∎ 02 / 01 / 15

Discours du Généralissime King Bradley, président d'Amestris

"Mes chers compatriotes,

Cette année a été riche. Riche d’enseignements, riches d’évènements parfois sublimes parfois violents. Malgré les doutes, malgré les embûches, Notre Nation a réussi à garder le cap. Notre pays est resté droit et a réussi à vaincre tout ce qui l’a menacé, aussi bien les ennemis extérieurs que ceux de l’intérieur. La fin d’une fausse religion, la défaite d’un ennemi de l’état à l’intérieur même de l’armée, voire le sursaut d’un vieil ennemi n’a pas eu raison de notre peuple. Pour cela je dois remercier les hommes et les femmes au service de notre Grand Pays.

Aussi pour cette année, je souhaite vous offrir mes meilleurs vœux. Qu’elle vous apporte les joies, le bonheur et surtout la réussite auxquels vous aspirez. Mes Chers compatriotes, la nation vous souhaite un merveilleux festival des lumières."

Défilé du Festival des Lumières

Janvier est à nos portes et avec lui le Festival des lumières. Sa célébration s'étend dans tout le pays et chaque ville expose ses lumières et ses lampions pour cette nouvelle année 1915. Les sourires semblent se figer sur les visages des habitants de Central, oubliant les derniers événements qui ont marqué l'année précédente. La grande avenue fut fermée à la circulation, la veille du grand défilé militaire organisé par le Généralissime.

Ce dernier se présenta enfin au public à l'aube de la quatorzième heure de ce premier de l'an. Se tenant à l'arrière de la voiture présidentielle, il salua de manière affable le publique qui semble bien plus important encore que l'année précédente.

Le véhicule s'arrêta devant la tribune principale, où ses plus grands Généraux, ainsi que de son épouse et leur fils l'attendaient. Durant deux heures, les forces amestrienne défilèrent sous les yeux de tous. Soldats en uniformes de cérémonies au pas millimétré, Char d'assaut, ainsi que ses canons derniers cri. Ce moment solennel semblait marqué par la musique de la fanfare qui se tenait non loin de la tribune présidentielle.


Le Capitaine Bruce Grayson, le Héros de Central

Cet entretient s'est déroulé dans l'arrière salle d'un petit café, pour plus de confort mais aussi pour notre tranquillité. Aujourd'hui j'ai tenu à  rencontrer l'un des héros du moment, l'un de ceux qui ont fait face au traître de l'Etat et anciennement Général de Division Brewster et son bras droit, le Colonel Mitchell, plus reconnu sous le nom du Démon de Pendleton. Ce héros du jour ce n'est autre que le Capitaine Bruce Grayson. Nous sommes donc assit face à face à cette table ronde avec chacun une boisson de notre choix. L'homme semble plutôt serein sous cette longue chevelure peu typique dans l'armée on en conviendra, et cette stature plutôt grande.

Dans un premier temps  je lui lui demande un peu de se présenter, où est-il né ? Comment en est-il venu à entrer dans l'armée. Est-ce  par vocation ou bien simplement par besoin ?

"D'abord merci de m'accorder de votre temps. Je m'appelle Bruce Grayson, j'ai 32 ans et je suis Capitaine dans l'armée, j'appartiens au service des renseignements. Je suis né et j'ai grandi à Central, l'armée n'était pas vraiment une vocation, je me suis engagé parce que j'avais besoin de liberté et d'argent, principalement. Mais avec le temps j'y ai pris goût."

Puis, pour rentrer dans le vif du sujet, je lui demande donc se qu'il pense de ce qu'il s'est passé ce jour là, quelle avait été son ressenti face à cette tentative directe de prise de pouvoir.

"Mon ressenti ? Bonne question, mais mon avis reste très clair sur le sujet, peu importe les raisons qui l'ont poussé à agir, je suis contre ce genre de méthode. Avoir des idéaux, ne nous donne pas tout les droits."

Pourquoi avoir prit la position de défendre le QG ?  Était-ce un ordre du supérieur qui l'accompagnait ? Le Lieutenant-Colonel Griffin.

"Pourquoi j'ai agis ? Pour plusieurs raisons, mais voici la plus importante: la vie de mes hommes ainsi que celle du Généralissime, dépendait de mon intervention, si nous n'avions pas fait barrage, ils seraient probablement morts en voulant le faire. Ensuite nous ne nous sommes pas concerté avec le Lieutenant-Colonel, nous avons agis instinctivement et surtout nous avons fait notre devoir."

