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La vengeance des enfants du désert - Pv Corwin
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Cette nuit était compliquée pour le voleur, il se trouvait dans sa tente. Impossible de dormir pour lui, les cauchemars étaient toujours présents, son corps était tellement habitué que la fatigue ne le gênait pas plus que ça. De plus,  dans quelques minutes il devait s’adresser aux membres de son équipe, histoire de revoir une dernière fois le plan concernant le train. D’après les informations qu’il avait reçues de son contact, un train rempli d’armes et de munitions devrait passer dans le sud, par le désert. L’endroit idéal pour lui et son équipe.

Se passant un coup d’eau sur le visage et s’assurant qu’il ressemblait à quelque chose, il enfilait sa chemise, qu’il laissait ouverte, son chapeau et de son plus beau sourire il regagnait la position des autres. Comme à son habitude il saluait tout le monde, il venait alors s’installer à une table sur laquelle se trouvait une carte, un plan et des notes gribouillées un peu partout dessus.

“Bon les gars. Et si on se matait ce plan une dernière fois.”

Une fois que chacun de ses partenaire donnait son point de vue et ses informations il relisait tout une dernière fois, avant de relever les yeux vers eux.

“Bon ce train sera sans doute surveillé, nos derniers exploits ne sont clairement pas passés inaperçus. Aux dernières nouvelles je suis recherché maintenant. Mais comme d’habitude, aucun dommage collatéral, on ne s’en prend aux soldats que s’ils jouent aux héros, les civils seront bien traités.”

Qassim le regardait en souriant les deux “frères” étaient d’accord. Une fois le plan terminé, il enfilait son couteau au niveau de sa ceinture. Le petit groupe se mettait en route, ils allaient attaquer en plein jours, ça ne changeait pas grand chose dans tous les cas, le temps que les renforts arrivent les voleurs auront largement le temps de prendre la fuite. Vadim se trouvait à l’arrière de la voiture, avec Kassim, à l’avant Shani conduisait s’assurant que le duo arriverait au niveau du train.

Vadim préparait son assaut en enfilant des gants ornés de griffes en aciers. Il s’en servait notamment en cas de perte d’équilibre pour les enfoncer dans le toit du train. Afin de couvrir leur montée à bord, Vadim joignait ses mains, en réalité ses cercles alchimiques se trouvaient sur les bracelets qu’il portait au poignet. Quelques secondes après que le sable environnant se soulevait autour du train, les freins des roues s'actionnent eux aussi d’un coup, comme un freinage d’urgence, les deux voleurs se tenaient fermement.

“T’es prêt akhi ?”

Les deux hommes échangeaient un dernier regard, un sourire, une poignée de main avant de passer à l’action. Le train était arrêté, c’était le bon moment pour passer à l’action. Kassim,protégé par son bandana, passait par le toit, Vadim lui joignait de nouveau ses mains provoquant un épais nuage de sable autour du véhicule, entrant dans un premier wagon il faisait face à deux soldats. L’effet de surprise passé, il neutralise les deux hommes, se dirigeant vers les wagons où se trouvait le précieux chargement.

Pour éviter d’être pris par de potentiels soldats restés à l’arrière, il posait une charge au niveau du mécanisme qui maintenait les wagons les uns aux autres. Puis une petite déflagration pouvait se faire entendre, laissant ainsi la dernière voiture seule au milieu du désert.  Kassim de son côté posait des charges au niveau des toits des wagons, les explosions contrôlés ouvraient ainsi un nouveau chemin. Les charges étaient faites de façon à ne tuer personne, mais bien détruire la taule utilisée pour fabriquer les trains.

A son tour il combattait les soldats présents. C’est cette étape la plus périlleuse.

Mar 7 Juin - 2:23
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Corwin Griffin
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Corwin Griffin
Juin - 1915


Depuis quelques mois, les convois ferroviaires étaient perturbés par diverses attaques, afin de déposséder l'armée amestrienne de ses armes. Un fait assez fâcheux, alors que le pays était au porte d'une guerre définitive avec Drachma, dans le Nord. Une enquête avait été mené dans le Sud et le dossier avait finit par échouer sur le bureau de la Section 9. Corwin l'avait longuement parcouru, conscient que ces armes pourraient servir à bien mauvais escient en se retrouvant sur le marché noir par exemple. Cette histoire piétinait un peu et si l'on pouvait au moins avoir un visage sur ces agissement, cela serait prometteur.  C'est pourquoi, il prit le risque de monter une opération dans un train en partance de Central et qui se rendait au cœur de l'ouest du Pays. Un long voyage en perspective et qui l’amènerait à prévoir une lutte dans un lieu désertique. C'est pourquoi le Frozen embarqua avec lui sa subordonnée le Lieutenant Leving, laissant Bruce gérer le reste de l'unité pendant son absence. Le jour J, il ne restait plus que quelques minutes pour régler les derniers préparatif, le Lieutenant-Colonel informant les soldats qui se trouvaient là, que si jamais ils se faisaient attaquer, leur priorité sera d'assurer la protection des passagers et de ne pas s'occuper de la cargaison. Cette dernière avait été fixé vers l'avant du train avec les autres marchandises, afin de ne pas se faire avoir par de possible explosif, qui laisserait la wagon sans défense au milieu de la voie. Quand à la majorité des soldats, ils resteraient dans la dernière voiture, comme cela devrait être le cas pour tout convoi. Autant garder un semblant de naturel pour ne pas alarmer leur cible.

