17H dans la petite ville frontalière de Dameno. Cette même ville qui avait subi l'une des prises d'otages la plus meurtrière perpétré par des dissidents de Créta et libérée par les Généraux Hawat et Mustang avec l'aide d'une partie de son équipe. Un choix des plus symbolique par le Président de Amestris lui-même, afin d'encourager une démarche positive avec la visite de l'ambassadeur désigné pour représenter Créta à cette occasion.
Quelle ne sera pas la surprise de nos deux généraux, accompagnés par leurs plus fidèles subordonnés, que de constater qu'il s'agissait plutôt d'une ambassadrice. Alena Vesely tout juste la trentaine, c'est à ce demander si Créta ne prend pas cela par dessus la jambe. Pourtant, c'est le visage sérieux qu'elle se présente auprès des généraux, au niveau de la place principale de la ville. Le convoi qui l'accompagne se compose de deux camions, l'un semblant transporter quelques caisses de valeurs et le second comportant des soldats. Deux Jeeps forment l'avant de ce convoi. La dernière est occupé par un militaire en guise de chauffeur, laissant à l'arrière une sentinelle chargée d'être le garde du corps. L'homme semble alerte et analyse les lieux, sans pour autant se faire connaître.. Il porte un masque sur le visage, ainsi que des lunettes rondes donc les verres sont teintés en jaune. Dans la première, trois personnes se distinguent. Le chauffeur bien entendu, mais aussi l'Ambassadrice et un homme un peu plus jeune qu'elle mais qui lui ressemble. Petr Vesely. Lorsque les véhicules s'immobilisèrent, Alena quitta son assise toujours accompagné par son frère qui portait un masque au bas du visage.
Alena et Petr Vesely se présentèrent devant nos généraux en s'inclinant légèrement.
« Nous sommes honoré de vous rencontrer, bien que la situation n'est pas des plus saines entre nos deux pays . Je ne pensais pas que votre Président enverrait en prime le fameux Flame Alchimist, votre réputation vous précède.»
Ce voyage ne devait pas s'arrêter en si bon chemin. Si tout ce passait bien, le lendemain, ils devront tous monter sur Central pour rejoindre le Généralissime, afin de signer le traité de non agression. En ce moment même, dans la Capital, l’État Major était déjà rappelé, ainsi que les meilleurs soldats...Une cérémonie semblait se préparer pour la venue des représentants de Créta.
Voilà plusieurs jours qu’un de leur informateur avait rapporté une nouvelle des plus intéressante pour le petit groupe de hors-la-loi. Une visite diplomatique était prévue. Leur cible était simple, un ambassadeur de Crêta. Vadim avait pour projet de mettre la main sur le dit ambassadeur et de s’en servir pour créer un incident entre les deux pays. Si l’armée était occupée dans un conflit ouvert çe ne pouvait que lui faciliter les choses. Le passage du convoi était prévu pour 17h dans un petit village frontalier, c’était l’occasion idéale. La base militaire la plus proche était à plusieurs kilomètres, les soldats de Crêta ne pouvaient pas venir combattre facilement ici.
Assis sur sa chaise, il avait des photos du village en question déposées sur la table qui lui faisait face. D’un mouvement de la main il expliquait à ses trois compagnons les détails du plan. Tout devait être coordonné, le moindre mouvement devait être anticipé. Une attaque de cette ampleur ne passera pas inaperçue, le convoi sera sans doute très bien gardé.
“Bien revoyons le plan une dernière fois.”
Dit-il en se penchant sur les photos.
“Bien tout le monde se souvient de son rôle ?”
Quelques heures plus tard, la petite équipe se met en place. La cérémonie commençait, des civils étaient présents pour assister à cette rencontre importante. C’était le contexte idéal pour les criminels. Normalement d’ici quelques minutes le signal devrait être lancé par Shani, positionné de façon à avoir une bonne vision globale de la situation, armée de son fusil elle pouvait facilement les couvrir en cas de problème, allongée sur un toit gardant un cache sur la lunette du fusil, ne voulant pas prendre le risque d’être trahie par un reflet.
Kassim et Vadim se trouvaient parmi les spectateurs. Jake lui était quelques rues plus loin avec une voiture et des explosifs en cas de replis nécessaire. Au bout de plusieurs longues minutes, c’était le moment. Kassim laissa tomber de sa poche un petit objet métallique qui roulait sur le béton se glissant sous certains fauteuils. Dès que le petit objet stoppa sa course, Vadim se couvrait le visage, quelques secondes plus tard il quitta sa place lorsque l’objet libéra un nuage de vapeur orange.
Un épais nuage de fumée se dessinait, Shani en profita pour ouvrir le feu. Le premier tir visait les généraux. Un second visait Riza. Depuis la fumée Kassim libérait des pétards pour faire peur aux gens présent, le bruits des coups de feu, ainsi que la fumée eu pour effet de crée un mouvement de foule. Tout le monde, même ceux qui ne participaient pas directement, hurlait, la panique gagnait la rue. Les gens courraient dans tous les sens.
Mais parmi eux se dessinait une silhouette, c’était Vadim, son arme en main il ouvrait le feu en direction du Général mustang.