Que pensez vous de ce dernier ? Qu'en est-il de son état général ? Car aux dernières nouvelles, il se trouve encore à l'hôpital militaire.

"Ce que je pense du Lieutenant-Colonel ? C'est un homme intègre, qui est discret, silencieux, mais c'est un soldat et un alchimiste accompli. C'est un bon camarade, qui se souci de ses hommes et qui n'hésiterait pas une seule seconde à tout donner pour accomplir son devoir."

"Son état de santé vous voulez dire ? Il s'en remet, une vilaine blessure, mais plus de peur que de mal, ne vous inquiétez pas il sera bientôt sur pieds. Pour l'instant il a juste besoin de repos le temps de cicatrisation."

Quelles sont vos motivations pour la suite ? Avez vous des ambitions quelconques ? Avec un tel coup d'éclat beaucoup de portes pourraient s'ouvrir pour vous.

"Mes motivations ? Servir mon pays. Je n'ai besoin de rien d'autre."

Pour la jeunesse amestrienne, que pouvez-vous lui dire afin de les inspirer ?

"La détermination, ne rien lâché, avec de la motivation ils iront loin dans la vie."

Je le remerciai pour le temps qu'il m'avait accordé et nous nous quittâmes enfin.

∎ Auteur - DATE

Maria Ross, accusé du Meurtre du Général de Brigade Hughes

Aujourd'hui, tôt dans la matinée, le Sous-Lieutenant Maria Ross a été arrêté par les Affaires Militaires. Elle est accusé par l'armée d'être la meurtrière du regretté Général Maes Hughes, qui a été abattu dans une cabine téléphonique au mois d'Avril 1914.

L'enquête ayant été difficile en raison du peu d'information ou même d'indices. Cependant, après des mois d'enquête, les Affaires Militaires ont trouvé des indices sur la présence de Maria Ross sur les lieux du meurtre et notamment un témoin oculaire.

La femme a été mis aux arrêts et incarcéré à la Prison d'État de Central en attendant son procès. Elle ne peut cependant recevoir aucune visite.




Cet entretient s'est déroulé dans l'arrière salle d'un petit café, pour plus de confort mais aussi pour notre tranquillité. Aujourd'hui j'ai tenu à rencontrer l'un des héros du moment, l'un de ceux qui ont fait face au traître de l'Etat et anciennement Général de Division Brewster et son bras droit, le Colonel Mitchell, plus reconnu sous le nom du Démon de Pendleton. Ce héros du jour ce n'est autre que le Capitaine Bruce Grayson. Nous sommes donc assit face à face à cette table ronde avec chacun une boisson de notre choix. L'homme semble plutôt serein sous cette longue chevelure peu typique dans l'armée on en conviendra, et cette stature plutôt grande.

Dans un premier temps je lui lui demande un peu de se présenter, où est-il né ? Comment en est-il venu à entrer dans l'armée. Est-ce par vocation ou bien simplement par besoin ?

"D'abord merci de m'accorder de votre temps. Je m'appelle Bruce Grayson, j'ai 32 ans et je suis Capitaine dans l'armée, j'appartiens au service des renseignements. Je suis né et j'ai grandi à Central, l'armée n'était pas vraiment une vocation, je me suis engagé parce que j'avais besoin de liberté et d'argent, principalement. Mais avec le temps j'y ai pris goût."

Puis, pour rentrer dans le vif du sujet, je lui demande donc se qu'il pense de ce qu'il s'est passé ce jour là, quelle avait été son ressenti face à cette tentative directe de prise de pouvoir.

"Mon ressenti ? Bonne question, mais mon avis reste très clair sur le sujet, peu importe les raisons qui l'ont poussé à agir, je suis contre ce genre de méthode. Avoir des idéaux, ne nous donne pas tout les droits."

Pourquoi avoir prit la position de défendre le QG ? Était-ce un ordre du supérieur qui l'accompagnait ? Le Lieutenant-Colonel Griffin.

"Pourquoi j'ai agis ? Pour plusieurs raisons, mais voici la plus importante: la vie de mes hommes ainsi que celle du Généralissime, dépendait de mon intervention, si nous n'avions pas fait barrage, ils seraient probablement morts en voulant le faire. Ensuite nous ne nous sommes pas concerté avec le Lieutenant-Colonel, nous avons agis instinctivement et surtout nous avons fait notre devoir."