Corwin avait prit place dans le wagon qui menait directement à la cargaison. Ce n'était pas l'endroit le plus confortable et la chaleur pouvait vite s'y engouffrer, créant de la condensation sur les boulons en acier, quand le soleil tapait véritablement fort. Quatre soldats se tenaient juste devant la porte de cette voiture qu'il occupait, tandis que le Lieutenant Leving se trouvait au niveau de la locomotive avec son fusil. Elle assurait la protection des mécanos, mais aussi du train.  Les heures passèrent, et au milieu de ces caisses, le Frozen ne paraissait pas encore se plaindre de la chaleur qui régnait ici, sous son uniforme. Il avait simplement défait sa veste pour la laisser pendre sur ses épaules, alors  qu'une gourde pendait à son flanc droit. Une précaution de plus alors que le milieu ne serait pas forcement à son avantage.  La sueur perlait à ses tempes, alors qu'il se tenait assit là, silencieux... Peut être que rien n'allait se passer, il ne pouvait pas en être certain. Sa main droite plongée dans la poche de son pantalon, il jonglait avec les bagues d'acier entre ses doigts, tel un jeu de patience. C'est alors que la monotonie du voyage se rompit très abruptement. Le train  freina d'un coup, amenant presque Corwin à perdre l'équilibre s'il ne s'était pas retenu à la caisse qui lui servait d'assise et qui avait été fixé à l'aide de divers cordages.  Le train fit plusieurs mètres avant de s'arrêter pour de bon.. Des cris se firent entendre ainsi que des ordres.

Les soldats agissaient comme il leur avait ordonné et des explosions parvinrent enfin à ses oreilles. Conscient  que c'était bel et bien l'attaque qu'il espérait, le Frozen plaça ses bagues sur chacun de ses sept autres doigts avant d'aviser la condensation qui régnait ici. Plaçant sa main sur la porte en fer qui donnait accès à la cargaison derrière lui. L'alchimiste fit apparaître de la glace afin d'en verrouiller l’accès. Cela durera quelques heures au moins, mais pas plus. Les quatre hommes firent bientôt face à l'adversaire au chapeau, le mettant directement en joug en lui ordonnant de ne pas avancer plus. Corwin se tenait  toujours à son poste, retirant un long couteau qu'il avait embarqué en cas de pépin, il s'avança vers la porte qui donnait sur l'ennemi. Plaçant la lame en arrière, le Frozen  paraissait de petite taille derrière les quatre autres hommes.


➽ Il serait sage de vous rendre.


Pendant ce temps, sur le toit de la locomotive.. Le Lieutenant Gladia Leving avait pris place en tenant son fusil. Elle tira une première fois en direction d'un homme qui plaçait des explosifs.


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«Chez nous la loyauté s'achète par la loyauté.»


Mer 8 Juin - 15:05
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L’assaut se déroulait comme prévu jusqu’à maintenant, Qassim avait pris position sur le toit, il plaçait des charges un peu partout, histoire d’assurer la fuite en cas de pépin, mais aussi de faire diversion. Vadim lui un masque en tissus lever sur le nez, cachant tout le bas de son visage progresse, une série de tir arrivait dans sa direction. Adossé à une banquette, il touchait alors ses poignets, avant de poser ses mains par-terre, rapidement un nuage de sable pénétrait dans le wagon. Touchant de nouveau ses cercles alchimiques, il envoyait depuis ce nuage des mains de sable qui frappaient les soldats, le premier était frappé contre le plafond, le second fut projeté à travers la porte de descente.

Le voleur posait ensuite sa main sur ce mur de sable, ouvrant un passage juste assez gros pour qu’il puisse passer et continuait son chemin. Le prochain wagon allait lui réserver quelques surprises. Devant lui se tenait un homme accompagnés de quelques soldats, ce dernier se tenait debout face à Vadim. Ce dernier avait bien l’intention de lui bloquer la route. Un large sourire se dessinait sous le masque.