“Que la chasse commence !”
Mar 23 Avr 2024 - 14:51
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Daneel Hawat
• Rapport : printemps - 1916 •
•Le Général Hawat n’avait pas spécialement l’âme d’un ambassadeur, mais en tant que Gouverneur du Sud et membre de l'État Major, il n’avait pas le choix. Le plus étrange était de se retrouver avec Mustang, ce petit arriviste qui par pragmatisme était devenu son allié, depuis une année déjà, suite à l’examen des Alchimistes d’Etat qui avait mal tourné. Un événement qui avait marqué tous Central à vrai dire. Les deux hommes ne s’aimaient pas et leurs méthodes semblaient très différentes. L’un par la peur et la fermeté, et le second par la confiance et le dévouement. Quelle idée avait traversé l’esprit du Généralissime pour les rassembler? tous savaient que tout les opposait ces deux là.. A moins qu’il ait perçu leur petit manège? Cela ne se pouvait pas. Depuis ce fameux dîner, ils ne se sont pas concertés à nouveau. Cela ne pouvait être qu’une toute autre manœuvre de la part de cet homme, à moins que Daneel ne soit trop suspicieux pour son propre bien.
quoi qu’il en soit, il avait organisé la rencontre au milieu de cette place.. Des soldats étaient en rang derrière lui et le Général Mustang, son bras droit, Alice, se tenait dans son dos… Faisant office de protection rapprochée. Lorsque le convoi arriva sur place, Daneel s’avança d’un pas, simplement pour inviter l’Ambassadrice et un homme qui lui ressemblait beaucoup. Sobrement, le Général les salua à son tour tout en se présentant d’une voix posée, puisque pour Mustang cela semblait être déjà fait.
• Je suis le Général Daneel Hawat, j’espère que ce voy
Mais il s'interrompit net, quand une fumée orange se manifesta sur la place, sement doute et stupeur.. Puis les tirs se firent entendre. Daneel plongea sur l’ambassadrice pour la plaquer au sol…entendant les balles siffler au-dessus de lui. De sa main libre il tira son arme à feu et tira en face de sa personne, tout ennemi qui se rapprocherait.
• éloigner les civils!
Un ordre direct pour ces hommes qui se tenaient là, pour qu’ils gèrent la population. Un cela allait éviter des morts inutiles et de deux, cela éviterait des mouvements de foules trop importants.
«Ne te trouve jamais en compagnie de quelqu'un aux côtés de qui tu ne voudrais pas mourir.»
Mar 23 Avr 2024 - 15:55
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Roy Mustang
le temps d'un moment
« Nous partons pour Dameno. »
La nouvelle a vite fait le tour de la caserne : entre les œillades — bien loin d'être complices — des autres gradés et les regards pétillants des jeunes femmes, tu ne saurais dire lesquels t'amusent le plus. Pourtant... dire qu'être envoyé en tant que représentant du Généralissime ne t'a pas étonné serait mentir — tu en as même avalé ton thé de travers, d'ailleurs. Pourquoi moi ? Il aurait pu convoquer d'autres marionnettes, choisir un autre de ses sbires, mais... non, c'est à toi que revient cette tâche si délicate.
Tu as du mal à y voir un acte innocent.
Être le représentant d'un homme dont tu ne soutiens absolument pas les idées, en voilà une chose merveilleuse ; mais c'est encore un secret de Polichinelle à cette heure, fort heureusement pour toi. Tu n'as de toute façon pas le choix que de répondre favorablement à cet ordre. Mais... est-ce un piège ? un autre tour de passe-passe ? Non, il ne sait normalement pas que tu es au courant de ce qui se trame dans les hautes sphères militaires.
Enfin, ça a aussi quelque chose de flatteur en un sens.
Le point positif dans cette affaire, c'est que Hawkeye peut t'accompagner. Non pas que tu ne puisses pas te passer d'elle mais— si, en fait, soyons honnête : sa présence a quelque chose de lénitif. Par contre... faire une nouvelle fois équipe avec Hawat. Tu n'aurais pas eu à le subir que tu n'aurais pas soupçonné qu'une telle chose puisse se reproduire. Le moins que l'on puisse dire, c'est que vous n'avez pas d'atomes crochus et que vos manières d'opérer... divergent quelque peu. C'est simple, vous n'avez échangé aucun mot depuis votre arrivée et les regards semblent se vouloir fuyants : il ne faudrait pas que l'on comprenne que vous êtes — bien malgré vous — de connivence. Mais les informations que vous avez partagé, il y a quelques temps maintenant, t'ont permis d'y voir un peu plus clair sur certaines choses, bien que tu n'aies pas encore toutes les cartes en main.
Mais tu sauras un jour, tu as confiance.
« Détendez-vous, Hawkeye. » que tu lui lances amicalement — et discrètement — avant de la gratifier d'une petite tape amicale sur l'épaule droite. Tu sais comme elle craint en général que tu fasses une ânerie, mais là... bien que la situation soit quelque peu tendue, il n'y a pas de bile à ce faire, n'est-ce pas ?
Penses-tu ((tu aurais dû la fermer)).
