Les couloirs des égouts n’avaient rien de réchauffant pour Madelaine. Certes, ils étaient dans le souterrain et il fallait s’attendre à une certaine froideur, mais il n’y avait contrairement à l’extérieur pas de vent. Pourtant, la jeune femme sentait les poils sur sa peau se lever. Elle était capable de contrôler son envie de grelotter et ne montrait aucun signe d’être inconfortable, mais le nord n’offrait certainement pas à la jeune femme le confort de sa ville natale. Elle se demandait comment pouvait bien faire les soldats de Briggs pour y vivre, même s’il fallait admettre que l’habitude les aidait forcément. La motivation, elle, Madelaine ne savait pas comment ils pouvaient la trouver.
Ce n’était pas la fraicheur qui dérangeait le plus, cependant. L’odeur était particulièrement désagréable et un instant, l’alchimiste fronça le nez dès les premières vagues d’odeur. Il lui fallu un temps pour s’ajuster et heureusement, elle n’eut à rien toucher autour d’elle, guidée par les lumières présentes. Elle marchait silencieusement près du major, prudente dans son avancement. Au loin, elle cru entendre du bruit et, plus elle s’approchait, plus elle distinguait des voix. D’abord inaudibles, elles se faisaient de plus en plus claires, jusqu’à ce qu’ils puissent clairement entendre les paroles prononcés par ce que Madelaine devina être deux gardes.
« Écrase moi ça et met ton masque on sait jamais !»
« Laisse moi tranquille, je fume un coup et je le remettrais.!»
Les pas de la jeune femme s’arrêtèrent à la limite de l’embranchement, assez loin pour ne pas projeter d’ombre trahissant sa présence. Elle jeta un regard à Allistair, l’air de demander le plan d’action. Si elle se fiait aux mots tout juste entendus, il était facile de suspecter la présence d’un gaz. L’inquiétude face au feu et le port d’un masque n’étaient à près tout pas un hasard. S’ils ne faisaient pas attention, les dégâts pourraient être monstrueux pour on ne sait combien de personne. Elle pensa un instant à transmuter le métal qu'elle portait en chaînes afin de capturer les deux hommes, mais encore fallait-il s'assurer que la cigarette n'entre pas en contact avec le gaz. Levant une manche, elle encra son regard dans celui du major, l'air de dire de lui faire signe s'il souhaitait qu'elle utilise son alchimie, mais laissant la possibilité à un choix différent si un lui venait à l'idée. Peut-être pouvaient-ils emprunter un autre chemin qui les aiderait à les surprendre? Ou ils pourraient écouter en silence les signes qui leur indiqueraient quand l'attaque serait la plus propice. Le major avait sans doute une meilleure idée des lieux qu'elle et peut-être même serait plus familier avec l'approche à prendre face à ces ennemis connus de Briggs.
L'arrivée dans les égouts ce fît sans encombre. Maintenant le tout était de savoir par ou se diriger. Alistair remit en place la plaque qu'ils avaient déplacé avant de descendre et il observa l'endroit avec sa camarade de mission. Comme dans la plupart des villes d'Amestris, les noms des rues étaient gravées sur le mur face à l'échelle par laquelle ils étaient descendus. Au moins ils pourraient se repérer et avoir demandé un exemplaire des plans de la ville à North City va se monter utile. Comme de bien entendu, l'odeur était infâme dans les égouts et le froid tout aussi prenant. Alistair ne porta que peut d'attention à celui-ci, il avait connu bien pire depuis qu'il était en poste à la Forteresse ou dans sa jeunesse.
Alistair indiqua une direction à Madelaine et ils s'y dirigèrent, arrivant finalement a un carrefour. Le blond observa les différents chemin avec une moue de réflexion. Il avait beau observer l'endroit il ne voyait aucune trace de passage de troupe. Alistair allait dire quelque chose quand il entendit un léger grésillement en provenance du couloir à leur gauche, Madelaine sembla l'entendre aussi.