Que pensez vous de ce dernier ? Qu'en est-il de son état général ? Car aux dernières nouvelles, il se trouve encore à l'hôpital militaire.

"Ce que je pense du Lieutenant-Colonel ? C'est un homme intègre, qui est discret, silencieux, mais c'est un soldat et un alchimiste accompli. C'est un bon camarade, qui se souci de ses hommes et qui n'hésiterait pas une seule seconde à tout donner pour accomplir son devoir."

"Son état de santé vous voulez dire ? Il s'en remet, une vilaine blessure, mais plus de peur que de mal, ne vous inquiétez pas il sera bientôt sur pieds. Pour l'instant il a juste besoin de repos le temps de cicatrisation."

Quelles sont vos motivations pour la suite ? Avez vous des ambitions quelconques ? Avec un tel coup d'éclat beaucoup de portes pourraient s'ouvrir pour vous.

"Mes motivations ? Servir mon pays. Je n'ai besoin de rien d'autre."

Pour la jeunesse amestrienne, que pouvez-vous lui dire afin de les inspirer ?

"La détermination, ne rien lâché, avec de la motivation ils iront loin dans la vie."

Je le remerci pour le temps qu'il m'avait accordé et nous nous quittâmes enfin.

Votre rapporteur : Ron R.Jameson
Mick'
Revenir en haut Aller en bas
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer l'e-mail
Le Père
Le Père


∎ Messages : 216
∎ Date d'inscription : 13/09/2019
∎ Avatar : Tout le monde et personne
Le Central News Fiole10
∎ Age personnage : Tous les ages
∎ Localisation : Partout et nul part
∎ Fonction : Toutes
∎ Grade : Aucun

Le Central News Empty

MessageSujet: Re: Le Central News Le Central News EmptyDim 30 Jan - 15:57 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant Editer/Supprimer ce message Supprimer ce message Voir l'adresse IP du posteur
Central News
le journal de Central

30/01/15
Maria Ross, accusé du Meurtre du Général de Brigade Hughes
Aujourd'hui, tôt dans la matinée, le Sous-Lieutenant Maria Ross a été arrêté par les Affaires Militaires. Elle est accusé par l'armée d'être la meurtrière du regretté Général Maes Hughes, qui a été abattu dans une cabine téléphonique au mois d'Avril 1914.

L'enquête ayant été difficile en raison du peu d'information ou même d'indices. Cependant, après des mois d'enquête, les Affaires Militaires ont trouvé des indices sur la présence de Maria Ross sur les lieux du meurtre et notamment un témoin oculaire.

La femme a été mis aux arrêts et incarcéré à la Prison d'État de Central en attendant son procès. Elle ne peut cependant recevoir aucune visite.



Le Colonel Roy Mustang, Tombeur de Kimblee :

En ce début de journée, j'ai dû me rendre au sein même du QG de Central City. Une grande première ? Ce n'est certainement pas ce que vous dirais mes plus grands lecteurs. Ces derniers savent que je ne recule devant rien quand il s'agit d'obtenir un entretient. Hors cette fois-ci je suis allé à la rencontre De celui que l'on désigne comme le « Héros d'Ishbal » et le plus jeune de son grade, j'ai nommé le Colonel Roy Mustang. Après avoir franchi les diverses démarches administratives à l'entrée même du bâtiment, je fus guidé par un soldat jusqu'à une grande pièce agencée par plusieurs bureaux qui se faisaient face, alors que sur ma droite, se tenait un bureau plus imposant, qui donnait sur une grande fenêtre. Le militaire me présenta à son supérieur avant de se retirer. Tournant le visage sur ma droite donc, j'ai pu noter la silhouette du Colonel qui m'invitait à prendre place. C'est en m'approchant que je pu enfin reconnaître son visage. Un homme à l'aube de la trentaine.