Lorsque le convoi arrive et que deux individus marchent vers vous, tu observes attentivement les alentours avant de focaliser ton attention sur le fameux ambassadeur — une femme, hum ? une ambassadrice, donc — et celui qui le suit de près. Ils ont l'air de se ressembler, bien que tu ne puisses pas discerner la totalité des traits du second.
« Nous sommes honorés de vous rencontrer, bien que la situation ne soit pas des plus saines entre nos deux pays. Je ne pensais pas que votre Président enverrait en prime le fameux Flame Alchimist, votre réputation vous précède. » formulation solennelle et air entendu sur le visage. C'était tout autant inattendu pour toi, mais tu n'en montres rien. Tu es un héro de guerre, Roy, tu ne dois pas l'oublier après tout — tu parles d'une réputation... Mais le compliment est là tout de même.
« C'est un honneur partagé. »
Ecran de fumée. Bruits de tirs.
Il y a des cris, du mouvement à n'en plus savoir où donner de la tête et de la fumée orangée. Les hommes de Hawat sont déployés et tu réfléchis à comment être efficace à ton tour. Le réflexe premier est de faire volte-face et de te placer sur l'autre personne présente aux côtés de l'ambassadrice pour le protéger en faisant bouclier, Hawat se chargeant de cette dernière. « Ne bougez surtout pas. » une voix qui se veut calme, tandis que tu relâches lentement ta prise pour jeter un regard à ce qu'il se passe derrière.
C'était à prévoir.
Il faut de toute urgence faire en sorte qu'aucun des deux ne soit touché, sinon c'est la machination et l'incident diplomatique assurés. « Hawkeye, faites le nécessaire pour surveiller qu'aucun n'arrive par l'arrière ou sur les côtés ! » un ordre qui tombe tandis que les hommes du Général s'accommodent de leur mission pour éloigner les civils. Tu as besoin d'être certain que vous n'êtes pas tombés dans une putain d'embuscade et que d'autres trouble-fêtes n'apparaissent pas dans un angle mort qui pourrait se révéler mortel.
« Que la chasse commence ! »
La chasse ? tu n'es pas un gibier. Faut-il comprendre par là que vous êtes pris en tenaille ? Les balles fusent mais ne te touchent pas — Hawkeye n'y est pas inconnue, tu le sais. Tu fronces les sourcils et tends la main vers l'avant, envoyant la première salve de feu.T'as cherché à me douiller. Grave erreur. S'il y a bien une chose à ne pas faire, c'est contrarier le Flame Alchemist. La première option est forcément celle de claquer des doigts pour toucher l'assaillant qui te fait bientôt face : il ne faudrait surtout pas qu'il te sous-estime, car ça pourrait lui brûler les ailes ; mais il doit te connaître, non ?
Vraiment.
Que quelqu'un vienne mettre un frein à cette tentative de paix te met hors de toi : tu œuvres plus que quiconque pour la paix et tu ne permettras certainement pas qu'un inconscient — ou plutôt qu'un abruti — fasse barrage à votre entreprise pacifiste. Mettre cette mission à sac reviendrait à creuser un peu plus la fosse mortuaire et tu n'as vraiment pas envie de ça : beaucoup de sang a déjà coulé, ce n'est pas pour en rajouter une couche par-dessus le marché. En même temps, à quoi est-ce que tu t'attendais, Roy ? que ça allait se faire tout en douceur, qu'il n'y aurait pas de grabuge ? c'est bien mal connaître la malchance qui t'auréole depuis quelques années maintenant. Ne faisons pas de déductions hasardeuses pour le moment. Le tout est d'agir dans l'instant et de protéger les deux individus ainsi que les civils alentour.
Tu sais que Spitfire saura agir en conséquence.
L'avantage dans la situation ? pas le moindre nuage dans le ciel et donc, par analogie, pas de pluie. Autant dire que tu entends bien claquer des doigts pour calmer Pierre, Paul et Jacques.
Tu restes devant le gamin, debout, t'arrangeant pour le protéger et attaquer en même temps : hors de question que tu échoues maintenant et qu'une autre vie soit prise. Il te semble percevoir un autre mouvement du gars qui t'a clairement pris à parti, et c'est bien logiquement que tu claques à nouveau des doigts, cherchant à le désarçonner avant tout : il n'est aucunement question de le tuer, non.
∎ Affectation : En général, à Central avec Roy Mustang
∎ Fonction : Assistante de Roy Mustang
∎ Grade : Capitaine
Staff.FMA
Riza Hawkeye
La diplomatie est un art
Event 05
Quand Mustang l'a prévenue qu'ils partaient pour Dameno, Riza a su de suite qu'il était tout simplement hors de question qu'il se passe d'elle, même si ça ne lui a tout bonnement pas effleuré l'esprit. Elle obéit aux ordres, certes, mais elle sait préserver également les intérêts de Roy, toujours à protéger ses arrières d'une façon ou d'une autre ; pour cette mission, elle ne dérogerait donc pas à ses habitudes.
