porte de la jeune femme et frappa plusieurs fois sur un certain rythme. Elle lui ouvrit la porte rapidement pour le laisser entrer.
Charlie, la forteresse est attaquée. Je vous ai apporter une radio, ainsi si il se passe quelque chose ici, nous seront en contact. Je serai sur le canal 3. Lui indiqua-t-il en posant l'imposant talkie sur la table.
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Alistair parle en #318CE7
Mar 9 Aoû - 21:04
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Intempérie : Fortement nuageux, la neige tombe / Mauvaise visibilité à prévoir Temps : Début de matinée
Les troupes de Drachma s'organisaient un peu plus loin , alors que le climat se faisait de plus en plus défavorable dans les cieux. En effet les nuages paraissaient lourd, et quelques flocons précurseur, venaient à choir sur les deux parties. Des hommes et des femmes, fusils au poing, s'étaient percher sur les hauteurs, visant directement les soldats perchés dans la forteresse. Une première salve de balles se fit reconnaître et des balles percutèrent la surface solide de la pierre, mais d'autres touchèrent leur but...Et un corps s'écroula sur le sol, le fusil glissant sur le côté.
Des mines avaient été placer dans la zone dit neutre, destiné aux chars que possédait cette immense forteresse. Une sécurité en cas de repli. Des canons anti char prirent place derrière des murs de protection, fait de sac de sable et de terre, tandis qu'un char avec à son bord un des officiers les plus importants s'y trouvait.. Il était bien trop loin encore pour tirer sur l'adversaire.
Profitant de tout ce remue ménage, un soldat se mêlaient aux hommes à pieds qui attendaient l'ordre de charger de leur officier supérieur, l'arme en main et le regard fixé vers son objectif.. Tout semblait parfaitement se dérouler. Lentement, la main du Lieutenant se leva dans les airs, et dans un souffle, les hommes se mirent à charger à l'aide de fusils, protéger par le tir du char qui vint percuter le sol, seulement à quelques mètres de la grande muraille. La Bataille était lancée pour de bon.
La neige se mit à redoublé sur ce paysage chaotique, et le vent s'élevait peu à peu, venant fouetter froidement les visages de ces hommes prêts à donner leur vie pour défendre leur territoire.
A l'intérieur de la forteresse Charlie avait appliquée à la lettre ce qu'on lui avait dicté de faire en cas de problème. Jamais encore elle n'aurait pensé vivre une telle chose, mais ce n'était pas le moment de se laisser aller par des pensées idiotes. Prenant sur elle, la jeune fille se présenta calmement auprès d'Alistair quand ce dernier se fit reconnaître à sa porte. Elle avait parfaitement décodé ses coups. Attrapant la radio avec gravité, Charlie offrait un visage fermé et concentré, ce qui n'était pas sans rappeler que c'était une Griffin.
« Le canal 3 c'est noté, je serais vigilante ne vous inquiétez pas. »
C'est donc ce genre de situation que Corwin devait gérer parfois ? Une pensée fugace avant de revenir au présent. De toute façon qui pourrait bien faire tombé cette vieille grand mère à son rocher ? Elle était si inébranlable, autant que celle qui la dirigeait.
[HRP] - La bataille est lancée et il commence à bien neigé, attention a votre visibilité. - Ce sujet concerne : @Olivia Mira Armstrong et @Alistair Van Helsing - Que le sort vous soit favorable.
Des flocons de neige venait s’échouer dans les longs cheveux blonds du général Armstrong tandis qu’un sourire carnassier venait illuminer le visage pâle de la femme aux nerfs d’aciers. Cela faisait quelque temps qu’elle attendait un mouvement de leur part. Elle commençait même à trouver le temps long. Toutefois, elle ne comprenait pas ce timing. Pourquoi attaquer juste avant une tempête. Ce n’était pas habituel. Drachma préparait quelque chose. Il n’y avait pas d’autre explication, car ce temps n’était favorable à aucun des deux camps adverses.
Au premier coup de feu de l’ennemi, Olivia abaissa son bras droit, épée en main, initiant l’ordre de charger. Le char qu’elle occupait avançait en tête. La dame de fer n’était pas du genre à s’abriter derrière ses troupes, mais bien à les diriger sur le champ de bataille. C’était pour cela que tous ses hommes, sans exception, la suivirent d’une seule âme. Certains de ces hommes étaient prêts à suivre la blonde jusqu’aux tréfonds des enfers. C’est dire à quel point elle avait su forger le respect de ses hommes.
