Alistair arrivait à la forteresse de Briggs, il était enfin sortit de l'hopital aprés y avoir été pendant presque un mois. Sa blessure au flan avait été recousue et avait assez bien cicatrisée pour qu'il soit autorisé à retourné à son poste. Il avait prit le train et un véhicule militaire l'attendait à la gare à son arrivée pour l'emmener à cette bonne vielle forteresse. Pendant ce mois de convalescence, il avait fait en sorte d'être en contacte avec les ingénieurs avec qui il avait conçut sa gunblade. Il leur avait parler de comment son arme ainsi que son fusil avaient été découper et qu'il leur fallait trouver un moyen pour les renforcer sans pour autant en alourdir le poids.
Les ingénieurs lui avaient assuré qu'ils allaient planché sur la question, cela allait aussi permettre de renforcer les chars. Alistair avait ensuite passer sa convalescence entre rééducation et conception de plan pour sa gunblade, le tout entrecouper de contact régulier avec Athéna qui gérait les Whites Wolfes en son absence. Il la remercia de s'être occupée de l'enterrement et de la remise des médailles des soldats décédés à leurs familles, il aurai voulu le faire lui même. Mais comme lui à si bien dit la jeune femme, il était pas en état de le faire.
Le véhicule se gara devant les immenses portes de la forteresse, Alistair en descendit prenant son sac. Il salua les gardes et sourit à leur accueil, ils le firent entré et il se dirigea vers les baraquement. Il fût accueillit par ses hommes ainsi que les autres, il leur rendit leur accolade. Buccaneer lui mit une claque dans le dos, risquant même de faire sauter ses lunettes. Athéna vint le saluer, ce fût plus solennel avec elle. Il les laissa ensuite pour aller se présenté au Commandant Milles qui lui dit d'aller voir la générale. Ce qu'il fît de suite, arrivé a son bureau, il frappa à la porte et entra quand elle le lui autorisa.
Alistair Van Hellsing, au rapport et prêt à reprendre du service mon général. s'exclama-t-il en la saluant une fois face à elle.
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Alistair parle en #318CE7
Sam 11 Juin - 21:03
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Olivia Mira Armstrong
Olivia était réputée pour être une femme sévère ne reconnaissant que la force. Tout homme, ou femme, sous ses ordres ne devait montrer aucun signe de faiblesse. C’est du moins ce que chaque homme servant sous ses ordres avait pour consigne de diffuser. La réalité était quelque peu différente. Mais cela, même Olivia se refusait de l’admettre. Certes le général de division en charge de la forteresse de Briggs avait pleinement confiance en ses hommes, mais elle ne pouvait s’empêcher de craindre pour leurs vies. Et lorsque le général envoya une délégation à central pour représenter la forteresse de Briggs lors des célébrations, elle regrettât de ne pas pouvoir les accompagner malgré le fait qu’elle n’aimait pas ce genre de festivités. Elle ne pouvait pas s’absenter plus de quelques heures de la forteresse afin d’en assurer le commandement en cas d’attaque. C’était une excuse qui, au fond, l’arrangeait bien. Mais cette situation la faisait enrager. Non seulement elle s’était démunie d’excellents éléments, mais en plus l’un d’eux sortait tout juste de convalescence. S’il lui arrivait encore quelque chose, elle s’en voudrait de l’avoir envoyé à central. En même temps, au fort il n’aurait été qu’une gêne en cas d’attaque. S’il lui arrivait encore quelque chose, elle le cantonnerai à la forteresse, entre son dortoir, l’ordinaire et la salle d’entrainement, pour au moins quatre mois. C’était décidé. A lui de rentrer intacte. Malgré cette résolution, Olivia n’avait pas pu retrouver sa sérénité. Pour calmer son inquiétude, le général avait passé son temps partagé entre rattraper la paperasse en retard, et à s’entrainer à l’épée jusqu’à l’épuisement sous le regard réprobateur de Milles, son fidèle bras droit. Elle aboyait sur quiconque la dérangeait. Lorsqu’elle était dans cet état seul le commandant Milles osait l’approcher. Pour être exact, seul le commandant Milles osait approcher le général