Dire que la capitaine n'a pas été surprise de voir le général Hawat avec eux sur cette mission d'ambassade serait mentir. Si elle n'en a rien montré, comme toujours, elle n'a pu s'empêcher de hausser un sourcil discrètement en avisant la présence du général, mais, professionnelle et respectueuse, elle est restée à sa place, laissant Mustang gérer, et pour l'instant, il semblerait qu'il s'en sorte pas si mal. Elle esquisse un léger signe de tête lorsqu'il lui indique de se détendre, mais elle ne change strictement rien à sa posture : elle observe son environnement, prête à réagir en cas de besoin pour protéger le maximum de personnes. Dommage qu'elle ne puisse pas prendre un peu de hauteur, pour avoir une plus large vision d'ensemble...
Et elle a raison de rester prudente. Alors que les généraux échangent des courtoisies avec l'ambassadrice de Creta, un écran de fumée apparaît soudainement, et des bruits de tirs ne tardent pas à retentir, ainsi qu'un appel à la chasse. Le général Hawat fond sur l'ambassadrice pour la plaquer au sol, et Riza n'attend pas les ordres pour dégainer son arme et couvrir les arrières de Mustang ; c'est difficile de repérer précisément d'où viennent les tirs, mais elle parvient à protéger son général des balles pendant qu'il se prépare à sortir le grand jeu d'emblée. Elle parvient à rester maîtresse de ses émotions, alors qu'elle guette des silhouettes hostiles à travers la fumée et qu'elle les atteint, à en juger les cris de douleur qu'elle perçoit ; à défaut de les tuer, elle les a neutralisées, ce qui est déjà pas mal. Reprenant sa place près de Mustang, levant ses revolvers, elle lui souffle :
Soyez prudent, Général. C'est tout ce que je vous demande.
La situation est confuse, mais elle garde son poste : ce n'est pas aujourd'hui que Mustang passera l'arme à gauche, ni qui que ce soit qu'elle est censée défendre d'ailleurs.
Feat - Daneel Hawat / Roy Mustang / Riffel Hotchkiss / Vadim / Riza Hawkeye
Event 05 -La diplomatie est un art
Alice était de retour dans le sud depuis quelques mois maintenant, et elle avait repris ses bonnes vieilles habitudes. La Colonel venait de recevoir une nouvelle mission ! Et dieu merci, cette fois c’était au pays ! Elle était soulagée, la dernière mission en dehors du pays lui laissait un arrière-gout amère. Elle allait pouvoir se rattraper ! Elle accompagnait donc le Général Hawaat à Créta, et plus précisément à Dameno. Là ou il y avait eu une prise d’otage meurtrière et quoi de plus ironique que d’envoyer les sauveurs de l’époque, en vrai c’était plutôt logique en y repensant.
Alice avait un sourire au Général Roy Mustang et à Riza en voyant que c’était eux qui venaient avec eux. Elle connaissait Roy depuis un moment maintenant. Une fois sur place Alice se positionnait dos au Général pour assurer sa protection, et elle avait bien fait ! Ils étaient à peine arrivés, les formalités et débuts de dialogues effectués que déjà une fumée orange s’engouffrait autour d’eux. Des tirs fusaient de part et d'autres du terrain ou ils venaient de se rencontrer. Elle se tournait vers le Général observant dans un premier temps la situation, et l'analysant. Le général se jetait sur l’ambassadeur, et par réflexe Alice se positionnait devant le général Hawaat en activant son alchimie de verre via ses symboles sur ses gants.
« A couvert ! » Alice créait 4 plaques de verre rectangulaires de moyennes tailles tout autour de Hawaat, elle et l’ambassadrice. Les plaques ne tiendraient pas longtemps mais c’était suffisant pour atténuer les dégâts des tirs. Alice se remettait à la hauteur du général et l’ambassadrice, leur donnant une main à eux deux pour ensuite leur demandé :
« Vous allez bien ? pas blessés ? Qu’allez-vous faire ? Il faut mettre l’ambassadrice à l’abri » déclarait Alice alors qu’elle renvoyait un pic de verre qui fonçait droit sur un couple de civil à première vue, mais en fait c’était sur un des agresseurs qui se trouvait derrière eux. Tout le monde allait pouvoir voir la dangerosité du verre en action. .
J’ai vu tes peurs se cacher près de notre passé. Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés. Mais oublie-moi, parcours ces flots, efface mes pas...
Pando
Mer 24 Avr 2024 - 23:40
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Riffel Hotchkiss
Une nouvelle mission. Le docteur Fletcher semblait dire que la mission avait un enjeu important et que la présence d’un médecin était plus que nécessaire. Après les longues explications, Riffel avait bien compris que la sécurité et la santé des émissaires du Crêta étaient deux choses essentielles à la réussite de cette mission. Si la sécurité était essentiellement assurée par les autres membres de la mission, la santé était à sa charge. Mais le jeune homme ne devait pas négliger la défense. C’est pourquoi il ajouta son arme de service dans ses affaires.
