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Lieutenant Itorus
Levak Itorus
∎ Messages : 72
∎ Date d'inscription : 25/03/2023
∎ Localisation : Resembool / East city
∎ Fonction : Militaire
∎ Grade : Lieutenant
Levak Itorus
ITORUS Levak
∎ NOM : Levak Itorus
∎ AGE :32 ans
∎ DATE DE NAISSANCE : 27/10/1883
∎ ORIGINE : Marco
∎ GENRE : Homme
∎ STATUT MARITAL : Fiancé "à chapeau vert" (Riyla, sa fiancée, le trompe)
∎ FONCTION : Militaire
∎ GRADE / METIER : Lieutenant
∎ SPECIALITE : Argile (en apprentissage autodidacte)
∎ FT DE L'AVATAR : Semper Occultus - Stellaris


∎ DESCRIPTIF DU PERSONNAGE :
Le lieutenant Itorus est Loyal, impossible de dire le contraire. Sa volonté de protéger les Amestriens est ce qui le pousse à agir, à ignorer la plupart des risques qu'il encourt. Cette volonté est d'ailleurs ce qui le pousse à effectuer des actes relevant de l'insurrection.

Sa carrure, sa tenue austère et la canne qu'il porte quotidiennement renvoient de lui une image contraire à ce qu'il est réellement. Ishval l'a marqué, certes, mais il comble ses plaies internes par une générosité et une empathie surprenante pour quelqu'un de son grade.

Deux choses, cependant, sont à prendre en compte. Il reste un militaire ayant prit part à la boucherie et peut avoir des réactions disproportionnées suite à cela. Ensuite, sa volonté de protection va de pair avec un caractère "ombrageux" si quelque chose l'a empêché d'atteindre son but. Dans ces moments-là, il a tendance à passer vocalement ses nerfs sur quiconque lui passe sous les yeux, tandis que la cause de ce courroux à juste intérêt à bien se dissimuler si elle fait partie des personnes sur qui il a authorisation d'agir. Par contre, si vous souhaitez le calmer ou le mettre à l'aise, n'hésitez pas à lui proposer une bonne tasse de thé, sa boisson favorite, ou un verre de whisky, avec un unique glaçon.

Enfin, quelque chose que peu de personnes peuvent voir sont ses cicatrices. La plupart sont petites et répandues sur son corps, mais deux ressortent particulièrement. La première, en plein sur son torse, est une estafilade courant de l'épaule droite aux côtes flottantes opposées, dûes à son affrontement contre les Cretans alors qu'il était encore adolescent. L'autre est à sa jambe droite, une blessure de chasse dont il n'est pas très fier car un sanglier lui a arraché un peu de peau sur la cuisse avec ses défenses. Ce n'était pas profond et ne le gène plus, mais la cicatrisation s'est mal déroulée ce qui laisse bien visible la boursoufflure.


∎ BIOGRAPHIE :
Marco, petite bourgade de la zone Ouest, non loin de la zone Sud, à la frontière avec Creta. Malgré ce que l’on pourrait croire de par sa position proche d’un autre secteur Amestrien, elle n’en est pas plus protégée, loin de là même. En effet, l’État-Major de l’Ouest considère que le Sud pourra participer à la défense, ce qui leur permet de réduire les effectifs pour les renforcer dans d’autres cités, plus “importantes”. Bien entendu, l’État-Major du Sud ne veut pas avoir à s’occuper d’une ville, d’une bourgade même, qui ne fait pas partie de son territoire.

Par conséquent, pendant la guerre ayant précédé ta naissance, tes parents vécurent l’enfer dans l’une des villes les plus touchées par l’attaque Cretanne en tant que civils, n’ayant nullement eu le temps de fuir avant le début des combats.

13 Octobre 1883, soit douze ans plus tard, la ville ne s’est toujours pas relevée le jour de ta naissance. Les escarmouches fréquentes avec Creta empêchent l’armée d’allouer des hommes à la reconstruction de ce lieu oublié. Ton enfance, comme celle des Marcosiens de ta génération, est rythmée par les incursions ennemies, les contre incursions de l’armée, et la tentative de conserver des habitations convenables dans ce bazar. Heureusement, tout de même, en tant que ville une garnison, même réduite, y est affectée ce qui réduit les conséquences néfastes. Toujours est-il que tu as grandi avec la peur de l’étranger et l’adoration de l’armée.

Janvier 1896, tu as douze ans depuis quelques mois déjà, et tu te trouves hors de la ville avec des amis, persuadés que vous êtes tous des grands et qu’il ne peut rien vous arriver. Malheureusement, une nouvelle attaque a lieu, de la part des Cretans, et vous êtes sur leur chemin. Tes yeux, malgré ton imprudence tout aussi grande que celle de tes amis, sont les premiers à remarquer la colonne de poussière en provenance de la frontière. Tu alertes tes amis et, d’un accord unanime et silencieux, vous vous mettez tous à courir pour rentrer au plus vite chez vous. Dans votre course, la fille du mécanicien, Mara, trébuche et tombe alors que les envahisseurs s’approchent bien trop vite pour qu’elle n’ait une chance de les semer, alors qu’elle a deux ans de moins que vous et ne vous a suivi que parce que son abruti de frère n’a pas su tenir sa langue.