Armstrong, et ce quel que soit l’humeur d’Olivia. Milles avait bien tenter de distraire le général en lui proposant une tasse de café sur les hauteurs de la forteresse à la nuit tombée pour regarder les aurores boréales. Spectacle qu’elle adorait observer avec ses hommes les plus proches pour se détendre après une dure journée. Mais elle l’avait royalement ignoré. Feignant de n’avoir rien entendu. Il n’avait pas réitéré l’invitation avant le retour de la délégation au fort, moment où le général avait commencé à se détendre à nouveau. Commencé seulement car ce qu’elle avait craint s’était produit. Lorsqu’elle apprit l’hospitalisation d’Alistair Van Helsing, Olivia entra dans une rage folle. Non pas contre le major, mais bien contre elle-même. Elle n’aurait jamais dû l’envoyer à central. Il lui avait pourtant assurer s’être entièrement rétablit. De rage, elle avait lancé sa tasse de café dans un des cadres accrochés au mur de son bureau. Si les débris avaient été ramassés, le cadre portait encore les stigmates de cette explosion de rage. Mais la vie au sein du commandement de la forteresse s’était toutefois adoucie. Le général téléphonait toutes les semaines afin de connaitre l’évolution de la santé du major. Elle avait même fait parvenir une boite de chocolats à Alistair, par l’intermédiaire d’Alex, son petit frère, et en lui faisant dire que ça venait de lui, et non d’elle. Il faut dire qu’elle l’avait menacé de lui briser tous les os et de le transformer en glaçon dans les montagnes du Nord s’il disait l’inverse. Bref, elle n’assumait pas qu’on sache qu’elle s’inquiète pour ses hommes. Heureusement, elle pouvait compter sur ses proches pour garder ce secret jalousement. Enfin, c’est ce dont elle est persuadée. Mais est-ce vraiment la réalité ?
Olivia venait d’achever la lecture d’un rapport de mission lorsque l’on frappa à la porte de son bureau. A son habitude quand on la dérange, elle aboya d’entrer. Mais son visage s’adoucie à la vue du major. Le général tiqua lorsqu’elle entendit « mon ». « Mon » signifiant « monsieur ». Or, elle était une femme. Le major l’ignorait-il où était-ce sa convalescence qui le rendait gaffeur ? Mais elle ne dit rien, contenant son exaspération d’entendre toujours les mêmes erreurs de langage. De même que pour « la générale ». Pour elle, les grades de l’armée ne se féminisait pas. Il y avait vraiment du laissé aller dans cette armée. D’un air assez mielleux, qui ne présageait jamais rien de bon, elle ordonna au major de s’assoir. Puis elle posa son menton sur ses doigts croisés, les coudes appuyés sur son grand bureau pour soutenir le tout.
- Major, Pouvez-vous me dire comment vous vous êtes retrouvé à l’hôpital alors que vous m’aviez certifié d’être en état de combattre ? Seriez-vous en manque d’entrainement ?
Un sourire machiavélique commençait à se dessiner sur ses lèvres. Elle avait déjà en tête la sanction qu’elle allait lui infliger. Il fallait bien qu’elle maintienne sa réputation de reine des glaces.
Le Major eu un léger sourire, il s'attendait a un tel accueil. Après tout, c'était une mission de routine, ils devaient juste participé à la parade et surveiller les matchs. ça devait être simple... Et au final il a finit pratiquement éventré une fois de plus, plusieurs des hommes sous ses ordres dévorés vivants. On avait à peine retrouvé de quoi leur donner des funérailles décente et encore, c'est Athéna qui avait du s'en occuper. Il sortit de son imperméable ce qu'il restait de ses armes et les montra à sa supérieure. La lame de sa gunblade et le canon de sa Winchester coupé net.
J'aurai préféré que ça soit ça Madame. Mais... le manque d'entrainement ne tranche pas en deux une épée et un canon de fusil comme si s'était du papier... Ni n'encaisse des balles de calibre 12 et 45 sans broncher et en rebouchant les trous comme par magie... Et je ne parle même pas du fait d'avoir une grenade dans l'estomac et de reconstituer son corps aprés qu'elle eu explosée... Nous avons eu affaire à des êtres que je ne saurai qualifié d'humains, Madame. Et c'est l'un d'eux qui a manger nos hommes... Répondit il doucement.