Doucement il plongeait sa main dans une petite sacoche accrochée à sa ceinture. Tout en répondant, il laisse tomber au sol un petit tas de sable, gardant sa main le long de son corps.

“Evidemment. Je vais déposer les armes et ne plus bouger.”

Activant rapidement son alchimie, il envoyait des projectiles semblables à de petits couteaux dans la direction des militaires, d’un mouvement rapide. Puis profitant de l’ouverture offerte par cette attaque, il courait poignard en main en direction du plus petit militaire, vu le ton employé, sa position c’était clairement lui le chef de l’escouade et par conséquent le plus dangereux.

Le sable au sol allait l’aider pour plus tard, pour l’instant il jaugeait son adversaire.

Pendant ce temps Qassim avait lui aussi de la visite, le visage masqué il tournait la tête lorsqu’un tir de prévention arrivait dans sa direction, l’empêchant d’ailleurs de poser sa charge. Se tournant alors vers la femme qui le tenait en joue, il ouvrait le feu à son tour, les coups de feu n’avaient pas pour but de la tuée, mais de la poussée à rester à couvert.

Qassim ne semblait pas paniqué plus que ça. Mais en réalité il gardait l’attention de la militaire dans sa direction, il reculait légèrement de quelques pas, vraiment très lents. Il se doutait qu’elle finirait par répondre et tirer à son tour, mais il gagnait ces quelques centimètres. La situation n’était pas comme d’habitude, aucun soldat n’avait la logique d’aller voir sur le toit, beaucoup trop occupés à repousser Vadim.

Si elle avait gagné cette position c’est qu’il devait y avoir un souci en bas. Quelque chose devait le retenir, c’est à ce moment que Qassim comprenait qu’ils allaient probablement devoir improviser pour la suite. Une fois son chargeur vide, il trouvait refuge entre les deux wagons, il rechargeait son arme prêt tirer de nouveau, il attendait juste de savoir si son adversaire allait venir dans sa direction.

De son côté Shani démarrait, le bruit du véhicule servira au mieux à attirer l’attention quelques minutes, le temps de réfléchir à un plan B. Depuis la voiture, Bazz ouvrait le feu avec une arme de poings, brisant les vitres des wagons, pareil la manœuvre n’avait pas pour but de tuer qui que ce soit, mais plutôt de pousser les possibles assaillants à se planquer plutôt qu'à courir en direction de Vadim.

Shani :

Qassim:

Bazz:
Lun 13 Juin - 17:21
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Corwin Griffin
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Corwin Griffin
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L'homme portait un foulard sur le visage, cachant son expression à la vue de Corwin et et des quatre autres soldats.  Ces derniers tenaient toujours en joug le voleur qui semblait plonger sa main dans quelque chose...Une poche possible ? Le Frozen n'en était par certain alors qu'une phrase des plus  ironique vint à se frayer un chemin jusqu'à ses oreilles. Oui, à l'évidence ce type ne se laisserait pas aussi facilement impressionné, comme il s'en était douté depuis le début de cette opération. Il régnait en ce wagon une chaleur lourde, si bien que la sueur perlait à ses tempes, tandis qu'il gardait logé dans sa main droite ce long couteau, la lame en arrière. Ses pupilles anthracites s'attardèrent un court instant sur le sol, relevant un petit tas de sable. Qu'est ce que ça fichait là. Mais la question resta en suspend dans son esprit, car un son très caractéristique  fendit l'air. Son instinct le poussa à se concentrer sur la forme qui se jetait déjà sur lui avec un poignard destiner à l'atteindre, alors que les cris de ses hommes rompirent ce moment de flottement.  Deux d'entre eux furent touché au niveau de l'épaule, se retrouvant dans l'incapacité de tirer, alors qu'un autre  gisait au sol en se tenant le flanc.

Quant au dernier il ne bougeait pas, restant lourdement figé sur le plancher  du Wagon. Parant le coup, Corwin glissa un regard envers eux, conscient de sa responsabilité. Mais pour le moment il se devait de stopper de type qui recelait bien des surprises. En effet, le jeune homme n'avait pas pensé qu'il aurait affaire à un autre alchimiste.. De ce qu'il avait pu entrevoir, cela ressemblait à du sable ?.. gardant un équilibre solide sur ses appuis, ses yeux se relevèrent dans ceux de son adversaire, avant qu'il ne rompt la position en reculant pour mieux attaquer, venant à changer sa lame de main au dernier moment, comme cherchant à l'atteindre sur le flanc gauche. Il préférait dans son cas, préserver l'atout de son alchimie dans sa manche, surtout ici, dans cette zone trop désertique.


➽ Tu ne passeras jamais.