Le tir ennemi tomba non loin du char occupé par le général Armstrong qui se pris, au passage une bonne meule de neige au visage. Mais cela n’arrêta pas sa course. Elle lançait ses troupes face aux troupes ennemies en direction de la zone dite neutre, ignorant bien ce qui pouvait les y attendre.
La visibilité se faisait de plus en plus difficile. Il était à présent inutile de tirer au canon. Le général Armstrong sortit entièrement du char. Debout, ses cheveux et les pans de son uniforme pris au vent glacial, elle ordonna à ses hommes de mettre pied à terre pour se joindre aux troupes. Une armées d’hommes suivirent la longue chevelure blonde au contact de l’armée voisine. Dans cette tempête qui se levait, seul les bruits de la guerre donnaient une vague indication quant à l’avancé de la bataille. Au milieu des troupes ennemies, Olivia, son épée à la main droite, et son pistolet dans la main gauche, tout en abattant froidement tout soldat ennemis qui l’empêchait d’avancer, cherchait l’officier adverse qui dirigeait cette attaque. Il était pour elle celui à abattre pour remporter la bataille.
Les bruits de la bataille résonnaient dans toute la vallée qui séparait les deux puissances, et même au-delàs. Les coups de canon qui tombaient non loin de la forteresse faisait vibrer les murs de celle-ci. Le spectacle était certes chaotique dans ces montages frontalières, mais le ressentit, lorsque l’on se trouvait privé de visibilité à l’intérieur de la forteresse était oppressant pour qui n’était pas habitué à de telles violences.
Sur le champ de bataille, le ressentit était tout autre, du moins pour la reine des glaces. Elle conservait son sang-froid malgré le manque de visibilité, fidèle à sa devise, elle avait une fois pleine et entière en ses hommes. Elle les savait vaillants. Ils iraient au bout du combat pour défendre Briggs, quitte à le payer de leurs vies. Mais ces hommes n’étaient pas de faibles gaillards. Ils savaient se battre et se montrer impitoyables au combat. En sommes, ils ne se laisseront pas tuer aussi facilement. De cette certitude, la dame de fer pouvait s’abandonner pleinement à son objectif : faire tomber la tête dirigeant la bataille et l’emporter.
Il hocha la tête et laissa la jeune femme s'enfermer de nouveau. Il écouta les rapports des différentes unités sur le canal principal et entendit les ordres de la Général. Il partit donc au pas de course pour rejoindre ses hommes qui étaient avec Buccaneer.
Il arriva juste avant que le signal de la charge. Il dégaina ses armes et prit la tête de ses hommes, restant en contact avec Athéna qui était sur la muraille avec les snipers pour les diriger. Mais Alistair était interloquer, lancer une bataille alors qu'une tempête de neige s'annonçait était idiot. N'importe qui vivant dans le nord le savait et les dirigeant des bases de Drachma l'étaient aussi. Il devait donc s'être passé quelque chose chez eux qui avait déclencher un tel assaut.
C'est vraiment bizarre cette histoire... Grommela-t-elle en se lançant dans la bataille, fonçant dans la neige alors que des flocons commençait à tomber.
Ok, mes amis, on arrive au point de contact. Trouvez un coin qui semble être bien et préparer vous à accueillir nos visiteurs. Athéna, voit si vous pouvez abattre les types manœuvrant les canons de Drachma, ça nous laissera le champs libre. Même si avec cette tempête ça risque d'être compliqué. Dit-il dans sa radio, il reçut rapidement la confirmation de tout le monde qui se mettait en position, les tirs se mettant à fuser.