Je le saluais donc à mon tour avant de prendre place, tout en attrapant mon petit calepin qui ne me quittait jamais, pas même la nuit. Après quelques mots d'usages, histoire de se mettre dans le bain, je vous laisse prendre connaissance de notre échange qui suivit :

Je sais que cela fait quelques semaines que vous êtes revenu d'une mission plutôt périlleuse, Vous êtes parvenu à contrecarré la longue fuite du dangereux criminel, Solf J. Kimblee. L'on dit que vous avez même sauvé la vie des passagers en les faisant remonter les wagons, avant de l'affronter en personne, dans une voiture séparée des autres. Comment ont été vos impressions face à un tel adversaire? Il n'y avait donc aucun moyen pour l'appréhender afin qu'il soit jugé?

Pour affronter Solf Kimblee, je n'ai fait que mon devoir. Je connais les particularités de son alchimie ainsi que sa tendance à agir de manière totalement imprévisible. Pour pouvoir accomplir totalement mon devoir, je devais écarter la possibilité de blesser des innocents. Ou que lui-même s'en serve contre moi et mon équipe. J'ai donc envoyé les civils loin de la zone possible de l'affrontement.
Connaissant cet homme, l'arrestation était plus qu'hypothétique. Dès le départ, je savais qu'une arrestation en bonne et due forme serait un bonus de l'affrontement. Nous devions arrêter cet homme peu importe la manière et malheureusement ça n'a pas été la manière lourde.

L'on dit toutefois des mercenaires étaient à son service. Comment vous en êtes-vous débarrassé ?

Oui, Kimblee était accompagné de mercenaires que nous avons simplement expulsés du train.

D'après mes sources, le corps de ce criminel a été comme vaporisé.. Est-ce réellement possible ?

Mes capacités alchimiques font que je produis un feu extrêmement puissant. Je peux détruire intégralement un corps humain.

Le Général Klemin semble particulièrement ravis de vous avoir assigné cette mission, et jure qu'il n'y avait pas meilleur Alchimiste d’État que vous, pour cette dernière. Le suivez-vous dans cette pensée ?

Ma réussite de cette mission ne va pas à l'encontre des dires de mon supérieur. De plus, c'est mon supérieur, le contredire n'est pas une bonne idée.

En ce moment, il semblerait que les Alchimistes d’État sont à l'honneur et trouvent un renouveau dans l'opinion publique, vous ne trouvez pas ? Qu'avez-vous pensez de ce soulèvement contre notre Gouvernement ?

Nous avons toujours été au service des citoyens et du peuple. Notre travail réel est un peu plus mis en lumière actuellement. Tout simplement. Le soulèvement qui a eu lieu est un acte violent et inutile. Je pense que l'homme qui a lancé ce soulèvement n'est pas un homme qui pense à nos concitoyens.

Quels sont vos objectifs futurs au sein de cette armée ? vu de votre grade il semble assez facile de percevoir une certaine ambition de votre part, sans vouloir vous offenser.

Pour le futur au sein de l'armée, je compte faire mon travail rien de plus. Servir autant le Généralissime que le peuple c'est tout ce qui m'intéresse. Mon grade actuel ne reflète que ma volonté de servir au mieux.

Que de modestie dans ses derniers propos, mais ce n'est que l'avis officieuse de celui qui vous la chuchoté.


Votre rapporteur : Ron R.Jameson

∎ 07 / 03 / 15

Homme inconnu découvert après les attentats

Alors que l’une des plus grandes tragédies de notre histoire a frappé Central City, la ville se relève doucement des attaques menées par ce qui, d’après de nombreux témoins, semblaient être des Drachmans.

Un homme inconnu a été découvert dans une ruelle de Central. Vivant, mais inconscient, les autorités ne savent qui est cet homme, qui a depuis été transporté à l’hôpital. D'après les médecins l'homme souffrirait de lésions internes consécutifs à des coups répétées dans l'abdomen, une hémorragie auraient été détecté et opérée.

Un appel à témoins a été lancé par la police militaire. Si vous avez des informations n’hésitez pas à contacté le centre des urgences militaires de Central.



Le Lieutenant-Colonel Griffin, Le Major Alex Louis Armstrong et le Fullmetal Alchemist, Edward Elric

Après les attaques qui ont émaillés les Examens alchimiques organisés à Central. On m’a demandé d’aller interroger les Héros qui ont vaillamment affronté les soldats venus de Drachma.

On vous connait pour ce que vous êtes : Des Alchimistes d’État. Mais comment cette volonté de servir le pays vous est-elle venue ?

