∎ Fonction de votre personnage

∎ DESCRIPTIF DU PERSONNAGE :



Avec ses cheveux noirs aux reflets violacés doux comme de la soie, dont la majorité sont retenu par une espèce de ruban en laissant le reste retomber en cascade dans son dos, ses yeux en amande aux mêmes reflets violacés que ses cheveux, encadrés par de longs cils, ses sourcils aussi fins que les branches d’un saule et son aura presque lumineuse, il ferait de l’ombre à une nymphe céleste. Filiforme et d’une t’aille assez moyenne, environ 1m70, Jiao cache un corps plutôt musclé sous une apparence androgyne et des vêtement amples.



Chacune de ses sorties est ponctuée de sifflements admiratifs. Son incroyable beauté est la source de nombreux commérages. Beaucoup estiment que, s’il était né femme, le pays tout entier se serait prosterné à ses pieds D’autres, vont plus loin encore, affirmant qu’il pourrait séduire n’importe qui, quel que soit son sexe. De telles flatteries laissent malgré tout le principal intéressé aussi froid qu’un matin d’hiver.



D’un caractère plutôt espiègle et calculateur, il dispose d’un talent naturel pour flatter les qualités dont chacun aime s’enorgueillir. L’art de la flagornerie n’a aucun secret pour lui. Il ne ment pas pour autant. Tout au plus jongle-t-il avec les omissions et les détours. Pour se faire, il pare son visage juvénile d’un sourire de nymphe. Il ne faut pourtant pas se méprendre sur le mince sourire qui s’étire sur la bouche de Jiao. Il ne se lasse jamais de s’amuser avec ses jouets. Enfant gâté et capricieux, il n’aime pas qu’on lui refuse des services, ni qu’on le prive de son jouet du moment. En car de telles frustrations, il est capable de passer plusieurs jours à bouder dans son coin avant d’aller, froidement, demander des explications sur la situation.



Même s’il fait, la plupart du temps, bonne figure, il n’en est pas moins rancunier, et jaloux. Il déteste tout particulièrement que l’on s’approche de trop près de « ce » qui lui appartient. En général, c’est plutôt le chef de sa garde rapprochée, Hao, qui s’occupe d’arranger les angles lorsque Jiao se montre un peu trop excentrique. Hao est donc plus populaire que Jiao auprès des serviteurs du prince capricieux. Et c’est d’ailleurs cela qui le rends, la plupart du temps grincheux.



Hao reste néanmoins le seul à pouvoir canaliser le prince, en lui rappelant ses devoirs, comme s’occuper de la paperasse, ne pas taquiner les serviteurs, etc… Ou en cherchant d’autre distractions pour le sortir de ses bouderies. Il faut dire que Hao n’est pas un simple chef de garde rapprochée. Il est également le précepteur du prince. Il a donc une certaine autorité sur le prince.



MAIS Jiao ne boude pas toujours lorsqu’il est blessé dans sa fierté. Le seul moment où il pourrait déplacer des montagnes, c’est lorsque l’on s’attaque à son précieux petit cercle. Le reste du temps, il se montre assez puéril. .



Pourtant, ces capacités ne lui servent pas à sortir son épingle du jeu pour son propre intérêt. Il ne brigue pas du tout le trône. Non, il s’en sert pour accomplir sa mission en attendant qu’un de ses frères ou une de ses sœurs le relève de sa fonction. Le bien du peuple tout entier, et non pas seulement son clan l’anime. Il a l’âme d’un vrai roi, mais n’en veut pas les responsabilités. Il cherche juste à rester en vie et vivre en paix.



Dans la course au trône malgré lui, son clan le pousse à se distinguer par sa beauté et ses talents. Et comme chacun de ses frères et sœurs en compétition pour le trône, il est, lui aussi, victime de tentatives de meurtre. Sa place et ses qualités font-elles présumées à ses concurrents qu’il occupe une position particulièrement favorable ? Pas forcément. Si certains essayent de se distinguer au moins aussi bien que lui, d’autres vont chercher l’immortalité que réclament l’empereur leur père, d’autres encore pense que l’élimination des autres héritiers est la solution.

∎ BIOGRAPHIE :


La nuit avait une nouvelle fois été agitée. Jiao retournait à ses appartements, à moitié nu, son épée dans la main trainait presque sur le sol. Encore une tentative de meurtre. Combien en avait-il essuyé depuis le début de la semaine ? Il ne les comptait plus, et nous n’étions que mercredi. Le prince leva les yeux vers l’horloge et se corrigea. Non, nous étions jeudi matin. La veille, un poison paralysant avait été ajouté à son repas. Sa gouteuse, Hua, passionnée par les poisons, semblait s’en être remise. Mais par avis de conscience, il n’avait rien avalé depuis le dernier repas non empoisonné, soit le mercredi matin. Ses assaillants pensaient-ils vraiment qu’il serait diminué ou paralysé pour se défendre ? Probablement. Et pour couronner le tout, ils s’étaient débrouiller pour éloigner sa garde personnelle sur une autre affaire. Vraiment. S’il tenait le responsable de ses attaques incessantes, il lui ferait passer l’envie de recommencer. En attendant, il n’avait à faire qu’à des faire-valoir. De la petite frappe. Pas même capable de venir à bout d’un homme qui semble aussi fragile que lui.



