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Rapport d'un échec, rapport d'un patient | Novembre 1914 | Corwin
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Corwin Griffin
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Corwin Griffin
FB - NOVEMBRE - 1914
C'est dans un parfait silence que Corwin observa Adair qui revenait auprès de lui avec un petit plateau qu'elle déposa sur la table. Parmi tout les ustensiles, elle vint à  s'emparer des petits ciseaux et d'une pince en métal, avant de se tourner pleinement vers sa jambe. Ses gestes paraissaient des plus précis, alors que le jeune homme restait simplement assit contre le dos de son lit. Il n'y avait aucun signe de nervosité de sa part, tandis que la pression des pansements se relâchait autour de sa cuisse. A ses yeux, la plaie ne semblait pas si terrible que ça. A croire qu'il avait lui-même bien organisé sa chute pour se faire planter proprement. Inspirant lentement, il se contenta de croiser les bras sur son torse, restant parfaitement attentif envers les actes de la jeune femme. D'ordinaire, les femmes l'ennuyaient un peu, mais elle semblait bien trop sérieuse pour être de ce genre là. Une pensée aussi étrange que fugace qui ne manqua pas de faire naître un froncement de sourcil sur ce visage si placide, avant de disparaître. C'est alors qu'Adair attrapa un autre outil avant de lui indiquer la démarche qui allait suivre. Relevant son regard anthracite sur sa personne, le Frozen approuva une fois de plus en silence. Ce genre de test n'avait rien de compliquer et de douloureux. Lorsqu'elle vint le piquer en dessous du genou, le contacte froid du métal lui offrit un léger frisson qui fit dresser les poils.

C'est en se raclant la gorge que Corwin se reprit et signala à chaque tentative qu'il ressentait toujours, alors qu'elle descendait toujours un peu plus bas son outil. Il ne l'admettrait jamais, mais il avait toujours été plus ou moins chatouilleux à ce genre de chose.


➽ Vous pensiez que mes nerfs auraient pu être abîmés j'imagine...


Sa voix atone rompait enfin le silence entre nos deux protagonistes. C'était une simple analyse de la situation, plus pour lui-même que pour le Docteur Fetcher. En vérité, Corwin éprouvait comme des fourmilles dans sa jambe. Cela faisait un si long moment qu'il n'avait pas pu la sentir véritablement quand il la posait au sol. La plus part du temps, il se déplaçait avec le fauteuil, voir les béquilles, mais rien ne lui permettait de véritablement poser le pies au sol. Gardant les bras croisé, il savait qu'il allait encore devoir patienté sur ce sujet. A la dernière touche d'Adair, il fit une légère moue contrôlée....Chatouilleux ? Oui un peu. Son regard se balada un peu dans la pièce avant de s'attarder sur le violon.  Il en jouerait volontiers s'il ne se trouvait pas à l'hôpital, rien que pour se laisser aller à de simple réflexion avec tout ce qu'il s'était déroulé. Entre ce Général à qui il dirait bien encore sa façon de voir les choses, cette émancipation que lui proposait Mustang et sa famille, il y avait de quoi faire. Laissant sa tête se reposer sur l'oreiller, ses pupilles fixèrent le plafond un instant, avant de revenir sur l'état de sa jambe. Il ne paraissait pas inquiet quant au verdict. Depuis le départ, cette femme lui disait que tout semblait en ordre, et suite à ce petit examen un peu  chatouilleux, il restait assez confiant sur la question.

A moins qu'elle ne lui propose encore un autre test ? Il se contenta de contempler le docteur dans  l'attente d'une suite probable ou bien une confirmation sur ce qu'il pensait déjà. Dans tout les cas, il se pliera à ses demandes, même de boire cette fichue tisane comme le Frozen l'avait promit. Inspirant lentement, son esprit lui parut petit à petit plus fatigué, a croire que d'avoir fait une petite partie d'échec en solitaire et cette visite avait suffit à vaincre les barrières de l'insomnie.. A moins que ce soit le cumule de cette dernière. Ce qui ne l'étonnait guère, il en avait l'habitude. Corwin vint à se pincer l'arête du nez, pour garder un peu de concentration.




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«Chez nous la loyauté s'achète par la loyauté.»


Dim 15 Mai - 12:17
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Adair Fletcher
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Adair Fletcher

Rapport d'un échec, rapport d'un patient



Le léger frisson au contact de la pointe ne surprit pas le docteur qu'elle était. Si l'exercice était simple, il n'était pas tout à fait agréable aux premiers abords.