Le trajet se déroula calmement. Il accompagnait le célèbre alchimiste de flammes, qu’il avait appris à connaitre au fils des séances de rééducation. Il avait mis en pratique tout son savoir-faire pour que l’homme soit rapidement opérationnel. Et s’il y avait bien une chose que Riffel avait compris sur cet homme, c’est qu’il n’avait de Don Juan que les manières. Toutes les femmes qui courraient après lui, et avec qui Riffel avait pu discuter, avaient fini par avouer que ce n’était jamais allé plus loin que quelques sourires et compliments. Cependant, l’intérêt d’exercer un tel charme sur les femmes échappait totalement à la logique du jeune médecin.
En descendant du train, et en sentant la douce chaleur de cette région qui lui manquait tant, Riffel ne put retenir un grand sourire. D’autant plus qu’il savait qu’il reverrait le général Hawat. Il avait hâte de lui montrer, et lui dire, qu’il suivait ses préceptes. Mais lorsqu’ils rejoignirent les membres de l’équipe déjà sur place, Riffel sentit comme une tension entre les deux généraux. On pouvait vraiment dire qu’il y avait deux groupe. Le général Mustang et le capitaine Hawkeye d’un côté et le général Hawat et le colonel Spitfire, de ce qu’on lui avait dit, de l’autre. Lui marchait derrière, entre les deux. Mais quitte à choisir, il serait plutôt derrière le général Hawat. Riffel observa tout ce qui pourrait lui être utile le cas échéant.
Malgré les réticences du général Mustang à son envie de devenir alchimiste d’Etat, ainsi qu’à ses remarques décourageantes, sans oublié l’avis défavorable de son nouvel ami Hugh, Riffel avait pris les gants sur lesquels il avait brodé ses cercles de transmutation au cas où.
Comme les deux personnels féminin, Riffel laissa les généraux accueillir les émissaires de Crêta. Tout semblait se dérouler parfaitement avant que ne se manifeste un groupe de terroriste. La fumée s’éleva et des tirs commencèrent à se faire entendre.
Le jeune homme se figea un instant, retenant sa respiration. Il entendait à nouveau les neufs coups de feu calme et réguliers qu’il avait entendus ce soir-là. Suivit des escaliers qui grinçaient sous chacun des pas. Il allait se faire tuer… C’était de la légitime défense… Il ne voulait pas recommencer…
La voix du général Hawat le tira de ses souvenirs. Les civils… Mais l’ordre n’était pas pour lui. Il rejoignit l’homme que le général Mustang avait protégé.
- Vous êtes blessé ?
Demanda-t-il. Mais quel que soit la réponse, il ne pourrait rien faire en restant ainsi. .
- Rejoignons le générale Hawat et votre ambassadrice.
Il invita donc l’homme à le suivre à l’abri des plaques de vers du colonel. .
- J’ai besoin de bois…
A défaut de végétaux digne de ce nom. .
- Je pourrais alors faire des boucliers…
Expliqua-t-il. Il ne rentra pas vraiment dans les explications, mais savait que l’homme aux bras métalliques percuterait sans doute. En un mot, il proposait de créer un petit espace où il pourrait les protéger, et les soigner au besoin, pendant que eux, force combative, éloignaient le danger. Et même s’il n’était pas alchimiste d’Etat, dans un tel situation, c’était la seule chose qu’il pouvait envisager. Sinon, il se retrouverait à être un poids pour ses camarades. Et, étrangement, il craignait de voir à quel point il pouvait être inutile dans les yeux de celui qui lui avait offert la chance d’exister à nouveau.
La situation était donc à la violence. L'ambassadrice se retrouva plaquée au sol tout en sentant le sable s'inviter dans ses narines. Vraiment ! elle aurait dû s'y attendre et Petr lui dirait déjà.. « Je te l'avait bien dit » s'il n'était pas occupé un peu plus loin avec Mustang. Elle se dégagea de dessous le Général qui l'avait protégé en formulant un bref merci.. Il était hors de question qu'elle reste sans rien faire. Et elle attrapa une arme à feu de sous sa tenue pour soutenir le feu. Elle appréciait toute fois cette plaque de verre..
« Astucieux.. »
L'aclhimie avait ses avantage... Quant à Petr, il n'avait rien et le souligna auprès du gosse.. Enfin si s'en était bien un. Du bois.. Ici, ce n'était pas ce qui était de plus courant. A part quelques palmiers un peu plus loin et quelques buissons.
« Tu ne devrais pas être en arrière le môme ? »
Dès que les hostilités s'étaient lancée, l'homme au masque avait ordonné aux hommes dans le camion du fond, de se déployer.. Quand à lui.. il se mêla à la fumée.. nullement gêné grâce à son masque.. et en tirant les lames de sous ses manches... il se mit en chasse...caché dans la brume de fumée restante...Tailladant quiconque lui passait devant..
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Riza Hawkeye
La diplomatie est un art
Event 05
La situation reste confuse, mais Riza ne se démonte pas pour autant, continuant de protéger les arrières de Mustang et de l'ambassadrice, même si elle note que cette dernière n'a pas l'intention de rester inactive et trouve rapidement de quoi tirer également. Bien, à deux, elles devraient pouvoir s'en sortir...