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Alistair parle en #318CE7
Dim 14 Aoû - 21:00
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La visibilité n'était pas au mieux pour ceux qui tiraient depuis les hauteurs, alors qu'en bas, les deux camps se réunissaient dans une bataille où personne ne voulait rien laissé passer. Les plus téméraires tentèrent de s'approcher du char, lançant des grenades pour le faire d’écheniller. Mais c'est là que le Général Armstrong quitta la protection de son cheval de fer pour se présenter à l'ennemi, soutenant fermement ses hommes. De quoi donner un regain de courage pour tout le monde. Sous ces coups des soldats de Drachma s’échouaient sur le sol. Certains tués net, d'autre agonisant ou retenant leurs blessures de leur doigts crispés et à demi gelés par cette neige qui ne cessait de tomber. Se rapprochant ainsi de l'ennemi, elle prenait tout de même un gros risque. Le char la pointa directement.. et balança son premier tir en sa direction. A l'intérieur du char le Capitaine Londo n'avait pas l'intention de lui offrir la partie simple.
Tandis que plus loin, un officier un pistolet à la main et une lame longue dans l'autre, tombait sur Alistair, non sans avoir abattu deux hommes avant de l'atteindre, venant à abattre sa lame sur son flanc gauche.
« Meurt sale chien d'Amestrien ! »
La neige recouvrait de ci de là le sang et la terre retourné par cet assaut. Cependant l'inconvénient n'était pas qu'un souci visuel, mais aussi pour les radios. En effet, bien que le message soit assez clair de la part d'Alistair, le son grésillait un peu. Les tirs fusèrent sur les canons de Drachma, et l'un d'eux perdit ses deux artilleurs, rapidement remplacer par un soldat. Ce dernier pointa le canon dans leur direction.. faisant feu au jugé.
A l'intérieur, Charlie restait à l'écoute de sa propre radio, entendant les bruits de la bataille. Elle tachait de prêter l'oreille et de ne pas succomber à la nervosité. Faisant un peu les cent pas... elle crut voir une ombre devant sa porte.. Par prudence elle tenta de voir par l'embrasure du dessous pour voir s'il y avait quelqu'un.. Mais il semblerait que non.
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Malgré la visibilité réduite, Olivia n’avait pas perdu sa cible de vue. Bien que par moment, elle était obligée de porter son attention sur les soldats à pieds qui lui faisaient face, elle gardait toujours son objectif dans sa ligne de mire, ne serait-ce que du coin de l’œil. Si bien que la visée qu’il prenait ne lui avait pas échappée. Pour échapper au tir, le général Armstrong se jeta sur un monticule d’ennemis qui étaient tombés sous ses coups. Malheureusement pour elle, parmi ces corps, certains n’étaient pas encore réduit à l’état de cadavre. Bien décidés à ne pas partir sans tenter d’emporter la reine des glaces avec eux. En s’échouant sur les hommes de Drachma, Olivia évita que des lames ne transperce des points vitaux, mais en reçut une dans le bras gauche et un autre dans la cuisse droite. Elle serra les dents, retenant ainsi un cri de douleur. Cri bien inutile sur un champ de bataille, surtout lorsque l’on est encore en état de se mouvoir. Il ne faut surtout pas laisser le doute envahir ses propres troupes.
La dame de fer se releva, et brisa les lames qui la transperçaient, sans les retirer, pour que les plaies restent bouchées, le temps de finir la bataille. Cette opération lui pris un certain temps. Pas suffisant pour se faire surprendre par un soldat de Drachma qui venait sur sa droite. Cependant, Miles n’était pas loin pour intercepter un autre qui s’apprêtait à abattre son épée dans le dos du général. Mais char ennemi avait déjà recharger et ajustait sa visée. [/]
- Miles !
[i]Cria le général Armstrong. L’homme lui adressa un regard entendu. Olivia appréciait vraiment cet homme. Il était intelligent, et un excellant combattant. Tout deux se comprenaient sans un mot sur un champ de batail. La maitresse de la forteresse et son bras droit remontèrent les lignes ennemies. Combattant par moment dos à dos, et à d’autres moment, chacun de leur côté. Faisant en sorte d’être constamment en mouvement pour perturber la visée du char ennemi. Se débrouillant toujours pour libérer un espace dès que l’obus était prêt à être tiré. Le bruit de ceux-ci résonnait entre les montagnes de Briggs jusque dans les couloirs de la forteresse, faisant voler neige, hommes et char dans les airs.
Le duo parvint à atteindre le char ennemi. N’ayant à présent que les soldats à terre de Drachma pour adversaire. Mais devenant par la même, des cibles pour les tireurs.
Miles demanda par radio aux tireurs de Briggs de neutraliser ceux de Drachma par tous les moyens possibles. Signalant que le général Armstrong et lui-même venait de prendre d’assaut le char ennemi.