Il commença à lui faire son rapport des évènements de l'arène. Visiblement celui qu'il avait fait auprès de ceux de central n'était jamais arrivé jusqu'à Briggs, se qui lui fit froncé les sourcils. Il décrivit donc l'homme bedonnant qu'il avait vu dévorer les soldats et les murs ou le sol, ainsi que les créations du Major Slevin qui combattait avec lui. Ensuite, il s'attarda longuement sur l'affrontement avec la femme, comment ses blessures se refermaient avec des éclairs crépitant comme de l'alchimie. De l'étrange tatouage qu'elle portait sur la poitrine et il lui avait semblé que l'autre avait le même sur la langue. Il mentionna ses doigts qui s'étaient allongés comme des lances, devenant ensuite des griffes qui transperçaient ou tranchait tout ce qu'elle voulait. Leur force physique et le mal qu'ils avaient eu à les mettre en déroute, même si il avait plus l'impression que la femme avait décider de les laisser en vie.
D'ailleurs, j'ai eu l'impression qu'ils en avaient particulièrement après Le major Slevin, comme si cette femme le connaissais. C'était étrange. Ajouta-t-il.
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Alistair parle en #318CE7
Sam 25 Juin - 20:55
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Olivia Mira Armstrong
Olivia perdit son sourire au fur et à mesure qu’Alistair lui faisait son rapport. Central n’avait mentionné que des attentats. Rien d’aussi… incroyable. Les yeux écarquillés, Le général de division Armstrong n’en revenait pas. Un instant elle crut que son subordonné se fichait d’elle. Furieuse, elle se leva de son bureau et fondit sur lui pour l’attraper par le col.
- Ne te fiche pas de moi ! Ce que tu dis est impossible !
Mais en croisant le regard de l’homme, elle comprit qu’il ne mentait pas. Sa main se mis à trembler. Et pour cacher son trouble, elle relâcha son étreinte. Elle vacilla un instant avant de se ressaisir. Le postérieur appuyé sur le bord du bureau, elle regardait dans le vide au-dessus du major. Son visage était blême, les yeux dans le vague. Elle se remémorait les paroles d’Alistair. Elle avait l’impression de se prendre une douche froide. Si l’attaque n’avait pas été menée uniquement par des brigands, mais aussi par des monstres, alors le danger était bien plus grand. Le général repris un peu de consistance. Elle croisa les bras sur sa poitrine et reporta son regard, qui avait repris de sa sévérité, sur son subordonné.
- Comment… Comment détruit-on ces montres ?
Elle commençait à réaliser que la tâche sera ardue. Mais pire encore. Si central n’en avait pas parler, même aux généraux de divisions, c’est que central était mouillé dans cette histoire. Si cette hypothèse s’avérait véridique, cela faisait encore plus peur. Impatiente d’obtenir une réponse valable elle reformula sa question d’un ton plus ferme.
- Pour vous en sortir, vous en avez bien détruir quelques-uns ? Comment y êtes-vous arrivé ?
Pour appuyer son impatience, elle frappa un grand coup de point sur son bureau. Le meuble se fissura sous le choc. Elle n’accorda aucune attention à ce détail. Il lui fallait à tout prix obtenir cette réponse. Si jamais une situation pareille devait se produire à Briggs, ils devront être en mesure d’y faire face ou périr. La seconde solution n’était pas acceptable pour Olivia. Ni pour elle-même, ni pour ses hommes. La blonde n’était pas du genre à accepter la mort sans se battre.
Le major comprenait sa superieur, si il n'avait pas été sur place, il n'y aurai pas cru non plus. Et pourtant, malgré tout les témoins qu'il y avait eu. Et Les enquêteurs qui était venu l'interrogé, l'information n'était pas parvenus jusqu'au Général Armstrong. Il pensait bien que Central ne parlerai pas de ça aux infos pour les civils, mais il aurai au moins pensé que son rapport aurai été envoyer aux généraux pour qu'ils soient au courant de la menace.