Son ton monocorde respirait l'assurance, alors qu'au dehors, Gladia essuyait les balles de son adversaire. Ce dernier ne semblait pas vouloir qu'elle quitte sa position. Pour sa part, elle tenta de conserver un maximum ses munitions, attendant une fenêtre d'ouverture. Lorsqu'elle put reporter son fusil sur le toit.. L'homme avait été assez rapide pour quitter sa posture trop à découvert. Il devait avoir rejoint l'intérieur, à moins qu'il ne soit entre les voitures.  Trop d'hypothèse et peu de temps. Elle n'ignorait pas non plus que son supérieur était seul à l'heure actuelle et Gladia se devait d'assurer un minimum sa sécurité. C'est pourquoi elle prit le risque de s'engager sur le toit, rangeant son fusil  pour une arme de poing, venant à retirer le cran de sûreté. C'est avec prudence qu'elle gagnait la position supposé de Qassim. Elle atteignit bientôt le bord et sauta prestement en face, en faisant un demi tour pour braquer son arme vers le contre bas, en espérant trouver son adversaire.

C'est alors qu'un bruit de moteur se fit reconnaître dans les airs, avant d'être suivit par des tirs d'intimidation qui firent voler les fenêtres et entendre les hurlement de certains passagers. Les soldats à l'intérieur, couvrir ces derniers en les plaquant au sol par sécurité, avant de répliquer dès que cela fut possible.. tirant au hasard par manque de visibilité. Le soleil n'était pas leur allié.  "Bande de lâches !! ce sont des innocents ! " crièrent certains hommes qui couvraient les passagers.




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Mer 15 Juin - 9:53
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Vadim jaugeait son adversaire, ce dernier semblait à l’aise au combat rapproché, d’ailleurs le voleur manquait bien de se faire toucher la première fois. Durant leur échange, il comprenait bien que ce gars-là ne le laissera jamais passer, de plus si le combat durait trop ils allaient devoir rapidement dégager, attendre de potentiels renforts serait une idée des plus stupides. De sa position il pouvait entendre les coups de feu de ses camarades, pourquoi utilisent-ils autant de munitions ? Ce vol allait être un échec, il devait rapidement agir pour ne pas perdre l’un des siens, tant pis ils auront d’autres occasions de voler ce gouvernement d’assassins.

Voyant le coup venir, il reculait pour éviter la lame de son adversaire, puis il se baissait touchant avec une main son bracelet et le sol avec la deuxième. Soudainement un épais mur de sable se dressait entre le militaire et le voleur. Il avait besoin de répit pour réfléchir à la suite des événements, il devait occuper ce gars suffisamment longtemps pour que Qassim puisse fuir. Une fois qu’il sera dans la voiture, il pourra partir à son tour. Depuis sa position Vadim poussait un sifflement, relativement fort, ça ressemblait vaguement au cris d’un rapace.

A l'arrêt, il savait parfaitement que tous allaient l’entendre, mais ces soldats ignoraient ce que ça signifiait. En effet avec sa bande ils avaient mis au point un système de communications basé sur le sifflement, chaque sifflement avait une signification. Celui-ci avait pour but d’ordonner le repli. Ne voulant pas laisser son adversaire il touchait alors son mur, duquel sortait plusieurs piques qui toussent s'étendait dans la direction de Corwin. Plus les piques sortaient et partaient dans la direction de l’ennemi, plus Vadim était à découvert.

Depuis la voiture Shani et Bazz entendaient rapidement des cris. Bazz stoppait presque aussitôt son attaque, merde il y avait des voyageur civils. Les deux voleurs se regardaient un court instant et s’ils venaient de tuer quelqu’un d’innocent ? Ne pouvant pas rester sur place suite à la riposte des soldats, Bazz envoyait alors dans le wagon un fumigène, sans danger pour qui que ce soit, il y avait juste une épaisse fumée opaque qui se répandait.

Lorsque le sifflement de Vadim arrive jusqu’à leur position, ils comprennent aussitôt. Shani accélérait pour rejoindre le wagon où se trouvait Qassim. Ce dernier se trouvait toujours entre les deux wagons, il ignorait comment il allait pouvoir s’en aller sans pour autant tuer cette femme qui le pourchassait. Rapidement il entendit les bruits de pas, sans doute son adversaire qui venait le chercher, il s’adossait au wagon, son arme prête à tirer, quand il la voyait arriver par le dessus.

Qassim pointait son arme dans sa direction, la militaire faisait de même.

“Je crois que nous arrivons dans une impasse là.”