Les gresillements dans la radio firent grincer des dents au major.
Non mais qu'elle idée à la con d'attaquer par un temps pareil. Songea-t-il. Il reporta son attention sur le champs de bataille, avançant avec ses troupes, rapidement il entendit un des canons de Drachma se taire pendant quelque instant, se qui confirma que son message avait bien été transmit.
Les troupes ennemies à pieds arrivèrent alors à leur contact et le combat s'engagea, il fonça alors dans le tas autant que s'était possible avec ses raquettes et la neige. Il sauta au visage du premier soldat qui se présenta, lui assenant un violent coup de genoux dans le visage, le projetant au sol, il tira ensuite sur celui qui suivait. Il planta alors sa longue lame dans le cœur de celui au sol quand une voix l'interpella.
Un officier l'attaqua avec son sabre, qu'il para rapidement avant de se rapprocher pour frapper a son tour. Il fit remonter la lame de sa gunblade le long de celle de son ennemie, faisant jaillir des étincelles. L'homme fût surprit et fit un pas en arrière alors que la lourde gunblade frappa la garde de son sabre avec force, la faisait vibrer dans sa main. Alistair continua à l'assaillir, notant qu'il cherchait à pointer son pistolet sur lui. Bien tenter, mais l'homme ne semblait pas maîtriser aussi bien que lui le fait de se battre avec une arme à feu et une lame. Il sentit la joue lui picoter quand l'homme tira dans sa direction, la balle lui entaillant légèrement la joue. Il le lui laissa pas le temps de viser mieux, il força sur leur lame entrecroisée et faisait pivoter la sienne pour en pointer la pointe vers le visage de son adversaire.
Athéna de son côté continua a chercher à abattre les artilleurs de Drachma quand elle reçut un message grésillant du Commandant Miles demandant des tirs de couvertures et d'abattre les tireurs pendant que lui et la général prenaient d'assaut le char ennemie. Elle chercha rapidement le duo et cria l'ordre de changer de cible à ses camarades en donnant les indications pour les trouver. Elle remonta alors le champ de bataille et trouva les snipers ennemies et commença les tirs tout en transmettant l'information de l'assaut sur le char à Alistair et Buccaneer.
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Alistair parle en #318CE7
Ven 19 Aoû - 20:25
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La bataille faisait rage à présent et l'officier qui faisait face à Alistair avait bien du mal à lui tenir tête dans un premier temps. Preuve qu'il y était aller avec bien trop de confiance. Pourtant, en ce lieu, chacun savait que de Drachma ou d'Amestris, seul les plus forts survivaient. Donc, sous estimer l'adversaire d'un bord ou d'un autre, n'avait pas de sens. Luttant pour sa vie, l'homme tenta de reprendre le dessus en essayant de faire pivoter l'attaque d'Alistair sur le côté, histoire de se dégager de lui et de remettre de la distance entre eux. La balle avait bien faillit atteindre cet homme et il en avait encore les tympans qui sifflaient un peu, malgré tout le raffut autour d'eux. Dans la manœuvre, c'est à son tour de voir le canon d'une arme se profiler vers son front, et avant même d'écarquiller du regard, sous l'effet de la stupeur, l'officier glissa au sol au moment de la détonation. Se recevant sur les coudes ,il donna un violent coup de pieds dans les jambes de son adversaire pour lui faire perdre l'équilibre.
Les soldats de Drachma percher sur les hauteurs, se firent canardé à leur tour, quelques uns succombèrent en tombant par dessus les murs, s'écrasant quelques mètres plus bas dans un cri stoppé net par l’atterrissage. Le tire de l'obus fit voler hommes de tout bord s'écrasant plus loin pour ne pas se relever, ou bien hurlant sous la douleur et la peur, causé par les blessures indéchiffrables et la désorientation.
Bien que le Général Armstrong soit touchée, sa manœuvre fit mouche, et bientôt, au fil de ses nombreux efforts, elle parvint à atteindre le char du Capitaine Londo. Son avancée n'avait pas échappé à ce dernier, ni même qu'elle était accompagné par ce Second un peu trop efficace à son goût. L'homme quitta dès lors son char en attrapant son sabre et son arme à feu, tuant le premier soldat qui l'approchait de trop près. Le Capitaine faisait à présent face à la maîtresse de la glace. Il faisait bien un mètre quatre vingt , les cheveux blond en bataille, la trentaine bien entamé. Son air presque doux tranchait avec la sévérité de son regard.