Je constate que Central n'a pas envoyer de rapport sur ce qui s'est passé aux hauts gradés, Madame. Et pourtant des enquêteurs sont venus me voir à l'hôpital. Dit-il une fois qu'elle s'est calmée. Il se pencha pour poser ses armes sur le bureau pour qu'elle puisse les observe à loisir. Il l'écouta ensuite, et il était d'accord, il fallait trouver un moyen de les détruire... Cette question avait hanté ses journées de convalescence, retournant le problème dans sa tête comme un chien machant un os jusqu'à la moelle.
Malheureusement non... Nous n'avons pu en tuer aucun des deux, la femme avait complètement finis de constituer son corps en quelles que secondes après l'explosion de la grenade. Si ils sont partit en nous laissant envie c'est par ce qu'ils l'ont bien voulut. Mais la femme semblait enragée... si elle n'était pas partie, je ne serai sans doute pas devant vous à l'heure actuelle. Décrit-il en la voyant fendre son bureau.
Pendant ses longues journées de réflexion, il avait songé a une hypothèse concernant ces monstres. Il l'exposa donc.
J'y ai pas mal réfléchis pendant mon hospitalisation. D'abords aux étranges éclairs qui émanaient de leur corps pendant qu'ils se régénéraient... J'ai déjà vu ces éclairs.. quand un alchimiste utilise son art, même si ils n'étaient pas rouge comme ceux de ces monstres, c'était très similaire. Je me suis donc dit que cette capacité de régénération devait avoir une limite. Le tout sera d'avoir les moyens de faire assez d'immenses dégâts en peut de temps et en limitant les pertes de notre côté. Leur force de combat étant écrasante. Commença-t-il.
Par contre leur motivation est un mystère, tout comme la signification du tatouage en forme de serpent se mordant la queue qu'ils avaient tout les deux. Ajouta-t--il en croisant les jambes.
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Alistair parle en #318CE7
Mar 5 Juil - 20:35
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Olivia Mira Armstrong
Le général retourna s’asseoir sur sa chaise, devant son bureau pour contempler les armes de son subordonné. Elles étaient étrangement endommagées, en effet. S’il ne lui avait pas expliqué plus tôt comment ses dégâts avaient été causés, elle n’aurait jamais pu l’imaginer. Les dégâts étaient surréalistes. Elle avait posé ses coudes sur son bureau, et sa tête sur les mains dont les doigts croisés formait un appui parfait pour son menton. Les sourcils se fronçant au fur et à mesure des paroles du major. Son visage pâle n’avait rien d’avenant. Bien au contraire, si on ne la connaissait pas on pourrait croire qu’elle réfléchissait au meilleur moyen de vous dévorer.
Une fois qu’il eut fini d’exposer son hypothèse, elle laissa passer un long moment de silence. Elle réfléchissait. La trotteuse de son bureau était le seul élément qui osait troubler le silence. Un faible « tic tac » régulier. Combien d’entre eux avaient raisonnés dans cette pièce ?
De l’alchimie… Ou quelque chose qui y ressemble. Encore cette fichue alchimie. A croire que le pays ne jurait que par cela. Mais l’alchimie avait un grand principe. L’échange équivalent. Alex n’avait pas cessé de la bassiner avec ce principe, lui expliquant malgré elle la loi de la destruction et de la création. La reprenant quand elle se moquait de lui en le traitant de magicien de pacotille. Ces monstres devaient être limités eux aussi. Cependant quelque chose clochait dans ce raisonnement. Le général avait l’impression d’oublier un élément important. Pendant toute sa réflexion, elle n’avait pas quitté les armes du major des yeux.
Et cette trotteuse qui devenait bien trop bruyante pour réfléchir ! Ne s’arrêtait-elle jamais ? Une veine palpitait sur sa tempe droite. Il fallait qu’elle fasse cesser ce bruit. Son premier réflexe fut de se saisir d’un presse papier en fonte. Mais les paroles du Frozen résonnèrent à ses oreilles. Il lui avait reprocher de maltraiter ces technologies. Ce qui n’était pas faux. Elle opta donc pour se lever et arrêter calment le mécanisme du temps. Il repassera bien pour la relancer…
Le temps… Le temps s’écoule et ne se rattrape pas. Tout comme les blessures que l’on subit. On ne peut pas en guérir instantanément. Il y a bien l’alchimie médicale… Mais le docteur Marcho était introuvable.