En simple pantalon de soie, son torse musclé, visible, témoignait de l’entrainement militaire qu’il avait reçu dans sa jeunesse. Jiao est un jeune homme robuste et entrainé. Dans ses appartements privés, il cache une cour intérieure où il peut s’entrainer au maniement du sabre à l’abri des regards. Ainsi, personne ne peut soupçonner qu’il est encore apte au combat. Avec le chef de sa garde, Hao, il avait fait courir le bruit que, lors de sa dernière bataille menée au nom de son père, il avait été gravement blessé et que le port des armes lui était à présent interdit. Même son père le croyait. Il espérait ainsi vivre tranquillement. Mais quand on a une tête bien faite, on ne se libère pas facilement de l’avarice de ses proches. Jiao s’était donc retrouvé chargé d’étudier et présenter différentes stratégies militaires à l’empereur. Il avait été nommé à ce porte par l’empereur lui-même. . Son clan était ravi. A l’en croire, c’était la voie royale pour le trône. Mais le bellâtre ne l’entendait pas ainsi. Son talent était certes reconnu, sa beauté, indiscutable. Il jouait toutefois d’un caractère légèrement tordu pour perturber qui il voulait quand il le voulait. Aussi flatteur que capricieux, manipulateur ou désintéressé, il usait de tous les vices pour remplir ses objectifs : le bien de la population, fuir la course au trône et garder la vie sauve. Pour le moment, il ne rencontrait qu’un échec cuisant. Il était maintenu dans la course contre son gré.



Jiao s’allongea sur son lit. Une de ses rare servante, et vieille nourrisse, Jing, n’allait plus tarder pour sa toilette. En attendant, il fixait le plafond en pensant à son clan. Il n’y a pas si longtemps, quelques mois peut-être, alors qu’il rendait visite aux siens pour conclure un pacte avec un autre clan du pays, une nouvelle tentative avait eu lieu. Personne ne put déterminer qui des deux candidats au trône était réellement visé ce jour-là. Mais la tante de Jiao, et petite sœur de sa mère, avait donné sa vie pour les protéger. Elle laissait derrière elle une petite fille de huit ans répondant au doux nom de Bao. Jiao se sentait plus proche de cette gamine que de ses frère et sœurs. Fils unique de dame Zhi, il n’avait pas pu établir de rapport amicaux avec ses frères et sœurs des autres clans. Il chérissait donc sa cousine comme sa propre petite sœur. Seulement, sa position lui empêchait d’être trop démonstratif à son égard. C’était également la raison pour laquelle, il préférait s’éloigner en attendant de pouvoir retrouver une vie d’insouciance.



Lorsque l’empereur tomba gravement malade, Jiao avait espéré se défaire de ce poste pour retourner à des activités plus oisives. Mais son clan avait œuvré pour qu’il conserve sa place. Si chaque prince et princesse possède sa garde personnelle, il prince capable d’élaborer des stratégies militaires satisfaisant le vieil empereur restait une menace pour les autres héritiers. . C’était sans doute la raison de ces attaques incessantes. Pourtant, jamais il ne céda à la tentation d’user de ses capacités pour prendre l’avantage, au grand damne de son clan qui voyaient là, une belle opportunité. . Ce n’était pas en agissant aussi vilement qu’il démontrerait son désintérêt pour le trône.



-       Chang, ma très chère tante. Comme ton nom l’indique, tu es partie libre en donnant ta vie pour nous sauver. Mais tu nous laisse un bien trop lourd fardeau…



Jiao se permettait de se laisser aller au sentimentalisme lorsqu’il se retrouvait seul.

∎ CE QUE PENSE Jiao

Que pensez-vous de la mort du Général de Brigade Hughes ? Des Alchimistes d'État et de leurs déploiement à Ishbal ?



Bien que cela se passe dans un pays dont la frontière n’est autre qu’un large et périlleux désert, j’ai été informé de ces évènements. En tant qu’intendant provisoire aux armées, je me doit d’être informé de tous les mouvements suspects des autres pays. D’autant plus que notre empire est actuellement affaiblit du fait de la santé dégradante de mon père.

Autant, la mort du général de brigade me laisse impassible. Je ne connais pas cet homme, ni les raisons de sa mort. En revanche, l’alchimie, et à fortiori les alchimiste d’Etat m’intriguent et me préoccupent. Il est possible qu’Amestris nous déclare la guerre. Mon devoir, si je ne peux l’éviter, est de nous préparer à les affronter.



Que pensez-vous des attaques de la part de Creta et de Drachma aux frontière du Nord et du Sud du pays?



Drachma reste un voisin direct de notre empire avec qui nous avons de bonnes relations, en apparence. S’il est capable d’attaquer ainsi Amestris, ce peut-il qu’il puisse nous attaquer ?

∎ CONDITIONS DU JOUEUR



∎ PSEUDO : Magashi

∎ INTERVENTION DU PNJ : oui

∎ AUTRES COMPTES : Olivia Mira Armstrong, Riffel Hotchkiss, Alexis Andersson

∎ UN PETIT MOT :

∎ Bienvenue sur FMA.D

Félicitations SHU-UI JIAO pour votre arrivée à Amestris !!

Installez-vous, prenez connaissance des petites annexes dont vous aurez besoin dans ce coin. Vous trouverez l'emplacement pour faire votre fiche de renseignements ici. Votre avatar est recensé.

N'hésitez pas à vous faire des amis et à vous amuser.