- En effet, certains nerfs auraient pu être touchés. Confirma-t-elle en relevant la tête vers ce dernier.

Gardant un regard attentif sur ses gestes et sur son patient, elle mena son examen à terme en quelques minutes. Le résultat qui ne montra aucun dommage fut consigné immédiatement dans son dossier et qu'elle annonça au concerné. Puis la jeune femme commença à rassembler tous les instruments qu'elle avait pu utiliser auparavant.  

Tandis qu'elle s'exécuta, les premiers signes de fatigue de l'alchimiste n'échappèrent pas à la soignante qui eut un mince sourire volatile comme l'air. Signes qu'elle considéra comme une bonne nouvelle, étant donné ses tendances insomniaques.  

Reposant la tige métallique sur le plateau, Adair prit un bref instant pour glisser sa main dans la poche droite de sa blouse pour y sortir une petite montre en or rose dont le cadran s'ouvrit avec un faible cliquetis. Cette dernière montrait de forts signes d'usures avec éraflures, cependant elle restait fonctionnelle en lui donnant l'heure à quelques minutes près, ce qui suffisait amplement au docteur qui n'avait jamais le temps de s'attarder sur le temps. Temps qui lui filait entre les doigts plus vite qu'elle ne voulait le croire.

Un bref coup d'oeil et le cadran affichait dix-huit heures vingt, dont il fallait retirer trois minutes. Chose qu'elle fit machinalement depuis qu'elle avait hérité de cette montre.

Distraitement elle posa la montre sur la table, pour se libérer les mains et se relever afin de préparer le nouveau bandage. D'ordinaire la jeune femme aurait appelé l'infirmière pour s'en occuper afin de passer rapidement au prochain patient, mais l'heure et l'état de son patient lui disait de le faire elle-même :

- Ma visite a duré plus que nécessaire et je vois que vous avez besoin de repos. Je vais refaire votre bandage et vous laisser. Pouvez-vous plier un peu la jambe afin que je puisse panser votre cuisse ?

Elle attendit que ce dernier s'exécute avant de passer un linge imbibé de désinfectant sur la plaie d'une pression contrôlée afin que le moment ne soit pas plus désagréable qu'il ne l'était déjà bien. Puis d'un rapide et mesuré mouvement, Adair enroula la bande de tissu autour de la cuisse avant de nouer proprement ce dernier. L'habitude de l'exercice ne lui donna aucune fausse note après qu'elle eut vérifié la tenue de son bandage en tirant légèrement sur le nœud et sur les côtés avant de reculer.

- Si vous avez besoin de quoi ce soit d'autres, n'hésitez pas à en faire part à l'infirmière, prit-elle la peine de lui dire. Elle vous amènera également la tisane que je vais vous prescrire, en plus de votre traitement habituel. Ca n'a peut-être pas le velouté et l'amertume corsé de votre café quotient, si c'est ainsi que vous l'aimez du moins, souligna-t-elle avec une note presque narquoise en regardant l'alchimiste, mais voyez cela... Comme une petite consolation en attendant, finit-elle sérieusement.
Lun 16 Mai - 21:39
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Corwin Griffin
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Corwin Griffin
FB - NOVEMBRE - 1914
Retirant ses doigts de son nez, Corwin reporta son attention sur les paroles de son médecin qui terminait avec soin son inspection. Enfin, elle éloigna cet ustensile de sa jambe, pour se saisir de quelque chose qu'elle détenait dans sa poche. Par simple curiosité, le jeune homme observa ce qu'elle détenait dans sa main , avant de reconnaître une montre. Pas de première jeunesse en vérité.. elle devait en avoir vu de toute les couleurs... Le silence était tel dans la pièce que le Frozen prêta l'oreille pour entendre le cliquetis de cette survivante. Le pouls semblait résistant, signe que le mécanisme  était de bonne qualité. Il tendis légèrement le cou pour pouvoir lire si possible, la marque de la montre, Adair interrompit son action en la déposant sur la table pour ensuite lui demander de relever un peu la jambe, afin qu'elle puisse procéder au bandage de sa cuisse.  Le jeune Lieutenant-Colonel se raclât la gorge en reprenant sa concentration et approuva du chef. Il redoutait un peu la manœuvre, bien que la douleur était toujours très mauvaise conseillère...Il le savait.