Le général repris sa position initiale, les coudes sur le bureau, le menton sur ses mains, les yeux fixant les armes comme si ces dernières détenaient la solution. La blonde releva son regard grave vers son subordonné. Elle voulait vérifier une chose. Mais pour cela elle avait besoin d’éléments supplémentaires.
- Major… Que savez-vous de l’échange équivalent ? Et que savez-vous de l’alchimie médicale ?
Elle avait une petite idée de la réponse, et son raisonnement se mettait en place. Toutefois, comme elle avait écouté Alex sous la contrainte, elle n’avait pas retenu beaucoup d’éléments sur le sujet. Olivia était connu pour exécrer tout ce qui avait attrait à l’alchimie. Mais elle devait reconnaitre aujourd’hui, qu’il lui était nécessaire d’en savoir plus.
Alistair observa la général qui réfléchissait, tournant presque en rond...
Elle lui demanda alors ce qu'il connaissait de l'alchimie.
J'en connais le principe fondamental oui, l'échange équivalant. Qu'on ne peut transmuter à partir de rien et qu'il faut obligatoirement un cercle alchimique pour cela, même pour les alchimistes qui opèrent sur le champs de bataille. Répondit il
Ces connaissances en alchimie se limitait vraiment aux bases et encore de manière lacunaires. N'ayant jamais été attirer par cela, il ne s'était pas vraiment penché dessus. Juste assez pour pouvoir traquer et contrer certains alchimistes dangereux quand il avait bossé avec Hughes. C'était en fait pour les neutraliser le plus rapidement possible, généralement si suffisait de brisé leur cercle de transmutation pour cela. Le Général Grand lui en avait aussi expliqué les fondements pendant le conflit Isbald quand il s'était montré curieux sur la manière dont celui-ci utilisait son alchimie.
Je connais l'alchimie médicale, mais pas vraiment son fonctionnement. Pourtant c'est à elle que je dois d'avoir été rétablie aussi vite. J'ai aussi vaguement entendu parler d'une pierre légendaire qui permettrai d'utiliser l'alchimie sans ses contraintes. Mais ça n'était qu'une fiction.
Il savait juste que c'était une discipline complexe, nécessitant beaucoup d'étude et d'entrainement car c'était a double tranchant si jamais on ratait son coup.
Si besoin je peux contacter un ami qui est Alchimiste d'Etat et lui demander plus d'informations.
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Alistair parle en #318CE7
Ven 22 Juil - 21:01
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Olivia Mira Armstrong
Fixant son subordonné, elle écoutait attentivement ses paroles. Lui non plus ne savait pas grand-chose sur ce domaine. Qu’espérait donc la reine de glaces, trouver la solution à un problème où tous les officiers d’Amestris planchaient dessus ? N’était-elle pas un peu présomptueuse ? Sans doute. Mais l’attaque de Drachma lui laissait un goût amer dans la bouche. C’était la porte ouverte aux mauvaises rumeurs. Celles qui pouvaient dire que la forteresse de Briggs serait une passoire, ou pire encore, que le général Armstrong serait un traitre à la nation. Même s’il existait un autre passage frontalier avec Drachma, le principal chemin se trouvait bien ici, à Briggs. Olivia ne pouvait donc pas attendre que ces rumeurs se propagent sans réagir, sans mener sa propre enquête. Si on voulait sa tête, elle répondrait.
Les propos du major Van Helsing commencèrent à l’agacée. Elle ne voulait pas entendre les banalités sur cette pseudo science. Elle fronça les sourcils et serra les dents pour ne pas faire taire cet homme, que ce soit par la parole ou par le geste. Quand subitement il dit enfin ce qu’elle attendait. Du moins, une chose inhabituelle. Une nouvelle donne. Un élément qui changeait tout. Qui permettait de voir un nouvel angle, de comprendre ce qui pouvait bien se passer.
La blonde écarquilla les yeux lorsque les termes « sans ses contraintes » furent prononcés. Redressant la tête et le buste, elle reporta toute son attention sur le major. Même s’il soutenait qu’il ne s’agissait que d’une légende… Le général se leva et commença à marcher dans le bureau, les mains derrière le dos, réfléchissant à voix haute.