Sans réfléchir, tu fais demi-tour et va la relever, l’incite à courir comme jamais elle n’a tenté de le faire auparavant, mais cela ne suffira pas, tu le sais. L’ennemi est trop proche, il la rattrapera bien avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit. Il ne te reste qu’une option, ton esprit est décidé malgré la peur qui te broie les boyaux, tu te retournes pour faire face à l’armée, droit dans tes bottes et les poings devant la tête. Lorsque le premier arrive à portée, tu te jettes sur lui, puis…

Lorsque tu te réveilles, tu es entouré d’uniformes bleus. Tu apprends que l’armée est arrivée juste à temps pour te récupérer et mettre en déroute l’équipe de reconnaissance ennemie. Les médecins, ici, t’ont sauvé la vie, cette vie que tu venais de gâcher en te lançant contre plus fort que toi. Ces deux évènements ont finalement cimenté ce que tu souhaites, ce à quoi tu avais déjà commencé à penser auparavant. Tu seras soldat, et tu sauvera les Amestriens comme tu fus sauvé aujourd’hui. Jamais, ô grand jamais, tu ne lèveras la main sur un médecin.

8 Novembre 1901, tu as dix-huit ans depuis moins d’un mois et te voilà dans un camion, avec d’autres jeunes de ton âge, certains plus vieux, en direction de Central. Vous allez commencer votre formation, malgré les troubles à l’Est. Tu la termine sans éclat, tes capacités moyennes ne te permettant d’obtenir de bons résultats qu’au prix d’un travail acharné, prenant même plusieurs fois des sanctions disciplinaires pour ne pas avoir respecté l’horaire du couvre-feu, préférant étudier et t’entrainer pour être à la hauteur, pour ne plus avoir à te sacrifier en sauvant quelqu’un.

Ton souhait, cependant, ne portera pas ses fruits immédiatement vu ta première affectation. Votre première affectation, devrais-je dire, étant donné que l’ensemble de ta promotion est envoyé à Ishval pour mater l'insurrection. Pendant ce conflit, durant lequel tu ne quitte pas la terre désormais ensanglantée de la région, tu montes plusieurs fois en grade de par ton acharnement

1908, cela fait bientôt deux ans que les alchimistes d’État ont rejoint l’échauffourée. Cela fait presque sept ans que tu ne connais que l’horreur de la guerre et les génocides en tout genre. Tu es Adjudant-chef, maintenant, après que tant de tes supérieurs aient déserté ou se soient fait éliminer par les Ishvals acculés. Ton regard est sombre, mais pas dur, ta silhouette cependant a tout perdu des rondeurs de l’enfance, ne laissant plus d’sormais que des muscles ciselés sur ta carcasse, tandis que ton visage fait presque émacier, te donnant l’apparence d’un fantôme. Et pourtant, l’Adjudant-chef Itorus jouit d’une bonne réputation auprès de ses subordonnés. Le manque de personnel, la nécessité d’en garder ailleurs dans le pays, te contraint à procéder aux opérations avec des effectifs réduits, augmentant encore le nombre de victimes dans les rangs de l’armée.

Une mission arrive pour ton équipe, tu es censé enquêter sur une zone fraichement reprise aux rebelles avec tes cinq soldats, conjointement à la célébrité locale, le jeune engagé surnommé “Buzzard”. Juste avant le départ un des membre de ton équipe approche.

— Pas de cérémonie, Brook, parles.
— Mon Adjudant-chef, je souhaite m’éloigner du plan de patrouille pour être au plus proche de Buzzard.

Devant ton regard interrogateur, elle finit par t’avouer la vérité, une partie uniquement. Ils sont de la même famille et elle s’inquiète pour lui.

— Accordé. Tu me feras un débriefing sur ton action dès demain, pour que je puisse te couvrir auprès des supérieurs.

Tu ne reçus jamais de débriefing et n’eut pas non plus besoin de la couvrir auprès des supérieurs. A partir du lendemain, Buzzard ne fut plus vu sans avoir le collier de Brook autour du cou.

Quelques mois plus tard, le conflit achevé, tu fus muté dans le nord qui, malgré les conflits avec Drachma, reste une affectation bien plus calme que tes premières années de service. Tu peux même en profiter pour te remettre dans les leçons, pour te préparer à l'examen d’officier que tu passes en 1911, sans trop de problèmes. Une fois de retour, suite à une blessure à la jambe droite, tu es affublé d’une canne de marche le temps de te remettre convenablement. Tu trouves l’accessoire à ton goût et décide de toujours en garder une, sans compter que cela pousse les autres à te sous-estimer.