« Tant que je serais de ce monde, je ne vous laisserais pas tuer plus de mes hommes. »
Venant à, la charger de sa lame avec une vitesse appréciable, tenant à l'atteindre vers le foie.
A ce moment là, la radio grésilla, c'était la voix de Charlie qui tentait de se faire entendre.
La voix devenait oppressante avant que la radio ne cesse de grésiller pour entendre quelque chose de plus net. Un gros boum, comme une porte qui venait de succomber lourdement à ses gongs... Un souffle accentué par la peur se répétant , comme si la personne avait oublier de desserrer sa prise sur la radio.
"Il est là... "
Et soudain un cri, des bruits de luttes et puis plus rien, la radio avait sans doute été relâché a ce moment précis...
[HRP] - attention à votre visibilité. - Charlie est en train de se faire enlever. Tout ce que vous savez c'est ce que vous venez d'entendre, si encore vous avez pu en avoir l'opportunité. - Ce sujet concerne : @Olivia Mira Armstrong et @Alistair Van Helsing - Que le sort vous soit favorable.
Les deux chefs des armées se faisaient face désormais. Les cheveux du général dansaient avec les flocons de neige au grés du vent. Son expression faciale exprimait une haine indescriptible. Il était là à portée de lame. Mais il était pour elle. Le champ de bataille autour d’eau n’existait plus. L’homme qui dirigeait l’armée de Drachma sur ce champ de bataille était plus grand que la blonde, mais cela ne refroidissait pas les ardeurs de la femme. S’il avait essayé de la tuer tout en restant à l’abri tout à l’heure, c’est bien parce qu’il devait reconnaitre qu’elle était suffisamment redoutable pour ne pas vouloir à tout prix un combat frontal. Mais en ce cas, pourquoi avoir attaqué ? Et pourquoi avec une telle visibilité ?
- Miles, il est pour moi.
L’ordre était sans appel. Pas de discussion possible. Mais pas besoin de mot supplémentaire non plus. Le second, très efficace, savait parfaitement ce qu’il avait à faire : empêcher qu’un soldat de Drachma vienne perturber ce duel. S’il n’y avait pas cette rigueur militaire entre le général et son second, une vision extérieure aurait pu se faire des idées sur la nature de leurs rapports. Seulement, Miles n’était pas le seul homme de la forteresse à pouvoir se vanter de déchiffrer les penser de cette femme au cœur de glace. Deux autres hommes, au moins, étaient assez humble pour ne pas s’en enorgueillir devant n’importe qui. Ces trois hommes étaient tous aussi proche de la blonde, et bénéficiait de la même confiance, tous à des postes différents, certes, car on ne met pas tous ses œufs dans le même panier. Si le premier, Miles, assurait les arrières du général et le commandement de la forteresse en son absence, le deuxième, Buccaneer, était le garant de la discipline au sein de la forteresse. Quant au dernier, Alistar Van Helsing, il représentait souvent la blonde lors des évènements officiels et, depuis peu, il était en charge de l’honneur de l’impitoyable femme, en assurant la protection de la demoiselle Griffin.
La reine des glaces pourrait se servir de son arme à feu pour clore le combat au plus vite. Mais elle avait malgré tout un profond respect pour son adversaire. Il la combattait à l’épée, elle en ferait de même. Elle rangea son arme et se mis en garde. Contrairement à son visage sévère, ses yeux brillaient d’excitation.
Olivia contra la lame de l’adversaire et la renvoya avec force sur le côté. Durant le court laps de temps où les adversaires furent assez proche, elle lâcha entre ses dents d’un ton plein de rancune.
- Nous ne faisons que répliquer. Si vos hommes meurent, c’est parce que vous attaquez.
Sans attendre de réponse de la part du capitaine Londo, elle chargea à son tour, visant directement le cœur.