Rapidement la voiture arrivait dans leur direction, une série de tirs également. Tous visaient cette soldat qui avec tout le courage du monde tenait en joug Qassim. Ce n’est qu’au bout de quelques secondes, qu’il sautait dans le véhicule, bazz continuait de faire pression sur la militaire en ouvrant le feu. Maintenant ils devaient récupérer Vadim et partir le plus vite possible. Vadim lui restait face à son adversaire, il ne pouvait pas tourner le dos à ce type. C' était bien trop dangereux. Un autre sifflement qui provient des autres dehors, indiquait au chef des voleurs que tout le monde était sauf dans la voiture.
Dim 19 Juin - 13:12
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Corwin Griffin
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La lame de Corwin ne fendit que de l'air, alors qu'il la tenait de sa main gauche. Dans le mouvement, son regard suivit l'action de son adversaire qui venait de se reculer au lieu de profité de ce léger avantage. C'est là que ses pupilles anthracites notèrent ce bracelet qu'il venait de toucher avec l'une de ses main, venant à faire entendre un son très familier aux oreilles de notre jeune Lieutenant-Colonel. En son esprit une seule réponse lui vint.

*De l'alchimie ...*

En une fraction de seconde, un mur de sabler se dressait désormais entre lui et son opposant. Cherchait-il à gagner du temps ? Des coups de feux avaient retenti quelques secondes avant cela... Puis un son, un sifflement se fendit les airs biens trop lourds du wagon. Un signal... Corwin replaça sa lame dans sa main droite et profita de se bref répit pour se reprendre. La situation devait être devenu compliqué pour ces voleurs. Ils n'avaient sans doute pas penser à cette configuration. Un bon point si c'était bien ça l'idée.  D'une main tendue et contenant toujours les anneaux sur ses phalanges, il vint à reconnaître ce mur... Quand soudain des pics se firent reconnaître. D'un réflexe salutaire, le Frozen se recula prestement et bien que n'étant pas dans un milieu très propice à sa propre alchimie, il toucha ses deux tatouages pour changer en glace l'air humide, laissé par la condensation pour infiltrer ce sable en le rendant scintillant... Puis il y porta  un coup violent vers l'avant, laissant sa lame pourfendre ce mur gelé de sable et d'eau, se dirigeant droit sur Vadim. Du moins là où il pensait le trouver... Il était hors de question qu'il le laisse se replier.

Pendant ce temps, Gladia faisait face à son adversaire qui lui répliquait qu'ils se trouvaient dans une belle impasse. Ça, elle ne pouvait pas le contredire alors qu'elle le gardait toujours soigneusement en joug. «  Je ne te laisserais pas rejoindre ton camarade... » Elle parlait de Vadim. Gladia savait que son supérieur allait devoir faire un maximum d'effort contre son opposant, au vu du climat, son rôle était donc de le soulager, par d'en rajouter. Mais alors qu'elle allait rajouter quelque chose, elle perçu le véhicule du coin de l’œil et surtout.. des armes poindre dans sa direction. Dès les première détonations, le Lieutenant dû sauter sur le côté.. se rattrapant de justesse au balcon du Wagon, mais à l’abri des tirs suivant. Coller contre la paroi, elle souffla pour elle-même. Ce n'était pas passé loin. Risquant un regard, elle vit alors Qassim se ruer vers le camion. C'était sa fenêtre de tir. Elle se dégagea de la planque et tira deux balles, sans savoir si cela allait réellement faire mouche, avant de rejoindre l'abri une seconde fois.

Quant à Corwin, il concentra sur sa cible, dépourvu d'arme, il semblait s'être remit sur ses appuies, prêt à bondir sur Vadim dont il ignorait encore le visage et le nom... Ce qui était certain, c'est qu'il ne le laissera pas quitter le wagon sans rien tenter de plus, alors que la sueur perlait un peu plus sur son visage.


➽ Un alchimiste qui use de son art pour voler au risque de blesser des civils.. Ce n'est pas très moral.  


Les soldats qui se trouvaient avec les passagers, finirent par se relever en aidant ces dernier, alors que la fumée du fumigène envahissait les parois de la voiture. Ils se précipitèrent au dehors, mettant en joug tout ce qui pouvait  se mouvoir, tandis que d'autre faisaient sortir les civils en leur ordonnant de ne pas s'éparpiller.



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Lun 20 Juin - 20:46
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Dans sa fuite Qassim fut touché au bras légèrement, rien de bien méchant mais il le sentait passer. Cette femme était douée avec des armes, pas de doutes, ils devaient se replier, mais pourquoi Vadim avait-il lancé la retraite et mettait-il autant de temps à les rejoindres. Pour la petite équipe dans le véhicule quelque chose n’allait décidément pas pour ce casse, au bout de quelques minutes il voyait les soldats escorter les civils à l’extérieur du train. A l’intérieur d’un wagon des bruits sourds se faisaient entendre depuis leur position. Shani connaissait la règle, ils devaient partir, Vadim trouvera une autre solution pour fuir, de toute façon dans le désert il était dans son élément.