Relevant lentement sa jambe, le Frozen éprouva une douleur sourde se manifester, mais cela semblait parfaitement supportable, tandis que son visage n'exprimait pas une seule fois la moindre gêne. Une fois la jambe positionné comme le médecin le désirait, il la laissa agir à sa guise. La compresse sur sa plaie lui fit néanmoins un peu serrer les dents pendant quelques secondes, sans parler que cela était bien plus froid qu'il ne l'aurait imaginé. Étrangement, cette sensation lui apporta un sentiment de familiarité et de réconfort. Inspirant lentement, Corwin mesurait l'étendu de sa fatigue. Cette dernière allait avoir en définitive, raison de lui. Gardant toujours un profond silence, il préféra laisser son regard se perdre sur cette montre et son rythme un peu fatigué. C'est alors que le docteur serra un peu plus son travail avant de lui adresser une nouvelle fois la parole, l'invitant à tourner ses yeux dans sa direction. Il ne coupera donc pas à cette fichue tisane, mais en même temps, n'avait-il pas donné sa parole sur la question ?  C'est un sentiment de résignation qui s'invita en son cœur, tandis qu'Adair semblait être à la fois amusé et si sérieuse envers lui.

C'est bien parce qu'il n'était pas en position de force qu'il préféra se taire. Mauvais caractère ? Oui un peu. Cependant, il préféra oublier sa frustration, alors qu'une idée vint à le frapper.. Sa voix se manifesta dans les airs de manière atone et tranquille :  


➽ Soit je me plierai comme je vous l'ai dit à cette.. chose.  En revanche, je vois que votre montre n'est pas en meilleur état que moi-même. Elle est solide, mais son cœur n'a pas l'air bien réglé. Si je suis un patient qui tâche de faire de son mieux, est-ce que vous m'autoriseriez d'aider à mon tour votre montre ?


Bon il lui faudrait quelques outils, mais rien de bien introuvable... Si elle le voulait bien. De plus, si jamais durant la nuit, il n'avait plus sommeil, il saura quoi faire.

➽ Je vous promet de vous la rendre comme neuve.  


Après tout, il n'était pas un Griffin pour rien. Leur horlogerie était reconnu et Corwion ne déméritait pas à ce sujet.  


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Mar 17 Mai - 14:21
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Adair Fletcher
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Adair Fletcher

Rapport d'un échec, rapport d'un patient



La pansage d'une plaie était toujours une partie pénible pour les blessés. Adair avait fait de son mieux pour ne pas appeler davantage la douleur, mais au bout du compte il était difficile de l'ignorer quelques soit les circonstances même si le patient ne montra aucun signe de faiblesse. Les instruments trouvant place sur le plateau qu'elle avait sorti, ainsi que les restes de l'ancien pansement, la jeune femme allait s'emparer de sa montre pour la glisser dans sa poche, mais fut prise au dépourvu par l'alchimiste qui avait remarqué cette dernière et son aspect usé.

La comparaison entre son état et celui de la montre arracha un sourire amusé au docteur qu'elle dissipa en baissant la tête pour regarder cette dernière.

- Il est vrai qu'elle a essayé quelques bavures et qu'elle n'a pas été choyée à sa juste valeur. De plus lointaine souvenir que j'en ai, elle n'a jamais été bien portante. Un peu comme si elle était atteinte d'une longue et pénible maladie dégénérescente. Mais ses marques et ses défauts font partie de son charme je dirais... Avoua-t-elle d'une voix pensive. Du bouts des doigts, elle fit pivoter la montre pour regarder le dos dont une large éraflure avait laissé une empreinte indélébile sur la surface.

Cet héritage de famille devait remonter à deux voire trois générations auparavant sa naissance. Un modèle discret et précieux qui témoignait sans doute de la fausse-modestie de son propriétaire initial. Ou était-ce tout simplement un amoureux des belles choses ? Qui sait... Adair connaissait assez peu l'histoire attachée à cette montre dont le nom du créateur avait été frotté par les années et les manipulations. Et elle y était attaché d'une certaine façon à cet objet, bien qu'elle prétendait le contraire. Sa valeur et son histoire finalement lui importaient assez peu, mais sentir son poids dans la poche faisait partie de l'ordre qui rythmait sa vie faite de bonheur et de tragédie d'autrui.

- Son état ne dérange pas plus que ça. C'est le vôtre qui me préoccupe, reprit-elle en croisant les bras sur sa poitrine d'un air agacé.