- Et si justement, ce n’était pas une légende… cela expliquerait la régénération dont vous me parlez…
Une telle pierre à Briggs pourrait être intéressante… Olivia envisageait déjà de s’approprier cet élément pour assoir sa puissance. Après tout, Briggs n’avait jamais faillit. Il était normal qu’elle soit récompensée avec tous ces hommes. Et rien n’était plus beau que de faire de cette forteresse le nouveau centre décisionnel de l’armée. La femme voyait grand. Elle trouvera bien une utilité à cette pierre dès qu’elle sera en sa possessions…
Mais la proposition d’Alistair fit tiquer le général qui revint vers son bureau de fort mauvaise humeur. Saisissant le major par le col, le soulevant de la chaise où il était assis, portant ainsi le visage de l’homme à quelque centimètre du sien.
- Jamais un alchimiste ne foulera le sol de cette forteresse. Vous m’entendez ?
Son regard était menaçant. Bien qu’à plusieurs reprises, des alchimistes avaient parcouru les couloirs froids de ce lieu, cela avait toujours été contre le gré du général. Une obligation de central. Alistair, trop fraichement rentré, ne pouvait pas avoir eu vent du passage du Frozen et des échanges que la maîtresse des lieux avait eu avec cet alchimiste.
- Du moins, tant que central ne l’impose pas.
La blonde ressemblait à une véritable furie, prête à égorger le premier qui la contredirait.
Il hocha la tête, réfléchissant à cette possibilité hochant la tête.
Cela expliquerai pas mal de chose oui... D'ailleurs la couleur rouge des éclairs que ces choses émettaient en guérissant me rappelle un des noms que les alchimistes lui donne, bien que je n'en sois pas formellement sur, la teinture écarlate. Ajout a-t-il.
Il lui sourit doucement quand elle l'attrapa au col, connaissant son aversion pour les alchimistes.
Je n'ai pas l'intention de lui demandé de venir Madame, pas d'inquiétude. Il est trop occupé avec ses propres fonctions pour venir ici. Mais je peux toujours échangé avec lui. dit-il pour l'apaisée.
Il se remémora alors la visite de Corwin à l'hôpital et aux informations qu'il lui avait donné. Il soupira et se dit qu'il devait mettre sa supérieure au courant.
Il enquête actuellement sur ces créatures de son côté. Il m'a rendu visite à l'hôpital, il m'a dit que c'était des homonculus. Des êtres issus d'expérimentations alchimiques. Et Central semble être prêt a tout pour taire leur existence... Car j'avais aussi un gus en planque pour surveiller qui venait me voir. ça a été mon joujou pendant ma convalescence. Reprit il toujours avec calme.
Dans tout les cas, cette affaire touche l'alchimie de trop prêt, nous avons donc besoin d'un spécialiste pour nous renseigner, Madame.
Et il y a autres choses que je trouve étrange. C'est qu'un bataillon complet de Drachma puisse atteindre la capitale comme des fleurs sans que nous soyons au courant ici à Briggs. J'ai assez écumé les montagnes ici pour savoir que le seul point d'entrée dans le pays depuis Drachma pour des troupes importantes c'est ici. C'est l'autre point qui m'a triturer pendant que j'étais dans ma chambre, j'en ai même parlé à Athéna qui avait trouvé aussi cela étrange et devait vérifier ça pendant les patrouilles de notre unité. Il se passe trop d'évènements bizarres actuellement pour que les pontes de Central n'aient pas un pied dedans.
Alistair était redevenu sérieux, il avait ressasser cette affaire dans sa tête pendant un mois. Il avait même fait en sorte qu'on lui fournisse une carte de la région de Briggs pour vérifier ses théories et cherche un itinéraire discret, mais il avait fait chou blanc. Il voulait donc voir ça avec son unité. Il avait demandé à Athéna de les mettre sur le coup lors d'un de ses appels avec elle, il avait fait passer ça pour un appel de sa fiancée histoire de brouiller les pistes, utilisant des codes qu'ils n'utilisaient qu'au sein des Whites Wolfs. C'était d'ailleurs sa prochaine réunion après son entretiens avec la Général.