Le véhicule dans lequel se trouvaient les trois voleurs démarrait en trombe, quittant le plus rapidement possible les lieux de l’attaque. En réalité, ils avaient trouvé une planque une centaines de mètres plus loin, derrière des rochers, prêt à revenir en cas de pépins. Bazz était positionné sur le toit du véhicule, un fusil en main surveillant qu’aucun soldat ai la brillante idée de les poursuivre, il ne voudrait pas avoir à en tuer.

De son côté Vadim faisait face à cet alchimiste, il le savait maintenant, d’ailleurs il ne fallait pas longtemps avant de voir des cristaux de glace brisés son mur, le faisant voler en éclat. Aillant juste le temps de voir une lame passer à quelques centimètres de son visage. Il n’en croyait pas ses yeux, reculant légèrement les deux alchimistes se jaugeait. Vadim plongeait alors ses mains dans sa veste, sortant entre ses doigts des explosifs. Deux boules, chacune munie d’une tige, mais au moment de les lancés une phrase venant de Corwin le coupait dans son élan.

Tout en se redressant le voleur ne riait plus du tout. Comment ce type pouvait oser parler de morale pour un alchimiste. Un léger rire lui échappa, un rire nerveux, le genre de rire qu’on entend quand une personne s'énerve sérieusement. Il soufflait quelques secondes avant d’enlever le masque de son visage.

“Sans déconner ? Tu vas me parler de morale alchimique ? Toi, un alchimiste d’états ?”

Manquait plus que ça. Les soldats d’amestris avaient une morale ?

“Je suis donc le seul à voir l’hypocrisie de ta remarque ? Déjà quelle armée digne de ce nom, transporte un convoi d'armes sécurisées à bord d’un train contenant des civils ? Oh j’oubliais, vous êtes une armée qui, au lieu de défendre son peuple, décide de simplement le massacrer. ”

La colère montait d’un mouvement de pied, il soulevait un petit nuage de sable dans les airs, rapidement il tendait sa main en touchant son bracelet. Le nuage de sable prenait soudainement la forme de projectiles aussi gros que des balles. La dizaine de balles volaient dans la direction de Corwin.

“Ah ça pour faire des discours vous êtes forts, pour parler, vous positionner en tant que sauveur du monde il y a du monde. Mais qu’en est-il de vos fautes ?! HEIN ?! COMMENT OSEZ VOUS DIRE QUE VOUS PROTEGEZ QUI QUE CE SOIT, À PART VOUS MÊME ?! “

Vadim criait, oui il n’arrivait pas à garder son calme. D'habitude tuer n’est pas son envie première cette fois, il allait tout faire pour éliminer ce gars. Au bout de quelques minutes il semblait reprendre un peu son calme, même si sa voix était toujours tremblotante.

“Lorsque j’ai errer dans le désert, deux jours durant. Où était votre morale, alchimiste ? Lorsque vos amis ont massacré ma famille, mes amis, c’était moral ça aussi ?”

Dans sa mains se trouvait une nouvelle dague faite de sable compressé, suffisamment solide pour transpercée un humain.

Lun 20 Juin - 23:25
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Corwin Griffin
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Corwin Griffin
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Gladia resta collé contre la paroi, pas tout à fait sûr d'avoir fait mouche, alors que le camion semblait s'écarter des lieux de l'attaque. Reprenant son souffle, elle semblait hésité mais finit par allé s'assurer que les civils étaient en sécurité tout comme les autres soldats. C'était la priorité et Corwin le lui dirait, bien qu'elle hésitait à le rejoindre. Le Frozen quant à lui, faisait face à un homme qui bouillonnait de rage. Si bien qu'il lui dévoilait même son visage. Un regard, une expression que le jeune homme connaissait que trop bien.  Pendant un instant, sous cette chaleur trop écrasante, il revoyait cette gamine tout aussi âgée que lui, sur ce toit, à s'affronter, l'un pour la sécurité d'un alchimiste d’État ainsi que de ses hommes, la seconde pour sa liberté et pour le droit de vivre. Cette colère, cette rage était la rançon de ce massacre. Corwin était loin d'imaginer cela quand il était parvenu au front, avec pour seule idée en tête de la retrouver, la protéger... Ce regard qu'il fixait sans faillir, paraissait si semblable à celui qui genoux à terre le défiait...Dans cette tente. Le Frozen n'avait été qu'un simple soldat, un éclaireur de talent, mais il avait du sang sur les mains. Cependant la réflexion que lui apporta ce type lui fit serrer un peu les mâchoires, ses pupilles brillèrent d'une colère maîtrisée, tandis qu'il se tenait prudemment en position de combat. Sa voix atone répliqua :

➽ Ne me met pas dans le même panier que ces raclures. Certains sont ce que tu dis, mais d'autres ont choisi de vivre avec ce poids et leurs fantômes pour réagir.