N’étant pas sur le canal 3, et pour tout dire, ayant laissé la radio à sa ceinture pour mieux se battre à terre, Olivia n’avait aucune idée de ce qui se tramait à la forteresse. D’autant plus que le major Van Helsing était en charge d’assurer la sécurité de Charlie. S’il y avait le moindre problème qu’il ne pouvait résoudre, Olivia interviendrait, évidemment. Mais en dehors d’une telle éventualité, rien n’était à redouter. Qui serait assez fous pour entrer dans cette forteresse remplie de soldats surentrainés ?
Alistair eu un sourire en voyant la réaction de son adversaire quand il remarqua le canon de sa gunblade, la balle lui sifflant au dessus de la tête quand il tira. Il était intelligent et réagissait vite. Mais Alistair aussi et s'attendait à se type d'assaut une fois sont adversaire au sol. Il avait donc reculer et il fit pivoter son fusil pour engager une nouvelle balle et pointa ses deux armes sur l'homme prés a tirer.
C'est alors qu'il reçut le message fragmenté de Charlie et son cri, son visage devint blanc. Qui pouvait bien s'attaquer à la jeune femme et comment il était entré dans la forteresse ? Toujours est-il qu'il n'avait plus le temps de s'amuser avec l'officier qui lui faisait face. Son visage s'assombrit et il lui tira dans la cuisse, il mit ensuite un coup d'épée dans le pistolet de l'homme pour le désarmé.
Soldat ! Capturez le et emmenez le à la forteresse ! s'exclama-t-il pour ses hommes. Il aurai pu le tuer, mais ils avaient besoin d'information sur cette bataille... Il laissa ses hommes s'occuper de l'officier et repartit vers la forteresse en courant, criant dans sa radio.
Général ! Miles ! Buccaneer ! Athéna ! Quelqu'un me reçoit ? Charlie est attaquée par un ennemie inconnu à l'intérieur de la forteresse, je me dirige vers elle. Je répété ! Ennemi à l'intérieur de la forteresse ! Il grommela quand il n'obtint que des grésillements comme réponse, il activa donc le rythme pour aller au secours de la jeune femme en espérant que les autres aient son message. Il se dit qu'il pourrait contacter son lieutenant une fois à l'intérieur. Des interrogations se bousculant dans sa tête.
Même en Enfer, Régner est digne d'ambition. Mieux vaux régner en Enfer que servir au Ciel.
Pas de Victoire sans souffrance, pas de liberté sans sacrifice.
Alistair parle en #318CE7
Sam 27 Aoû - 20:34
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Spoiler:
Intempérie : Fortement nuageux, la neige tombe / Mauvaise visibilité à prévoir Temps : Début de matinée
La radio de Charlie grésillait toujours sur le cana 3... La bataille était à son paroxysme et le temps ne semblait pas vouloir changer.. Il neigeait de plus en plus. Le Lieutenant qui combattait de son mieux Alistair, esquiva la première balle et para avec son arme pour tenter de l'atteindre par le flanc, mais son adversaire fut plus habile dans l'échange qui suivit et le deuxième tire survint, venant à lui planter une balle dans la cuisse. L'homme se tint la jambe de douleur de sa main de libre, comme cherchant à retenir le sang, inutilement.. Alors que de l'autre, il brandissait sa lame pour se protéger d'une attaque de son ennemi.. qui ne vint pas. Il semblait inquiet et ordonnait à ses hommes qu'il le capture ! Il se débattit, mais encore une fois en vain..
« Jamais je serais un prisonnier de guerre ! »
Il savait ce qui arrivait aux prisonniers et il tenta même de se tuer avec sa propre arme.. Mais elle lui fut retirer rapidement puis il fut emporté.
Quand à l'opposant du Général Armstrong il lui faisait face avec force et conviction.. Le Capitaine Londo était reconnu pour sa force de caractère et ses positions fermes. Il répondait à chaque assaut de cette femme aussi formidable que reconnu, même aux frontières de Drachma. A un moment, leur lames s'opposèrent par la force, ses pieds glissant un peu sur la surface de la neige couvertes de crasse et de sang. Sa question l'invita à froncer des sourcils sous sa crinière blonde.
A ce moment là, la radio grésilla, c'était la voix de Charlie qui tentait de se faire entendre.
« C'est l'un de vos hommes qui s'est infiltré chez nous pour nous attaquer. Votre fourberie n'est plus tant à démontrer, vous les amestriens ! »
Il y avait beaucoup de hargne dans ses mots, alors qu'il tenta de rompre le rapport de force, en cherchant à lui faire perdre son équilibre...Pour mieux l'attaquer en suivant.