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Alistair parle en #318CE7
Dim 7 Aoû - 21:31
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Olivia Mira Armstrong
La proposition du major Van Helsing calma quelque peu la maitresse des lieux. Il était vrai qu’ils avaient besoin d’un alchimiste pour répondre à leurs questions. Olivia en connaissait au moins trois. Le premier, son frère, un minable notoire sur émotif aux réactions incontrôlées qu’elle trouvait peu fiable et incapable de faire la part des choses entre le domaine militaire et le domaine familiale. Bref, une perte de temps inutile, et une situation embarrassante pour la femme. Mustang, un arriviste de premier ordre, imbus de lui-même et persuader de plaire aux femmes. Toujours à jouer de ses charmes devant la blonde pour obtenir des informations. Discuter avec lui serait long, pénible, laborieux, et pas sans contrepartie. La reine des glaces n’avait pas envie d’user ses nerfs avec ce zigoto là non plus. Le troisièmes, un petit jeune qu’elle avait eu le loisir d’héberger à la forteresse par deux fois. L’une lorsqu’il avait tué Kimblee avec l’aide de Mustang, et l’autre pour une mission d’infiltration à Drachma. Il était aussi un membre de cette famille d’horlogers qui avait un lien avec la famille Armstrong. Mais elle trouvait cet alchimiste bien jeune. Quelque chose en lui poussait l’impénétrable muraille qu’elle était à le protéger. Quelque chose en lui avait attendrit ce cœur de glace. Même si elle voulait, elle ne pouvait pas lui demander des informations, son image en pâtirait. Elle, réputer détester les alchimistes, s’attendrir devant ce lieutenant-colonel ? Les qu’en-dira-t-on n’en finiront plus. Soit, elle devait donc se plier à la solution du major… Elle espérait tout de même que son contacte n’était pas un des deux premiers alchimistes qu’elle connaissait. Olivia reposa Alistair sur le siège en faisant une moue désapprobatrice.
Le major continua sur les éléments qu’il avait appris de la part de cet alchimiste. Elle trouvait le contacte de son major fort peu prudent pour en parler dans un hôpital militaire. Fronçant les sourcils, elle ne voyait pourtant pas d’autre personne pour répondre à leurs questions.
- Soit ! mais j’assisterais à la conversation téléphonique. J’espères que vous avez un numéro de ligne privé pour le joindre...
La blonde se méfiait des téléphones, mais plus encore des télégrammes. Et elle voulait entendre de ses propres oreilles ce que cet alchimiste pouvait bien leur apprendre.
La reine des glaces laissa continuer son major, portant une main à son menton pour réfléchir en retournant s’assoir. Ses yeux étaient dans le vague. Alistair n’avait pas tort, et d’ailleurs, elle ne l’avait pas attendu pour avoir ce genre de réflexion. Elle n’était pas général pour rien. Elle avait su faire ses preuves pour arriver ici, et ce n’était pas un petit major qui lui apprendrait comment raisonner. Mais elle était fière de compter dans ses rangs des hommes qui avaient une tête bien faite, et qui savaient s’en servir. Olivia se félicita intérieurement d’avoir un tel homme sous ses ordres.
- J’en suis arrivée aux mêmes conclusions. Ne parlez de vos doutes à personne. Et restez sur vos gardes. Si vous devez parler de ceci par écrit, codez, par téléphone, utiliser une ligne privée. Je ne veux pas que vous soyez le prochain Hughes. Compris ?
La blonde avait parlé de cet homme machinalement. Mais elle connaissait la réputation de ce militaire partit trop tôt. Un fouille merde. Il avait dû en trouver une très grosse pour être abattu de la sorte. Elle ne voulait pas perdre ses hommes aussi bêtement. A cette idée, Olivia leva un poing rageur pour l’abattre sur le bureau. Tous ces gestes brusques avaient fini par raviver la blessure encore trop fraiche, que lui avait infligé le Frozen.Elle serra les dents pour masquer sa douleur avant de reprendre un visage impassible devant son interlocuteur.
- Si vous n’avez rien à ajouter… Vous pouvez disposer.
Ce n’est que quelque temps plus tard que le général Armstrong recevra une convocation du généralissime pour se rendre à Central.
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