C'est pourquoi Corwin se tenait debout encore aujourd'hui, qu'il n'avait pas sombrer dans la folie ou bien dans une dépression suicidaire. Il avait un but précis et fera tout pour l'atteindre, tant que ce ne soit pas immorale. C'est alors que Vadim dont il ignorait toujours le nom, lui tira dessus. L'aiguillon du danger marqua férocement la chair de sa nuque à la vision de cette arme. Le Frozen posa ses mains sur  ce qui restait de la glace au sol et parvint à en faire un bouclier, mais bien trop petit pour pleinement le protéger des impactes de balles. Se faisant le plus petit possible derrière, a demi accroupit, il sentit la brûlures des balles sur l'une de ses épaules et de ses cuisses. Le sang coula le long de son bras... Ce n'était qu'une estafilade légère. Inspirant lentement, le jeune Lieutenant-Colonel tâchait de préserver son calme et sa concentration, laissant la litanie contre la peur se répandre dans son esprit, comme le lui avait appris son père.

*J'affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu'elle sera passée, je tournerai mon oeil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n'y aura plus rien. Rien que moi.*

Le Buzzard avait affronté la tempête de Hunter et maintenant il faisait face à celle d'une autre victime de ce massacre. Il avait demandé pardon auprès de Hunter et ce dernier lui avait dit que ce n'était pas à lui de le faire, mais aux autres survivants. Se redressant sur ses jambes, Corwin suait véritablement à grosse goutte, supportant mal cette chaleur et cependant, il ne paraissait pas enclin à abandonner. S'il le faisait, il serait un homme mort et il n'avait pas le droit de mourir. Actionnant ses bagues à la main, il transforma le bouclier en un couteau à lame longue, l'amenant vers l'arrière.  Le sang coulant le long de son bras gauche et de l'une de ses jambes, tombant goutte par goutte sur ce sol en chaleur.  

➽ J'ai affronté cet enfer uniquement dans l'idée de rechercher une personne qui m'était cher, pour la ramener à la maison. Ma mort je ne peux te l'offrir, parce que cela voudra dire qu'elle est morte pour rien, elle comme les tiens. 




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Mar 21 Juin - 10:35
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Le voleur ressentait toujours cette haine le gagner, il pouvait sentir son sang passer à vive allure dans ses veines. Après avoir crié sur son adversaire, ce dernier répondait, il semblait agacé par le rapprochement que venait de faire Vadim. Les raisons qui ont poussé cet homme à rejoindre le combat ne l'intéressaient pas du tout, peu importe pourquoi il était là, ce type avait du sang d’Ishbal sur les mains. Comme si justifier sa présence effaçait le mal. Peu importe son rang, son grade ou l’importance de son implication, tous étaient responsables, le peuple Ishbal avait simplement pris les armes pour tenter de résister et ne pas se laisser massacrer sans bouger.

“Pour moi tu es comme eux. Peu importe les raisons qui t’ont poussé à rejoindre ce combat, tu étais là, tu as le sang de beaucoup des miens sur tes mains. Si j’avais massacré tout ton peuple et que j’avais simplement dit “Je ne suis pas comme eux, j’ai fais ça pour sauver quelqu’un” est-ce que ça rendrait mon crime moins grave ?”

Il reprenait ses esprits, il se calmait doucement. Les coups de feu étaient bloqués par un mur de glace, un alchimiste de glace donc. Vadim y voyait une opportunité, tant que ce mur sera entre eux il aura une porte de sortie.

“Tu sais j’ai tué des soldats. Pour protéger ma jeune sœur, pour survivre, ce que vous n’avez fait n’est en rien similaire. De nous deux je suis celui qui est appelé “Criminel” c’est donc ce monde que tu défends ? Ne joue pas aux moralisateurs, tu es comme eux.”

Vadim touchait alors son bracelet, puis il posait ses mains au sol, les particules de sable se soulevaient dans le wagon, un épais nuage de sable se formait. Les grains de sable volaient un peu partout, comme une petite tempête de sable concentré.

“ J’espère pour toi que ton proche ne sera pas mort en vain. C’est une douleur qu’on efface pas. Peu importe le pardon, peu importe les excuses, toute ma vie je vivrais en sachant que ma famille, mes amis sont morts sans aucune raison valable. “

Un bruit de moteur résonnait alors, ils étaient revenus le chercher. Un léger sourire mélancolique se dessinait sur son visage, puis il remettait son chapeau en place avant de courir vers la sortie. A peine le pied posé sur le sable chaud, qu’une main venait le saisir, une seconde puis le voilà hissé à l’arrière du véhicule. Bazz avait son arme pointée en direction des soldats qui protégeaient les civils.