Cependant, si Riza tire, elle ne tire cependant pas à tort et à travers ; chaque silhouette qui passe dans son champ de vision, y compris dans son angle mort, gagne une balle logée de telle sorte à ce qu'elle soit neutralisée sans pour autant être tuée, ou alors, pas dans l'immédiat. Il est important de pouvoir garder quelques vies, afin de poser des questions et de comprendre enfin pourquoi la cérémonie a dû tourner court. Qui était visé initialement ? L'ambassadrice ? Un membre de la cohorte envoyée par Central ? Si oui, qui donc ? Tant de questions dont ils n'auront pas les réponses avant un moment, du moins tant que le combat fera rage.
Observant son environnement, Riza finit par aviser une silhouette cachée par la fumée, semblant taillader ce qui se trouve sur son chemin, et, levant son arme, essaie de le viser avant de se raviser ; il est trop bien camouflé par la fumée pour qu'elle puisse être efficace, mais par contre, elle ne peut que constater la présence d'un garçon qui semble prêt à vouloir se rendre utile, et ce au détriment du danger. Ne réfléchissant pas davantage, elle l'attrape par le col et l'installe près d'elle :
Reste là, mon grand, c'est dangereux !
Et elle se remet aussitôt en position de tir, un éclat lumineux attirant son regard sur son côté droit, légèrement en hauteur ; le temps de lever son bras et de tirer un coup, elle reporte son attention sur ce qu'il se passe devant elle, veillant à économiser ses balles.
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Event 05 -La diplomatie est un art
La situation était un peu compliquée à comprendre, et un peu confuse pour tout le monde on dirait, Alice ne savait pas trop quoi faire faire de plus à part essayer de maintenir les protections entre elle, les tirs, le général Hawaat et l’ambassadrice qui venait littéralement de se relever toute seul sans prendre la main tendu. Par contre elle notait le compliment sur la façon de les avoir protégé avec quatre grande plaques de verre autour de vous. Alice restait immobile histoire de garder en place le verre autour d’eux.
Elle ne pouvait pas faire grand-chose de plus, son alchimie était très puissante mais elle avait une petite faiblesse pas des moindres puisqu’elle devait tout de même maintenir ses mains au sol pour pouvoir continuer de maintenir ses plaques. Elle pouvait être facilement vulnérable mais vu que l’ambassadrice restait derrière les plaques pour tirer à ses côtés et le Général était à côté d’eux, elle se sentait relativement en confiance pour continuer d’assurer leur protection.
S’adressant au Général d’une voix assez forte pour que seule l’ambassadrice l’entende et le Général :
« Bon qu’est-ce qu’on fait maintenant, la situation se corse un peu plus General, je propose de se retirer doucement pour obtenir des informations et il faut toujours protéger l’ambassadrice ! » déclarait Alice alors qu’elle faisait apparaître une plaque de verre car l’une d’entre elle venait de se faire briser, elle remplaçait progressivement ses plaques par des nouvelles rajoutant une plaque au-dessus de leurs têtes. Elle resserrait un peu plus les plaques de verre pour faire comme un dôme de protection. Puis entre les plaques il y avait néanmoins assez de jours pour que tout le monde puisait tirer à son aise. .
J’ai vu tes peurs se cacher près de notre passé. Et laisse-moi seul, laisse-moi loin de tes côtés. Mais oublie-moi, parcours ces flots, efface mes pas...
Pando
Sam 4 Mai 2024 - 13:07
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Roy Mustang
l'amour du risque
« Soyez prudent, Général. C'est tout ce que je vous demande. » tu le seras... à ta façon. Tu n'ajoutes mot et tu lui adresses un sourire éphémère, de ceux qu'elle connait si bien maintenant.
L'accompagnateur de l'ambassadrice se taille — une première fois. Un coup d'oeil sur le côté suffit à te faire comprendre que c'est le môme qui l'a emmené — celui-là même qui a participé à ta rééducation et qui ambitionne le grade d'Alchimiste d'Etat. Ta réaction ? tu fronces légèrement les sourcils. Pourquoi a-t-il été convié à cette expédition ? tu te le demandes encore — Fletcher aurait sans doute été bien plus utile. Enfin, pour le moment, au moins l'autre est— « Merde. » celui dont tu ignores encore réellement le titre vient de se fondre dans la masse, fonçant dans le tas — et là, c'est la seconde fois. Il y a un étrange temps de latence, mais ce n'est pas pour te déplaire : c'est exactement le moment que tu choisi pour t'approcher d'Hawat et de sa bande pour balancer un sûr : « Je le prends de face, assurez-vous de faire le nécessaire de côté. » tu n'as pas envie de te pourfendre en explications, il doit bien comprendre de quelle façon de procéder tu parles. Quant à l'Ambassadrice, il se débrouille bien comme il le souhaite, elle est avec Spitfire de toute façon : tu as assez confiance en elle pour savoir qu'elle est suffisamment en sécurité à ses côtés.
Il faut prendre ce beau petit monde en tenaille.