Pendant un court instant la radio cessa de grésiller... Charlie ne parlait cependant plus du tout. Preuve qu'elle était soit morte soit en effet kidnappée.. Lorsque les hommes arriveront dans sa chambre, il ne trouveront personne.. La porte aura été défoncé par quelque chose de très lourd.. Une personne très compacte.. Aucune radio ne traînait au sol, preuve qu'elle avait été emporté. La pièce était sans dessus dessous, comme si la victime s'était débattue.. Il n'y avait pas de trace de sang au demeurant. Mais un foulard blanc jonchait le sol. Celui là même que Corwin avait donné à sa soeur. Un soldat avec un képi visé sur le crâne, portant un sac, disparaissait dans la masse... et quand il gagna l'extérieur, il son uniforme changea de couleur, se mêlant à la neige qui tombait de plus en plus. L'homme marchait vite, bien trop vite pour un humain, disparaissant vers les montagnes, ignorant totalement les combats. Le sac pouvait faire penser à un corps.
[HRP] - Attention à votre visibilité. - Charlie est définitivement enlevée.. Vous pouvez cependant relever les indices qu'il y aa dans la pièce. - Vous avez un prisonnier adverse - Ce sujet concerne : @Olivia Mira Armstrong et @Alistair Van Helsing - Que le sort vous soit favorable.
La radio que le général Armstrong portait à la ceinture se mis à grésiller. Elle reconnut aisément la voix du major Van Helsing. Miles interpela Olivia juste après la communication en s’adossant à elle. Cette action permis à la femme de ne pas perdre l’équilibre que son adversaire tentait de rompre. Elle repoussa son attaque avec force pour l’éloigner d’elle, le temps de se reprendre.
- J’ai entendu.
Répliqua la blonde entre ses dents. La rage se faisait sentir. Plus le temps de jouer. Elle sorti à nouveau son arme et le pointa en direction de son adversaire, le mettant ainsi en joue. Son épée dans la main droite, lame en avant pour se défendre. Le pistolet dans la main gauche, doigt sur la gâchette, prête à faire feu, elle s’avançait vers son adversaire. Son but n’était pas de tuer, mais de comprendre. De la sorte, elle pouvait le tenir en respect, et parer ses attaques s’il décidait de revenir à l’assaut. Mais en toute logique, il ne risquerait pas de se faire descendre si bêtement. Au moindre geste suspect de sa part, elle n’hésitera pas à tirer. Cela se voyait dans son regard.
Le visage du général était sévère. Une veine palpitait sur sa tempe gauche, preuve que sa rage était à son paroxysme. Elle se fichait pas mal d’être plus petite que cet homme. Si cela devait l’arrêter, elle ne serait jamais arrivée au niveau où elle se trouve. Plus menaçante que jamais, elle se rapprocha suffisamment pour que la pointe de sa lame soit proche de la gorge de son adversaire. A cet instant, on pouvait comparer la blonde à un de ses terribles ours sauvages qui vivaient dans la montagne. Ces ours, qui terrifiaient la majorité dans soldats se trouvant dans le secteur, que cela soit des soldats de Briggs, ou des soldats de Drachma.
- Ne raconte pas de bêtises. Je n’ai envoyé aucun homme s’infiltrer. En revanche, toi. Dis-moi comment et pourquoi êtes-vous arrivé à vous introduire dans la forteresse. Parles !!
En y réfléchissant, une attaque de Drachma avec une visibilité aussi réduite ne pouvait avoir qu’un seul but : infiltrer la forteresse de Briggs. Cela devenait évident à présent. Il ne pouvait pas y avoir d’autres explications. La manœuvre était facile à comprendre. Pousser les troupes de Briggs à quitter la forteresse pour combattre. Une visibilité restreinte obligerait Briggs à avancer, délaissant partiellement la forteresse. Drachma n’avait plus qu’à envoyer une unité infiltrer la structure. C’était ingénieux, mais lâche. Le capitaine Longo n’avait pas habitué le général Armstrong à une telle lâcheté.
- Vous me décevez… Vous m’avez habitué à plus de civilité dans votre manière de combattre.
Dit-elle, affichant un rictus de dégoût.