Corwin Griffin : Je suis entré dans l'armée afin d'honorer la mémoire de mon aînée qui aurait dû être à ma place.
Edward Elric : Très bonne question ! Je suis d’abord devenu alchimiste pour mes intérêts personnels, mais j’ai été approché par l’armée, je me suis dit que tant qu’à s’intéresser à l’alchimie autant me rendre utile au plus grand nombre.
Alex Louis Armstrong : Je suis issu de la très connue Famille Armstrong. Tout comme ma très chère sœur, il était normal d’entrer dans l’armée. Si, en plus, je pouvais démontrer l’incroyable talent pour les arts de la famille Armstrong, je ne comptais pas m’en empêcher.

Vous étiez donc tous les trois engagés dans votre examen quand cet acte odieux a été perpétré. Quel a été votre première réaction en voyant les morts ?

CG : J'en ai éprouvé une colère profonde, ce jour n'aurait jamais dû être le dernier pour ces gens. Puis, je me suis regroupé avec mes deux autres compagnons d'armes, afin de pouvoir réagir.
EE : Ma première réaction ? La colère, je peux entendre qu’on s’en prenne à des militaires ou des alchimistes d’états, mais tous ces gens n’avaient rien demandé. Ils venaient probablement voir un membre de leur famille et ils sont morts. Je me suis occupé de leur faire regretter leur geste, même si cela ne ramènera pas les morts.
ALA : La colère et le désespoir de voir des innocents mourir. C’est sans hésiter que mes camarades et moi avons décidé de leur faire face. Nous savions que nous gagnerions et que nous leur démontrerions notre supériorité !

D'après les premiers rapports, c’est votre arène qui a été le plus durement touché. Comment expliquez-vous cela ? Était-ce la volonté des assaillants de faire le plus de victimes possibles ou tout simplement pour attirer votre attention ?

CG : Sans doute que leurs forces se sont plus concentrées sur nous, car nous étions trois Alchimistes d'Etat. Je ne parlerais pas à la place de nos assaillants, mais ils voulaient frapper fort afin que le message soit le plus clair possible. Il y avait beaucoup de détermination dans leurs regards.
EE : Je pense que nous avons eu les assaillants les moins scrupuleux. J’ignore quel était l’objectif de cette attaque, mais une chose est sûre c’est que nous avons répondu de manière forte et impitoyable.
ALA : Je l’ai appris oui. Ils voulaient sans doute affronter certains des plus puissants Alchimistes d’État de ce pays. S’ils nous mettaient à terre, la force de frappe de notre armée aurait facilement décru. Au combat, on essaie toujours de vaincre l’arme principale de notre ennemi. Dans ce cas, nous devrions être flatté par leur décisions.

Le combat a dû être violent au vu des dégâts dans la zone de combat. Qui étaient ses hommes pour faire autant de dégâts face à l’Élite du pays ?

CG : Il fut simple de stopper ces soldats, mais leur trois officiers nous ont offert une résistance particulière, car ils maîtrisaient aussi bien l'art du combat que leur alchimie. Ce qui nous a permis de faire la différence, est sans doute notre volonté de faire esprit de cohésion quand cela était possible.
EE : Le combat l’était, ce n’était pas évident, même pour des alchimistes confirmés comme nous la situation était dangereuse. Les assaillants portaient des uniformes de Drachma, mon adversaire par exemple maîtrisait l’alchimie, il n’utilisait que la seconde étape. La destruction.
ALA : Tout ce que nous savons c’est qu’ils étaient les cerbères membres de l’unité des Loups Infernaux. Ils ont aussi dit qu’ils étaient engagés par Drachma. Après ça, seul le combat a eu lieu et mon adversaire n’a jamais parlé. Il a juste fait usage de sa puissance.

Que pensez-vous de Drachma qui vient de mettre un terme à 14 ans de cessez-le-feu ?

CG : Qu'il serait sage de comprendre le cheminement de tout ça. Pourquoi il y a eu cet acte avant de proférer le mot guerre en retour.
EE : J’avoue ne pas comprendre pourquoi ils ont attaqué comme ça. Les relations entre notre pays et le leur sont assez tendues. Mais de là à s’en prendre gratuitement à des civils comme ça, sachant qu’il y a eu plus de pertes civil que de militaire.
ALA : Si cet acte est bien de Drachma… nous réagirons avec force. Mais pour l’instant, à part leurs dires, rien ne le prouve. C’était des Mercenaires et n’importe qui peut engager des mercenaires.