Il avancèrent silencieusement pour se poster discrètement de par et d'autre du tunnel. Alistair sortit ses jumelles pour observer et vît les deux troufions qui parlaient entre eux. Leur voix leur parvenaient mais assourdie, preuve qu'ils étaient assez loin. Autant dire que leur foncer dessus était hors de question tout comme le fait de tirer. L'écho des coups de feu rameuterai tout les autres éparpillés dans les égouts. Il réfléchie donc a un plan d'attaque, il fallait qu'ils les attirent loin de leur satanée bombonne pour pouvoir les neutraliser. Il passa les mains sous son manteau et dégaina sa gunblade et sa winchester. Il regretta de ne pas avoir eu le temps de prendre un silencieux.
Il fit signe à Madelaine de se préparer, shoota dans un morceau de gravât à ses pieds et le projeta dans le tunnel pour attirer l'attention des soldats en espérant qu'ils ne restent pas scotché à leur poste comme des moules a un caillou. Il réfléchie a une possibilité de les contourner, mais ça rendait l'entreprise dangereuse ne sachant pas si il y avait d'autres gus dans les parages.
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Alistair parle en #318CE7
Mer 7 Déc - 20:46
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Event 03 - Gaz Mortel
Informations : Colonel Zharpov
Le colonel garda la montre d'Eugène dans sa main et la trouvait plutôt à son goût bien que le symbole sur le dessus était plutôt insultant. Le mécanisme était d'un bel ouvrage. D'un geste il referma la toquante et la fourra dans la poche de son pantalon avant d'envoyer un magnifique revers de la main dans la tronche de l'Alchimiste d’État, histoire de le sonner un bon coup. Puis il ordonna qu'on l'amène dans leur quartiers surveiller. Après son interrogatoire, peu être qu'il le fera pendre en guise d'avertissement. Plus on effrayait les gens plus ils étaient docile. L'homme portait toujours son masque et il était bien difficile d'y décerner ses traits. La place était peu peuplé, par pu précaution. Dans sa poche se trouvait sa radio et le détonateur de sécurité. Pendant un instant, une chevelure blonde attira son attention, mais quand il se concentra dessus.. elle avait disparue. La sensation d'être prit pour cible était cependant bien présente au fond de son esprit, et alors qu'il tournait les talons pour rejoindre son QG d'appoint, il tourna un peu son visage sur le côté.. comme prévoyant venir un coup.. Une main plongée dans l'intérieur de son manteau.. comme s'il avait la main sur une arme. A moins que ce ne soit le détonateur..
Dans les égouts le fumeur avait eut gains de cause et s'attarda un peu sur sa cigarette. Une petite friandise dans cet endroit aussi austère que putride.. Sérieusement, il n'avait pas signé pour ça.. Même si faire crevé ses chiens d'amestriens avait un côté satisfaisant. C'est alors qu'un bruit se fit entendre plus loin et il bougonna en jetant sa clope dans la flotte..
« Si c'est encore ces saletés de rats ! Je vais le leur faire bouffer moi...Reste là»
Il attrapa son pistolet à sa ceinture et laissa alors son partenaire en arrière.. Toujours à côté de la bombe. L'autre remettait son masque tout en marchant prudemment, l'arme au poing, le regard porté sur le sol, comme cherchant un rat.. Il arrivait bientôt à l'angle du croisement ou se trouvaient nos deux autres protagonistes.
HRP :
@"Eugene Whitley" ton tour vient de sauter, par conséquent tu quittes l'event.
- Vous disposez de 15 jours pour répondre. Tout manquement non signaler par une absence sera sanctionné INRP. - L'ordre de postage n'a pas d'importance mais soyez logique entre vous. - L'event est prioritaire aux autres Rps et vous disposez d'un minimum de 200 mots pour vous exprimer. - Ce sujet concerne : @Olivia Mira Armstrong@Alistair Van Helsing@Madelaine Wallace Que le sort vous soit favorable et amusez vous bien ! O/
En quelque instants, Olivia avait repéré le bâtiment qu’utilisait l’envahisseur en guise que poste de commandement provisoire. Olivia savait qu’elle n’avait plus beaucoup de temps pour agir. Elle quitta la place et contourna le bâtiment. Cherchant une entrée dérobée. Mais ne trouva rien. Elle avait fini de faire le tour du bâtiment au moment où les soldats ennemis emmenaient l’alchimiste, laissant leur tête pensante seule. Il regardait du côté de la place centrale, à l’opposé d’où elle se trouvait à présent. C’était le moment où jamais d’intervenir. Il y avait toutefois un élément qu’elle ne maitrisait pas, comment pourrait-il déclencher les bombes de gaz. Il devait avoir un dispositif, mais où ?