Alors, tu fonces à ton tour vers l'épaisse fumée, continuant de cibler l'abruti qui cherche visiblement à te cribler de balles meurtrières — comment ose t-il te provoquer de la sorte ? ne sait-il pas qui tu es ? sérieusement ? si tes salves l'ont atteint ? tu n'en sais rien non plus en vérité : on ne voit pas grand chose dans ce foutoir. Hawkeye ne doit pas avoir l'esprit tranquille, mais tu ne peux faire autrement. La fumée. Bien entendu que cette connerie est désagréable, tu en viens même à tousser une ou deux fois, gêné par la substance... mais il n'est pas question de baisser sa garde pour autant. En cours de route, tu manques de te prendre un civil qui a visiblement échappé à la surveillance des subalternes d'Hawat... et qui se prend royalement une balle dans l'abdomen. Une erreur de calcule ? un pas-de-bol ? Dans tous les cas, tu te figes, cherchant à retrouver une respiration plus posée, appliquant la main qui ne te sert pas au niveau de la bouche et du nez. Le civil s'effondre juste sur ta gauche, juste après avoir posé une main sur ton épaule. C'est la goutte de trop et c'est d'un pas décidé que tu te places devant le blessé, faisant barrière : il se tord de douleur au sol. Ce fumier va payer.
Vous êtes là, avec lui, vous vous faites face. Quelques mètres à peine vous séparent. Il pourrait tirer, il n'aurait qu'un geste à faire. Tu pourrais claquer des doigts, oui.
Pourtant, vous restez à vous regarder en chiens de faïence — où est Hawat ?
Et c'est quand il te rie clairement au nez et qu'il repointe l'arme vers toi que tu te mets à nouveau en garde, t'apprêtant clairement à le carboniser — au moins partiellement, il ne faudrait pas le tuer. Un mouvement. Un petit clac. C'est tout ce qu'il faudrait. Il vient de blesser — tuer ? tu n'es sûr de rien, mais dans tous les cas, tu n'entends plus de jérémiades derrière — un civil, n'est-ce pas ?
•Toujours en position, Daneel analysait la situation, tandis que Mustang semblait trépigner.. L'impulsivité était de mise chez cet homme, de toute évidence. Sa subordonné, Alice lui proposait de se reculer.. Chose qui ne lui plaisait pas Ce serait donner la place à ces assaillant et mettre la population encore plus en danger. Hors de question de repartir dans un histoire de prise d'otage. De plus le message ne serait pas des plus positif envers Créta, qui estimerait que Amestris ne savait même pas protéger ses ambassadeurs. Autan dire, un bon fiasco à venir. C'est alors que le Général à ses côté, fonça pour de bon et Hawat s'exprima en se redressant à demi
• On va plutôt éradiqué la menace. Je vous confie l'ambassadrice.
Il lui faisait confiance sur le sujet avant de profité de la brume encore plus ou moins présente pour faire ce qu'il savait faire de mieux en guise d'homme de terrain.. Se faire oublier pour prendre à revers... Une attaque si similaire de pas mal d'hommes entraîné sur le terrain... Cela devait même rappeler à Mustang ou bien à Riza, les techniques de Corwin. Tel une ombre, notre Général gagnait Vadim par le côté, venant à le saisir en le poussant vers le sol, tandis qu'une lame venait de naître de son bras droit pour se faufiler sous la gorge de sa proie.... A ce moment précis.. des flammes se projetèrent tout juste à côté d'eux... venant chatouiller le dos de Daneel, offrant dès lors une chaleur aussi dangereuse que chaleureuse... Il ne saurait le dire. En tout cas, il s'en était fallu de peu pour que tout ce petit monde finisse en barbecue. Un sourire très cynique naquit sur ce visage... Ce n'est pas comme si c'était le jeu. Ses méca-greffe témoignaient le fait qu'il se fichait bien de son corps, tant que la mission était accomplie.
• Bouge une fois de plus.... et je ne t'épargne pas.
Daneel n'était pas un homme qui épargnait, sauf en cas de stratégie. Quelque chose lui disait que le Généralissime voudrait en faire un exemple, a moins qu'il ne le fasse oublié de tous. Bon sang... Il avait envie d'une bonne cigarette.
«Ne te trouve jamais en compagnie de quelqu'un aux côtés de qui tu ne voudrais pas mourir.»
Jeu 9 Mai 2024 - 12:23
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Riffel Hotchkiss
Event 05 - La diplomatie est un art
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Riffel avait ramené le diplomate près du général Hawat. Ce dernier l’avait tout bonnement ignoré. L’avait-il oublié ? Ou était-il simplement pris dans le feu de l’action. A moins qu’il ne le considère comme insignifiant. Le pire, c’est que le diplomate répondit en lieu et place du général Hawat avant de donner des consignes à ses hommes et de partir combattre. C’était bien la peine de s’inquiéter pour lui ! Vexé, le gamin gonfla ses joues. On le prenait vraiment pour un mioche. Mais il ne pouvait pas rester là à ne rien faire pendant que tout le monde se battait !