“ Merci les gars. Allons-y, tant pis pour cette marchandise.”

Shani accélérait le plus rapidement possible s’éloignant dans le désert. Assis dans la voiture, Vadim se positionne de façon à ne pas prendre de balle en cas d’attaque des soldats.
Mar 28 Juin - 17:55
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Corwin Griffin
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Corwin Griffin
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Retenant sa lame de glace, Corwin était prêt à en découdre malgré le sang qui coulait de son bras, se mêlant au couteau. Sur ses gardes, son regard ne quittait pas le visage si animé de son adversaire. Ce dernier aurait pu le dévoré s'il le pouvait, alors qu'il paraissait se contenir à distance, lui répliquant qu'il n'en avait rien a ciré de ce qui avait pu l'amener là bas, le résultat était qu'il avait du sang sur les mains. Le Frozen ne pouvait pas lui donner tort, loin de là, cependant, il savait que ce n'était pas en suppliant le pardon ou en se justifiant que l'on changerait ce monde en quelque chose de moins merdique. La chaleur était intense dans ce wagon, si bien que Corwin avait du mal à conserver un souffle régulier pour ne pas éveiller les soupçon de l'adversaire. Mais ce dernier paraissait trop occupé à lui répondre, avant d'user de son alchimie qui invita le Lieutenant-Colonel à la prudence. Il se recula d'un pas, oubliant sa légère blessure à la cuisse. Vadim dont il ignorait le nom, venait de lui dire qu'il espérait toute fois que ce proche ne sera pas mort en vain, mais rien ne ramènera les morts.. En cela, le jeune homme était parfaitement d'accord, alors qu'il dû se couvrir les yeux à cause de ce fichu sable qui s'infiltrait partout.

Conscient qu'il allait certainement en profiter pour se tirer, Corwin voulut utiliser une nouvelle fois son alchimie pour transformer son couteau, mais il se ravisa quand il entendit le bruit d'un camion se rapprocher et son adversaire se précipité à l'extérieur pour le rejoindre. Le Frozen pourrait agir, et cependant il ne fit rien, alors que son regard se portait sur les soldats au sol.  Il ne pouvait pas les laisser ainsi.  Vadim pouvait se retourner, il ne verra rien venir, car notre Griffin avait fait son choix, celui de veiller sur les siens. Se reprenant donc, Il abaissa sa main et alla vérifier les deux premiers hommes.... Ces derniers étaient en vie mais ils auraient besoin de soin. C'est pourquoi, bien qu'épuisé, notre Griffin vint à appliquer ses mains couvertes de bagues, pour concentrer le froid sur les blessures, afin de canaliser les possibles  hémorragie et soulager la douleur. Il passa au suivant jusqu'à constaté le décès du quatrième. C'est avec respect qu'il lui ferma les yeux et s'assit, a bout de force, alors que Gladia le rejoignait déjà. Bien que fatigué, il réclama un rapide rapport de la situation, avant d'être rassuré quand à la protection des civils. Aucune perte de ce côté là.. Mais cet homme.. Buvant un peu d'eau de sa gourde, il tendit le reste au trois autres, et finit par se redresser pour de bon sur ses jambes, ignorant ses blessures légère. Corwin ordonna à sa subalterne de s'occuper d'eux et de vérifier que tout le monde avait assez d'eau pour tenir, le temps que les renforts ne viennent à eux. Gagnant le devant du train, il utilisa la radio pour contacter la ville la plus proche, tandis que les soldats installèrent un système de défense au cas où, afin de préserver les civils de toute attaque possible. C'est vers la fin de la journée que les renforts arrivèrent, venant à rattacher les wagons qui pouvaient l'être afin de permettre au train de regagner la gare, comme prévu.

Refusant d'aller dans une infirmerie, c'est sur place que le Frozen fut soigné et bandé, avant qu'on ne le laisse reprendre, lui et Gladia, le chemin de retour le lendemain par le biais d'un autre train en partance pour Central. Un voyage sans encombre, alors que le Lieutenant-Colonel était loin d'imaginer que sa sœur venait de prendre la décision de rejoindre la Forteresse de Briggs en tant que civile habilité aux bon fonctionnement des horloges et autres mécanismes délicats qui subissaient un peu trop le froid mordant de cette contrée.  




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«Chez nous la loyauté s'achète par la loyauté.»


Mar 28 Juin - 22:24
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