Sa première idée avait été de lui tirer dessus ou de lui trancher la gorge avec une de ses lames. Mais il aurait eu quelques secondes, avant de rendre l’âme, pour déclencher le dispositif. L’homme avait une main dans sa poche. Mais avait-il une arme ou de quoi déclencher ses bombes ? Il n’était pas permis de prendre le risque, ni d’attendre.
La blonde abandonna son sac à main en glissant le canon de son arme dans son pantalon et se saisit des deux lames cachées dans ses bottes avant de s’approcher du colonel à toute vitesse. Elle commença par trancher les tendons du poignet qui plongeait dans la poche tout en glissant la seconde lame sous la gorge de son ennemi.
Oliva força le colonel à se tourner, se positionnant dos contre le mur et cet homme devant elle en guise de bouclier humain. Toujours une lame sous la gorge du colonel, elle lui retira la main inopérante de la poche ainsi que son masque.[b]
- Dis à tes hommes de se réunir sur la place et de déposer les armes à tes pieds.
[b]Pour signifier qu’elle ne plaisantait pas, elle appuya un peu plus la lame sur la gorge de son otage.
Le blond avait les yeux rivés sur le faiseau de la lampe du solda de Drachma qui s'approchait en maugréant après les rats. Le chasseur attendait sa proie, il avait placé sa gunblade contre le mur et avait fait un nouveau signe a sa compagne pour qu'elle reste en standby. Il vit bientôt le canon du fusil de l'homme, puis son corps. Alistair attendit qu'il soit passé complétement et le saisit par le coup, lui brisant la nuque rapidement en le trainant dans le renfoncement ou il était dissimulé. Il saisit le fusil et la lampe pour que rien ne tombe et n'alerte son pote.
Il récupéra sa gunblade et inspecta rapidement l'homme... Malheureusement, c'était un petit gabarit, il pensait lui prendre son manteau et son masque pour aller retrouver l'autre, mais il n'allait pas pouvoir. Par contre, Madelaine, elle... pourrait...
Madelaine, j'ai une idée. Met le manteau et le masque de ce type. Tu devrai pouvoir t'approcher de son comparse pour le neutraliser. Chuchotta-t-il à l'alchimiste d'Etat en lui lançant le manteau et le masque, il lui donnerai ensuite le fusil pour parfaire son déguisement. Il ne pensait pas qu'elle s'en servirait, mais si le troufion revenait sans son arme, ça serai louche. Il prit aussi l'arme de poing, les munitions et le couteau du soldat, ça pourrai servir.
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Alistair parle en #318CE7
Mar 20 Déc - 20:01
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Event 03 - Gaz Mortel
Le bruit que fit le cou de l’homme laissa un goût amer à Madelaine. Bien sûr, elle savait qu’un soldat ferait face à des sacrifices, ennemis comme alliés. Ce n’était pas la première fois qu’elle voyait un mort, mais elle n’avait jamais eu à en venir à ce point elle-meme. Un instant, les mots de son compagnon d’armes semblèrent se perdre dans les longs couloirs, étouffés par le fantôme d’un os qui s’était brisé avec une telle facilité. Pourtant, l’homme n’avait pas parlé assez fort pour que sa voix ne se répercute ainsi, de par le besoin de subtilité de leur mission. Mais le bourdonnement n’était pas moins présent pour autant. Son regard se fixa sur l’homme qui, Madelaine réalisa, avait sûrement une famille. Avait-il des enfants? Que lui avait-on dit pour qu’il devienne soldat lui-même? Elle se demandait si, comme elle, il pensait servir son pays. Le regard de l’alchimiste semblait prendre la forme d’un tunnel, fixé sur l’homme qui gisait dans les bras d’Allistair.