Vous l’aurez compris mes amis. Ces trois Grands Alchimistes d’État ont appris à nos ennemis qui ils étaient. Mais ils veulent comprendre avant d’agir. La guerre bien que proche n’est pas encore là. Nous pouvons avoir confiance en nos dirigeants quant à la suite à donner à cet odieux attaque.

∎ James Peter peirnot

Meurtre de masse à Taden

Ce matin, une patrouille militaire a découvert l'impensable. Les milliers d'habitants de Taden ont été retrouvé morts. Aucune preuve de la manière dont ils ont péri. L'armée a décidé de passer l'endroit au peigne fin pour comprendre ce qu'il s'est passé.

Cependant l'unité scientifique dépêché sur place depuis Central a annoncé qu'ils ne trouveraient probablement rien. Quel que soit les causes, cela sera sûrement un long travail avant de le découvrir.

En attendant, toute la zone a été placée en quarantaine. Seuls les équipes d'Alchimistes d'État de l'Unité scientifique est autorisé sur place. Nous vous tiendrons informé des développements.

∎ James Peter Peirnot - DATE

Nouveau Massacre à Roariz

Une nouvelle attaque au gaz mortel a été signalé aujourd'hui à Roariz. L'armée est rapidement intervenue. Cependant, les assaillants avaient déjà disparu. Les soldats ont cependant réussi à obtenir des informations de l'un des villageois. Les hommes portaient d'étranges uniformes ainsi qu'un masque pour se protéger des effets du gaz.

L'armée est sur les dents depuis l'attaque de Tendu le mois dernier. Les unités en charge de la traque de ces monstres ne comptent pas s'arrêter avant de retrouver ces tueurs de masse.

∎ Auteur - DATE

Oporto, nouvelle victime ?

Ce matin, une attaque au gaz mortelle a été signalé à Oporto. Il s'agit de la première Grande ville attaqué par ce groupuscule inconnu. Cependant, quelques militaires en poste et notamment un Alchimiste d'État présents sur le lieux ont permis de limité les dégats.

A l'aube, une douzaine de militaires en tenue de parade mais portant des masques de protection au gaz sont apparus. Une fois sur la place centrale de la mairie, ils ont déclamé un texte au nom de la nation de Creta. Ils ont alors fait exploser des bombes dans plusieurs zones de la ville. Les assaillants sont restés pendant que le gaz se répendait. Mais, la présence des soldats ont permis de mettre en déroute l'offensive. Quelques-uns de ces militaires ont été tués.

Félicitations au Major Adrian Valentine et à son équipe pour avoir fait avorter un attaque qui aurait couté la vie à de nombreux civils

∎ Lee Jordan - DATE

Creta derrière l'attaque de plusieurs villes du pays

Après l'attaque des villes de Roariz et Tendu, le Généralissime avait ordonné à une force de frappe de se rendre à Oporto pour trouver les responsables. Le Colonel Griffin et le Capitaine Hawkeye s'y était rendu pour découvrir des attaques de la part de membres d'une forces dissidentes en provenance de Creta. Suite à ces attaques, plusieurs groupes ce sont rendus dans des villes assiégées et ont mis un termes aux exactions des Cretans.

Le Généralissime, King Bradley, a immédiatement pris des sanctions à l'encontre des ennemis du pays, les menaçant de représailles en cas de refus de punir les rebelles. Cela a été entendu puisque ces rebelles, une peuplade appelée Liroïtes, ont été chatié par le gouvernement de Creta qui a accepté que notre pays juge ces traîtres à la paix.


Le Général Hawat, Gouverneur du Sud et protecteur de Dameno

Daneel n'avait jamais été très inspiré par les journalistes, mais pour une fois que cela s'intéresse plus ou moins à autre chose que Central, pourquoi ne pas se prêter au jeu. Portant son uniforme impeccable, il écouta sagement les paroles du journaliste, venant parfois à se frotter la barbichette finement taillée.

Pour nos nouveaux lecteurs et abonnés, pourriez-vous vous présenter en quelques mots ?
"Je suis natif de Dublith dans le sud de notre pays, d'une famille qui y a depuis très longtemps ses racines."