Un mince soupir échappa d'entre ses lèvres qui témoignait de son hésitation. Ce n'est pas comme si elle doutait des compétences de ce dernier en la matière, même si la proposition lui avait valu un haussement de sourcil étonné. Mesurant les pours et contres brièvement, elle finit par se laisser porter par la curiosité :

- Je peux vous la confier, mais je ne vois pas comment vous pouvez l'arranger si vous n'avez pas vos outils. Toutefois faites-moi le plaisir de fermer les yeux et de dormir ou je me verrais obligée de vous prescrire un traitement bien plus pénible que cette chose comme vous dîtes. Elle fit une pause avant de conclure d'un voix intransigeante. Ne voyez pas cela comme une déclaration de guerre, mais comme une mesure nécessaire à tout obstinément... Et ce même si vous avez des tendances à l'insomnie, déclara-t-elle ton ferme en le regardant fixement l'officier de son regard miroir avant de se relever.
Mar 17 Mai - 19:15
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Corwin Griffin
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Corwin Griffin
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Abaisant sa jambe, Corwin ressentit une légère tension , avant de la laissé se reposé sur le matelas avec un certain soulagement. Alors qu'il venait de soumettre envers Adair son offre, cette dernière parut plus ou moins amusé par sa réflexion, abaissant un peu son visage pour contempler l'objet de la conversation. Elle finit par lui révéler qu'elle n'était pas du tout de première jeunesse, mais qu'elle aimait ce côté authentique. Quelque chose que le Frozen comprenait parfaitement et bien qu'il n'en disait mot, il avait sauvegardé ses paroles dans un coin de sa tête. S'il voulait lui rendre cette toquante impeccable, notre alchimiste allait devoir lui rendre sa vivacité sans rompre ce côté authentique. Sa voix resta en suspend quelques secondes avant de reprendre tout en l'observant les bras croisé. A son comportement, Corwin décelait la gravité dans tout cela. Comme quoi, il allait devoir se ménager et rester tranquille. S'il n'avait pas un tel contrôle sur sa propre personne, il en aurait soupiré. Il leva simplement la main en signe d'acceptation. Le jeune homme n'allait pas se répété sur ce qu'il avait promis après tout. Son regard s'attarda à nouveau sur la montre. Tandis qu'une fois de plus le docteur lui intima qu'il devrait dans un premier temps, dormir.

Quant à ses outils, le Lieutenant-Colonel en faisait son affaire.. Lorsqu'elle quitta la pièce, Corwin sentit à nouveau cette fatigue lui tomber dessus sans ménagement. Non, il n'était pas en forme mais il espérait que bientôt, il en sera autrement. Ce n'est pas en restant ici qu'il fera bouger les choses. Se calant un peu mieux dans son lit, il ne fallut pas plus de quelques minutes pour que le sommeil ne s'empare de lui. Le jour suivant cette visite, notre Griffin reçu la visite de son mentor et ami, Yueh. C'est par son biais qu'il put obtenir ses outils de secoure, lors d'une toute autre visite. En journée, dès qu'il avait un peu de temps après les visites médicales et les moments de sieste imposé par cette fichue tisane au goût réellement discutable, le jeune homme s'évertuait à travailler sur cette montre. Une discipline qui demandait de l'application et de la méthode. Des gestes familier et rassurant, apportant un semblant de paix à Corwin, bien plus que de jouer du violon. Ce dernier restant toujours à ses côtés.  Se concentrer ainsi, lui faisait perdre ce sentiment d'impatience de rester cloué ici, alors qu'il y avait tant à faire au delà de ces murs.

Il ne lui fallut que quelques jours pour refermer cette montre pour de bon et la frotter avec un chiffon à l'aspect doux. Elle ne luisait pas comme neuve, car le Frozen avait tenté de garder son petit cachet... Cependant le rythme  qu'elle laissait entendre était fort et régulier. De plus elle gardait une précision parfaite de l'heure à présent.  Si cela lui avait pris autant de temps, c'est bien parce que ce mécanisme ne ressemblait en rien à ceux qu'il avait pu pratiquer jusque là. Corwin avait donc étudier sagement tout cela avant d'agir. Il était relativement fier de son travail et alors qu'il avait eut droit à une petite promenade avec son fauteuil, notre Lieutenant-Colonel se rendit vers l’accueil de l'hôpital. Là, il donna à la personne qui se tenait ici, une petite boîte en carton qui contenait la montre tout en demandant à ce que cela soit remit au Docteur Fletcher. Après quoi, le Frozen s'éloignait déjà en direction du parc, histoire de prendre un peu l'air. Jusque là, il n'avait pas dérogé à une seule des règles qu'elle lui avait imposé.




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Jeu 19 Mai - 15:28
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