Il entreprit donc de suivre le diplomate, mais se retrouva alpagué par le col et remis en arrière. Il leva les yeux vers la personne qui avait osé faire cela. C’était le capitaine Hawkeye qui accompagne le général Mustang. Même si elle avait employé des mots moins blessant que le diplomate, le traitement revenait au même. Toutefois, Riffel ne voulait pas spécialement la contrarier. Il y avait, dans cette femme, quelque chose de doux et de strict en même temps. Une dualité qui lui était assez familière. Il côtoyait déjà une personne empreinte d’un tel caractère… Le docteur Fletcher… Voilà à qui cette femme lui faisait penser.
les choses semblaient aller dans le sens des militaires, suite à une bonne cohésion de groupe et à l'initiative un peu trop téméraire du Général Mustang. C'est du moins ce que notera l'ambassadrice qui n'était pas loin de Riffel. Ce dernier lui paraissait bien jeune pour un tel événement. Il n'avait pas de grade... Un cadet ? La fumée disparue totalement,dévoilant un homme mit à la merci des généraux. Un regard entendu ce fit entre Alena et Petr...
Les assaillants prirent la fuite, tandis que Vadim fut mit aux fers...On le releva même, avant de finalement l'embarqué dans une cellule sous la garde d'hommes sûr du sud. Personne n'oserait décevoir le Général Hawat, c'était un fait très reconnu. Un médecin au grade de Lieutenant se détacha des autres soldats. Ce dernier avait plutôt passé inaperçu, vu qu'on n'avait pas forcement besoin de ces services.. Mais en apprenant qu'un apprenti viendrait, il avait été nommé d'office pour le diriger. Ce dernier donc, passa devant Riffel et l'intima de le suivre.
« Venez, vous allez m'aider à soigner les plus urgents, pendant que les autres transporteront les blessés plus léger à l'hôpital. »
Et il filait déjà vers le fameux civil qui avait prit une balle perdue dans la jambe..
« Faites un point de compression sur sa jambe. »
Fit il en préparant les soins tout en gardant un œil sur ce que faisait Riffel. Que ce soit pour lui montrer les bons gestes, ou voir où il en était dans l'apprentissage.
Quand à l'ambassadrice, elle se tenait à nouveau debout avec son frère.. Elle balaya l'assitance d'un regard avant de s'arrêter sur Hawat et surtout Mustang
« Je vois que vous êtes des plus efficaces.. Pourrions nous à présent, négocier ? Ou vous avez encore des surprises à nous réserver ? »
Mécontente? pas spécifiquement mais plutôt prudente. Amestris pourrait aussi bien avoir monté un coup de ce type pour lui faire croire qu'ils ne voulaient pas le conflit. Elle était jeune, mais pas stupide non plus.
Il n'y a pas d'ordre de postage, soyez juste logique avec vos partenaires et ce qu'il se passe autour de vous. Que le sort vous soit favorable. Vous avez 15 jours pour répondre, au delà, le PNJ postera. Ce poste concerne :@Daneel Hawat@Alice Spitfire@Roy Mustang@Riffel Hotchkiss@Riza Hawkeye
Dim 12 Mai 2024 - 20:45
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∎ Affectation : South City
∎ Fonction : Militaire
∎ Grade : Général de Brigade
Daneel Hawat
• Rapport : PRINTEMPS - 1916
•Pour sa part, Daneel fit redressr le captif et ordonna à ses hommes de le ferrer et de l'envoyer dans une cellule et sous bonne garde.. Il glissa même un regard vers Alice, à deux doigts de lui dire de le garder et que s'il bougeait.. une balle suffirait. Mais il se ravisa. Ses hommes étaient des soldat sûr et capables. Il donna quelques ordres pour transporté les blessé dans les camions, avant de croiser le regard de Riffel. Ce môme.. il était là en fin de compte...La dernière fois qu'il l'avait vu, ce n'était qu'un gosse apeuré. Il tentait donc vraiment l'armée ? Il en restait quand même perplexe. Une pensée qu'il chassa car ce n'était pas le plus important. Notre Général s'adressa donc au Docteur présent, en lui indiquant qu'il devra amener l'assistant avec lui. Une aide ne serait pas de refus, même en apprentissage.
Il se détourna rapidement après ça, en entendant l’ambassadrice, et rejoignit cette dernière.
• Non et comme vous le voyez cette attaque a été rapidement balayé. Si vous le permettez, nous devrions aller à l'intérieur des locaux. Les tempêtes sont bien plus dangereuses que ce genre de personne.
Et son timbre de voix ne trompait pas quand à ce sujet. Il n'y avait pas spécialement de vent actuellement, mais les vent Coriolis savaient surprendre son monde.. Ce n'est pas pour rien que chaque ville du sud possédait son réseaux de tunnels en plus des égouts. Lentement, Daneel rangea sa lame dans son bras, avant de regarder Mustang. Ce dernier ne devrait pas le contre dire à ce sujet... Mais avec un tel homme on pouvait quand même se poser la question. Néanmoins, notre homme s'assura discrètement que sa subordonnée n'avait rien. Il pensera à la remercier pour sa réactivité, un peu plus tard. Il ne fit qu'incliner un peu son menton à son attention. Encore une fois, l'envie de s'en griller une se fit ressentir, mais le Général Hawat ignora ceci en se contentant de fixer la jeune femme et son frère...
Les camions arrivèrent pour le chargement des blessés, et les soldats restants finissaient de ratisser un peu les alentours, s'assurant qu'il n'y avait plus le moindre séparatiste.
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