Depuis quand êtes-vous un militaire aguerri ? Qu'est-ce qui vous a mené à choisir cette voie ?
"Je suis entré dans l'armée à ma majorité pour faire mes classes et devenir officier. J'ai fait mes armes durant la guerre d'Ishbal, ainsi que mon épouse qui n'y a pas survécu.  Dans ma famille il y a toujours eut des militaires, c'était donc une voie toute tracé pour moi. Je suis fier de protéger ma patrie ainsi que ses intérêts."

Parlons un peu de ce qui nous intéresse aujourd'hui, à savoir la victoire de l'armée de Central sur les fanatiques de Creta. Quelle a été votre stratégie ? Comment avez-vous pu vous organiser, au vu des forces en présence et surtout la détermination, voire la folie, des forces adverses ?
Daneel finit par s'allumer une cigarette comme pour se détendre ou tout simplement par habitude :
"En tant que gouverneur du sud, je suis responsable de la population et je me dois de connaître la région. Si nous avions attaqué de front, l'ennemi aurait mit à exécution sa menace. C'est pourquoi je me suis procurer les plans des égouts de la villes les plus récents. J'avais moi même réclamer certains travaux par le passé que l'ennemi ne pouvait savoir.. l'infiltration était la meilleur des méthodes et j'avais avec moi d’excellents partenaires, tel que le Général Mustang et sa Seconde, la Capitaine Hawkeye."
Tire sur sa cigarette :
"Je me suis occupé de rendre inopérants les soldats autour de la bombe, pendant que mes partenaires se sont charger de surprendre l'adversaire en remontant à la surface et s'emparer de leur chef."

Que pensiez-vous, d'ailleurs, des fanatiques face à vous ? Auriez-vous été prêt à sacrifier la population civile comme eux n'ont pas hésité à le faire ?
"Je n'aime pas les fanatiques car ils n'ont plus aucune moralité et sont prêt à mourir à tout prix afin de devenir des exemples.  Jamais je ne leur aurais donné ce qu'ils veulent. Comme je vous l'ai dit, la population du sud est sous ma responsabilité, et en tant que soldat je me dois de la protéger."

∎ Ron R Jameson «- Mars 1916

On a attenté à la vie de notre Généralissime !

En effet chers lecteurs, notre dirigeant a été victime d'un attentat envers sa personne, alors qu'il se rendait en visite officielle dans le nord, en direction de l'inestimable et légendaire, forteresse de Briggs. Fort heureusement nos valeureux soldats et Alchimistes d’État on réagit à temps pour empêcher les Séparatistes de s'en prendre à lui. On nous à rapporté que le Généralissime à défendu à lui seul une partie du convoi et occis à lui seul une trentaine de ces terroristes. Malheureusement ces derniers sont reparti avec une partie de l'armement qui était destinée en renfort à Briggs qui subit beaucoup de pression de la part de nos voisins. Nous savons aussi que l'un de ces séparatistes serait probablement l'homme qui avait réchappé à sa sentence quelques mois plus tôt. Une chose semble certaine mes chers lecteurs... Les séparatistes ne sont pas dans notre camp ! Nul doute que notre Dirigeant saura redresser les choses comme il ce doit.

Mais, notons l'important chers amis ! Son excellence est en vie et la volonté de nos hommes sont toujours au beau fixe ! Nous n'avons rien à craindre.

Et n'oubliez pas qui vous l'a dit.. qui vous l'a chuchoté...Votre rapporteur : Ron R.Jameson  

∎ J.J Wellington – Avril 1916

Petite lettre intrusive perdu dans le journal


Chère Amestris,

Vous devez sans doute vous demander qui je suis, pour publier cette lettre dans le journal ? Laissez-moi répondre à cette question. Mon nom est Vadim, effectivement celui dont la tête est affichée en ville. Mais laissez-moi vous expliquer plus en détail, les raisons qui me poussent à agir comme un “terroriste”. Sachez que votre gouvernement, vos soldats, pères et frères sans doute, ne sont qu’une bande d’assassins. Aujourd’hui on me fait passer pour un monstre sans cœur, sans foi, ni loi, n’ayant aucune morale. Pourtant, je ne suis qu'un enfant du désert à qui on a tout pris. Je ne suis qu'un survivant qui à juré de venger le sang que vous avez versé. Je ne suis que l'épée de la justice qui vous raflera tout comme vous l'avez fait pour les miens.