- Les chiens comme toi je les pulvérise. Parles je te dis !
Miles qui ne se trouvait pas très loin interpella de nouveau le général qui afficha une expression encore plus menaçante.
- Envisagez la possibilité que Briggs et Drachma aient été manipulé dans le seul but de réduire les effectifs dans les deux bases… Rappelez-vous les derniers évènements.
A ces mots, la blonde afficha une expression surprise avant de froncer à nouveau les sourcils. Elle ne baissa pas pour autant la menace qu’elle avait fait pesée sur son adversaire.
- Soit… Je veux bien l’admettre pour cette fois. Rappels tes troupes. Je ferai de même.
Olivia abaissa son pistolet, mais garda tout de même le doigt sur la détente et son épée en direction de la gorge de son adversaire. Mais elle semblait plus encline à admettre que Drachma n’avait pas choisi cette bataille non plus. La question était pourquoi ? Elle s’était pliée aux ordres du généralissime sans discuter. Pourquoi aurait-il envoyer un homonculus mettre le bazar à Briggs ? Voulait-il la faire tomber ou c’est une autre personne qui était visée ? Elle mènera son enquête dès qu’elle sera de retour à Briggs, et certains auront des comptes à lui rendre sans attendre.
c'est un Alistair enragé qui déboula dans la zone d'accès à la forteresse. Criant rapidement des ordres pour que certains soldats l'accompagne en étant en arme. Il fonça dans les accès menant aux étages supérieur ne prenant même pas le temps de s'arrêter pour reprendre son souffle. Il monta dans un ascenseur pour aller dans les étages supérieurs de la forteresse plus rapidement, tapant du pied d'agacement le trouvant trop lent tout en rechargeant rapidement ses armes. L'officier de Drachma capturé déjà relégué au fond de ses pensées, serrant les dents de colère. Les hommes qui l'accompagnait n'osant posé des questions sur la situation, n'ayant jamais vu le jeune homme ainsi.
Ici Athéna ! Alistair j'ai envoyé deux de nos hommes à la chambre de Charlie, tu me reçois ? grésilla alors la radio du major.
Bien reçu Athéna, je suis moi même dans la forteresse et me dirige sur place via l'ascenseur central. Met tout les hommes en observation, je veux savoir si quelqu'un quitte la forteresse ! Dit-il, d'un calme glacial. Dés que l'ascenseur stoppa sa course et s'ouvrit, il s'élança, laissa la charge aux soldats de tenir le rythme.
Il arriva en même temps que ses propres hommes pour tombé sur un groupe de soldats qui observa la pièce médusé et constater la porte défoncée et arrachée, la piéce sans dessus dessous... Les soldats s'écartèrent rapidement en le voyant arriver les armes à la main et il entra, vit et ramassa le foulard que la jeune femme portait, il gronda mais nota aussi qu'il n'y avait pas de trace de sa radio si de sang... Elle avait donc bien été kidnappé et avait sa radio sur elle, s'était une bonne chose. Mais ça ne calma pas la colère du Major qui réfléchissait alors qu'un de ses hommes lui posa une question.
Major... qu'est ce qui a bien pu arracher cette porte... C'était de l'acier trempé de 5cm d'épaisseur, presque autant que le blindage des tanks, et pourtant elle est pliée comme une feuille de papier... Même le capitaine Buccaneer et son automail ne pourraient faire ça...
Je ne sais pas... mais je compte bien le découvrir... Répondit-il dans un grondement. Il se tourna alors vers les soldats présents.
Soldats ! Fouillez moi la forteresse de fond en comble ! Trouvez par ou les kidnappeurs ont pu partir ! Il en va de l'honneur de notre reine, son invité personnelle ayant été enlevée sous notre garde ! s'exclama-t-il mettant ainsi en branle tout les soldats présents qui se dispersèrent. Il contacta ensuite son unité.
Unité Whitewolf, on part en chasse ! Repérez tout mouvement des deux côtés de la forteresse ! Recherche un ou plusieurs individu semblant transporter quelque chose qui pourrai être de la taille d'un corps ! Dit-il dans la radio. Il serra les dents, manquant de s'en brisé une... se préparant à faire son rapport au Général et a partir en chasse tout de suite après, il fallait retrouver Charlie le plus rapidement possible, il devait ça a son ami Corwin.
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