Elle se racla la gorge, si bas que seuls les deux présents ne puissent l’entendre, et s’efforça de reprendre ses esprits. Son air sérieux repris place sur son visage, cachant toute hésitation qu’elle ait pu avoir un instant plus tôt. Elle avait la meme détermination qu’auparavant. La vérité était qu’ils devaient choisir les sacrifices. C’était là le rôle des soldats. C’était à eux de porter le lourd fardeau de devoir choisir qui vivait et qui mourrait. Et l’homme présent, contrairement aux civils plus haut, avait décidé de lui même de rejoindre une armée en connaissance des risques. Le rôle de Madelaine n’était pas de le protéger lui, mais bien de s’assurer que les habitants de la ville s’en sortent indemnes.
-D’accord, je me charge de le neutraliser.
Répondit-elle en enfilant l’uniforme de l’ennemi. Elle cacha son visage derrière le masque, mais avant qu’il ne disparaisse, elle laissa voir une expression qui en disait long sur ce qu’elle pensait: elle essaierait de le neutraliser pour l’interroger si possible, mais si elle venait à devoir prendre des mesures aussi sévères qu’il ne venait de le faire, elle n’hésiterait pas. Avant qu’elle ne le quitte, un éclair synonyme de la présence d’un alchimiste couvrit l’un de ses bras, une chaîne entourant celui-ci. C’était une façon de combattre pour elle qui lui permettait de bloquer ses adversaires comme on le ferait avec un lasso. Son autre main, quant à elle, se contenta d’une lame placé à l’intérieur de sa paume. Lorsqu’elle laissa tomber ses bras le long de son corps, fusil à l’épaule, les longues manches cachèrent toute trace d’une menace à venir. Sans attendre, elle entama le chemin de retour afin de rejoindre le compagnon de l’homme, qui attendait l’explication à ces bruits. Dans la faible lumière lointaine, la jeune femme ne laissait rien paraître de son identité, mais ses longs cheveux et son visage beaucoup féminin ne tarderait pas à la trahir. Elle n’avait que quelques secondes pour réagir une fois assez proche de l’ennemi.
Elle n’attendait donc pas sa réaction, interrompant toute question possible à son égard. Sans attendre, elle lança la chaîne en direction du bras qui tenait le talkie-walkie afin d’empêcher toute mouvement possible et de le lui arracher des mains, puis elle se jeta elle-même, les pieds en premier, en direction de l’homme afin d’à la fois attraper l’objet qu’elle avait volé et faire un croche-pied à l’homme. Lorsque celui-ci tomba au sol, elle agita son bras d’un geste agile pour terminer de l’enlacer de la chaîne, talkie-walkie à cette main, le lasso métallique enroulé à son poignet et attaché au reste de son armure. Quant à son autre main, elle se retourna à la gorge de l’ennemi, la lame perçant légèrement la peau de son cou, une perle de sang tachant la pointe de l’arme. Rien de mortel, mais une menace claire.
-Je ne bougerais pas à ta place.
Sa voix était étouffé derrière le masque, mais ni celle-ci, ni son regard ne laissait douter de son sérieux.
Le Colonel n'eut guère le temps de réellement agir quand cette femme lui arriva dessus. Sa main se relâcha totalement sur ce qu'il tenait dans sa poche.. qui n'était pas moins que le détonateur.. la douleur lui fit rapidement comprendre qu'elle lui avait sectionné les tendons.. Une professionnelle. Mais quand même, son amour propre ne prenait un sérieux coup sur l'estime de lui-même. Il grinça des dents alors que ses hommes pointèrent de leur fusils cette femme... Elle n'avait aucune chance de s'en sortir et il eut un ricanement.. Ce qui serait bien le cas s'il n'aimait pas un peu trop la vie.
« Amestrienne n'est ce pas... ? »
Il retira avec peine sa main inerte de sa poche.. démontrant qu'il ne tenait rien du tout. De toute façon il n'en était plus capable. La situation était donc plus ou moins maîtrisé à la surface... La montre en argent résidant dans la poche de l'ennemi. Ses hommes abaissèrent leurs fusils, encore un peu indécis..