On dit que la vérité est écrite par les vainqueurs, et c'est exactement ce que vous avez fait : vous avez menti, manipulé et caché la vérité, alors que nous n’avions rien fait. Et quel est donc ce secret me direz-vous ? Ishval. Ce simple mot qui vous fait trembler d'effroi n'est rien de plus que le nom des victimes de votre génocide dans raison. Vous prônez la paix, mais notre différence à fait de nous les victimes de votre haine.

Mettez-vous à ma place le temps d’un texte, alors que vous aviez une dizaine d'années, un groupe de soldats débarque dans votre village, ces derniers se mettent à tirer sur vos parents, vos frères et vos sœurs. Imaginez-vous du haut de ces dix ans, impuissant, forcé de fuir dans le désert pour survivre, n’ayant d’autre choix que voler. Vous sentez cette haine monter ? Elle m’habite depuis dix longues années et je peux vous le dire, vous n’êtes pas au bout de vos peines.

Mais ! Je dois bien l’avouer, cet article n’a pas pour but de vous éduquer, ça non, il est bien trop tard. Je voulais simplement partager avec vous, des souvenirs que je n'oublierai jamais, notamment mon évasion de votre prison, qui par delà toute rumeur, n’est qu’un moulin dont il n'est pas si compliqué de sortir. Vous m’avez passé la corde au cou, vous avez eu votre chance, maintenant je saisis la mienne.

Ou encore ce train que j’ai attaqué avec mes amis, juste pour montrer que l’armée n’est pas toute puissante, qu’elle soit dans le Nord ou n’importe où.

Cependant, malgré tout ça, il y a un souvenir que je chérirais jusqu’à ma mort, cette danse que m’a accordée l’une des généraux les plus redoutables de votre armée, j’ai nommé Olivia Armstrong. Un gala des plus merveilleux cela dit, le champagne était divin, mais bien trop fade par rapport à cette femme, dans sa belle robe rouge. Cet air hautain et froid, ne faisait que contraster avec un charme des plus irrésistible.

Vos soldats ne sont même pas capable de remarquer l’un des hommes les plus recherché du pays, à leur propre soirée. Nous avons même eu l’immense honneur de croiser son altesse le Généralissime, quel homme plein de classe ! J’invite tous les citoyens qui en ont marre de suivre aveuglément un gouvernement, qui préfère se prélasser en écoutant de la musique chiante, se gavant de petit fours hors de prix et d’alcool dont la plupart d’entre vous n’auront jamais la chance de goûter.

Si vous me cherchez, je saurais vous retrouver.

Je vous remercie d’avoir lu ces quelques mots, vous en penserez ce que vous voulez. Ce n’est que le début…

Vadim.




MOT DE LA DIRECTION DU JOURNAL :

La direction s'excuse platement pour cette erreur de parution. Il semblerait qu'un ennemi de l'Etat se soit introduit dans nos locaux pour passer un message remplie de mensonges, sur nos dirigeants honorables. Une enquête est actuellement en court et le coupable sera sévèrement puni pour avoir déversé autant de calomnies infondées.

∎ Ron R Jameson - Avril 1916

Une étrange maladie

Depuis l'accident rapporté par notre solide armée, cette étrange fumée qui s'était répandue sur une bonne partie de la ville, la nuit du mois de Mars dernier a finit par totalement se dissiper. Cependant, il semblerait qu'une recrudescence de malades soit reconnue au sein des hôpitaux. Les patients se plaignent de toux intempestives, et de maux de tête fort violent. L'armée ne nous a pas renseignée sur le nombre de malades exacte, mais cette maladie n'est apparemment pas contagieuse. Aucun rapport ni réponse directe n'a été communiqué pour savoir s'il y avait un lien avec cet étrange nuage et cette maladie, mais les rumeurs y vont de bon cœur à ce sujet! Beaucoup parle d'une tentative de malveillance de la part des séparatistes.

Une situation qui ne trouve pour le moment aucune solution... Mais nos médecins et les laborantins travaillent dur pour résoudre ce mal qui semble nous toucher de plein fouet ! Si vous êtes malade, restez chez vous et contactez un médecin.

Aucun mort n'a encore jamais été déclaré officiellement et le Généralissime réclame à ce que tout le monde garde son calme. Central est forte, Central à connue beaucoup de secousses ces derniers temps et pourtant elle est toujours là. Ne cédez pas à la panique.


Et n'oubliez pas qui vous l'a dit.. qui vous l'a chuchoté...Votre rapporteur : Ron R.Jameson