En 1912, finalement, tu obtiens une mutation, uniquement pour te voir affecter à nouveau à l’Est. Dépité par le fait que tu ne peux toujours pas voir ta famille régulièrement, en dehors des permissions, tu te reprends avec la pensée que quelle que soit la région ou tu te trouves, à l’exception de Central, il y a des petites communautés isolées à protéger. Ici, par exemple, il y a le petit village de Resembool où tu décide d’acheter une maisonnette, finalement prêt à passer le reste de ta vie à l’Est et priant pour ne pas avoir une nouvelle mutation. De plus, de par sa proximité avec les terres d’ishval, Resembool reste assez proche de tes affectations de patrouilles successives.

Le 12 Décembre de cette même année, lors d’une patrouille, ton unité est prise à parti par un groupe de survivants, les même sur lesquels vous étiez en train de mener une enquête. L’affrontement dure peu, mais tu remarques que l’un des rebelles porte un tatouage particulier, portant des symboles gravés dans ta mémoire suite aux événements de quatre ans auparavant. Laissant ton unité s’occuper des autres, tu fouilles méticuleusement le rebelle et trouve ce que tu cherches, même plus que ce que tu attendais. Tu voulais des petites feuilles, des brouillons de recherche griffonnés à la main, tu as un livret relié sur les bases de l’alchimie terrestre, probablement dérobé ailleurs vu son état. Sans un mot, tu le gardes pour en faire une copie, une fois rentré chez toi, avant de finalement le rendre.

Depuis, dès que tu as un moment à toi, tu t’entraine et apprends, malgré que ce temps soit encore réduit par la cour intensive que te fait une jeune demoiselle de ton village.

Nous arrivons finalement en 1915, où tout semble te réussir. Tu as accepté les avances de Riyla, désormais ta fiancée, ta carrière progresse avec ta nomination au grade de Lieutenant et, en termes de recherches, tu comprends finalement cette partie d’alchimie qui t’intéresse, l’alchimie d’Argile. Ta collection de canne progresse bien, elle aussi, avec ta dernière acquisition, nommé très humblement “canne du dragon” quand personne ne regarde, sur laquelle tu as gravé ton premier cercle alchimique. Ce dernier ne s’active que lorsque la pointe de la canne est complètement plantée dans le sol, la terre entourant ce métal complétant le cercle que tu as préparé.


∎ CE QUE PENSE LEVAK
Que pensez-vous de la mort du Général de Brigade Hughes ?
— Honnêtement, je ne sais quoi en penser, je ne connaissait pas le général de Brigade et, le fait qu'il soit mort me fait personnellement peu d'effet. Par contre, le fait que ce soit un assassinat m'impacte un peu plus. Dire qu'une personne aussi protégée qu'un Lieutenant-Colonel, comme il l'était avant sa promotion, puisse être assassiné à Central ? Cela n'augure rien de bon, vous pouvez me croire quand je vous annonce cette prédiction.

Que pensez-vous des Alchimistes d'État et de leurs déploiement à Ishbal ?
— Les Alchimistes d'État sont une arme puissante pour le gouvernement, pour la protection du peuple.

Tu frissonne, le regard dans le vague, avant de continuer ta réponse.

— Pour les alchimistes eux-mêmes, le fait d'intégrer ces rangs est aussi une aubaine de voir leurs recherches financées. A vrai dire, j'envie ces personnes, sans comprendre ceux qui ne voient en eux que les chiens de l'armée. Ils peuvent sauver des milliers de vies en participant à nos conflits, pourquoi personne ne le comprend-il ? A vrai dire, je penses très sérieusement à les rejoindre si un jour j'en ai la possibilité.

Que pensez vous des attaques de la part de Creta et de Drachma aux frontière du Nord et du Sud du pays ?
— Il faut en penser quelque chose ? Nous avons toujours été en tension avec ces deux entités. J'ai expérimenté la compétence du Général Armstrong et je ne me fais donc aucun souci pour le Nord. Cette région tiendra bien après la défaite de toute autre division, si cela devait arriver.

Pour le Sud, par contre, je me fais plus de soucis. J'espère que nos autorités sont plus sérieuses que durant mon enfance, sinon je n'ose imaginer ce qu'il se passera...


∎ CONDITIONS DU JOUEUR

∎ PSEUDO :Akitol/Newer/Cottange/etc...
∎ INTERVENTION DU PNJ : oui
∎ AUTRES COMPTES : Pas prévu ^^
∎ UN PETIT MOT : mot


Sam 25 Mar - 21:38
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King Bradley
∎ Messages : 306
∎ Date d'inscription : 06/03/2020
∎ Localisation : Central
∎ Fonction : Militaire - chef de la nation d'Amestris
∎ Grade : Généralissime
PNJ Généralissime
King Bradley
bravo !

∎ Bienvenue sur FMA.D
Félicitations Lieutenant  Levak Itorus pour votre arrivée à Amestris !!

Installez-vous, prenez connaissance des petites annexes dont vous aurez besoin dans ce coin. Vous trouverez l'emplacement pour faire votre fiche de renseignements ici. Votre avatar est recensé.

N'hésitez pas à vous faire des amis et à vous amuser.

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Le Président écrit en : #0492BA
Lun 27 Mar - 21:11
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