Dans les égouts. Le râleur se fit donc surprendre et aucun son ne vint à sa bouche.. si ce n'était cette expression sur son visage.. cette surprise, alors que la mort l’accueillait déjà à bras ouvert. Quand à son partenaire, il n'eut guère plus de chance si ce n'était de finir comme une saucisse...Sur le sol. Il fixait cette femme qui avait utiliser son alchimie et lorgnait sur le détonateur un peu plus loin.. mais imprenable..
Il est temps à présent de faire entrer les troupes afin de sécurisé totalement la ville et évacuer les captifs.. Quand à Eugène.. nul ne le retrouva....
HRP : C'est votre dernier tour =) Merci d'avoir joué le jeu les enfants o/
- Vous disposez de 15 jours pour répondre. Tout manquement non signaler par une absence sera sanctionné INRP. - L'ordre de postage n'a pas d'importance mais soyez logique entre vous. - L'event est prioritaire aux autres Rps et vous disposez d'un minimum de 200 mots pour vous exprimer. - Ce sujet concerne : @Olivia Mira Armstrong@Alistair Van Helsing@Madelaine Wallace Que le sort vous soit favorable et amusez vous bien ! O/
La question de son otage et bouclier donna la certitude à la blonde qu’il ne s’agissait pas d’une attaque de Drachma. Sinon, il lui aurait demandé si elle était la célèbre général Armstrong. Preuve que ses adversaires du jour ne la connaissaient pas. On avait encore voulu faire passer un acte aussi vil que déshonorant pour celui de ses ennemis de toujours qu’elle tenait en grande estime cependant.
- Tsss, avant de vous faire passer pour Drachma, renseignez-vous sur la défense d’Amestris… Votre ignorance à signer votre fin.
Tout en maintenant son adversaire sous la menace, elle se dirigea dans le lieu où était diffusé les annonces.
- Soldats ! Ici le général Armstrong. Rendez-vous ! Nous avons pris le contrôle de cette ville, votre colonel est tombé. L’armée d’Amestris est aux portes de la ville. Si vous vous rendez sans résister, vous aurez la vie sauve.
Elle coupa, le micro et redescendit sur la place avec son prisonnier. Elle le ferait parler plus tard. Il est aussi possible qu’elle le tue une fois obtenue les informations nécessaires. Les prisonniers de guerre n’étaient pas dans ses habitudes. C’était des bouches inutiles à nourrir dans une région où la nourriture était rare.
L’armée entra dans la ville et fit prisonniers tous les soldats ennemis. Elle félicitera les majors pour leur sang-froid dès qu’elle les verra. Elle était fière de ces deux-là.
Alistair avait vu le regard de sa partenaire se vider quand il tua le solda ennemi. Mais honnêtement, vu leur situation, il n'avait pas le temps ni l'envie de faire des prisonniers. En tant que soldats, ces types savaient que leur destin était de potentiellement mourir au combat. Si on n'acceptait pas cela dans l'armée, on avait rien a faire sur le champs de bataille. Il ne se sentait donc pas coupable d'avoir pris une vie, ce n'était d'ailleurs pas la première fois, ni la dernière il en était sur.
Il l'aida a revêtir le long manteau et à l'ajuster pour qu'il fasse illusion suffisamment longtemps. Il lui adressa un sourire en la voyant préparer ses chaines sous l'une des manches et il la laissa y aller. Il la suivit en mettant un peu de distance entre eux, calquant son pas sur le sien pour que l'autre ne remarque pas qu'ils étaient deux. Il avait sa gunblade en main, prés à s'en servir si besoin. Ce qu'il n'eut nullement besoin de faire, Madelaine ficelant le type comme un jambon avec efficacité. Il accéléra donc le pas et alla se poster prés de la bombe, inspectant le mécanisme et débranchant rapidement les câbles d'alimentations, elle était ainsi neutralisée.
L'annonce de la général retentit quelle que seconde après, se qui fit sourire de plus belle Alistair.
[color:c184= #318CE7]Parfait, nos camarades vont investir la ville. Nous n'avons plus qu'a remonter avec notre jambon pour leur indiquer ou est la bombe. Dit-il. Il avisa l'échelle non loin et remonta rapidement pour faire signe a un groupe de soldat de Briggs qui se dirigeait justement sur leur position.
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