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Event 04 - Secteur 02
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Le Père
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Le Père
UN TEMPS INCERTAIN

∎  Event 04 - Secteur 02 - Mars 1916

Event 04 -  Secteur 02 Embusc10


Milieu de journée, entre North City et Empalme.

Le train est à pleine vitesse. La locomotive blindée ne semble craindre rien ni personne, alors que nous sommes à presque une heure de la Forteresse de Briggs.  Le train comporte une dizaine de wagons dont deux transportant des armes et des munitions pour le Général Olivia Armstrong. Par prudence, ils ne se situe pas en fin de fil, mais un peu plus vers le centre.  A l'arrière, un wagon semble exclusivement réservé au Généralissime et à ses hommes les plus proches. Quand au reste des voitures, elles sont occupées par des soldats bien loin d'imaginer ce qu'il allait se jouer. Une radio est située dans le wagon central.. sous la garde de deux soldats.

Par ici, il y a de nombreux ponts, mais l'un des plus propices à une attaque... semble être celui situé entre Empalme et North city. Le pont n'est pas haut car la zone est légèrement vallonné sous cette couche de neige épaisse. Une route de montagne ne passe pas loin.. C'est là, que Brewster intima à ses hommes de déposer de la TNT.. Le train se rapprochait.. et la détonation se fit, venant à rompre les railles ainsi qu'une partie de la construction en pierre.. Le freinage du train se fait sans sommation et si brutal que certains tombent sur le sol ou se cognent entre eux.   Le train se fige sur la voie désormais impraticable. Pour les occupants du train,  Levak, Rebecca, Alice et Alexis, vous êtes dans le wagon réservé aux officiers, à deux wagons de celui qui contient de l'armement. Il y a des fusils disposés à l'arrière du wagon.



….........................................................

HRP :

Les rails sont fichu, mais le train reste parfaitement debout. Les séparatistes savent que le Généralissime est à l'intérieur et qu'il y a des armes... Si vous agissez contre l'armée en étant militaire, faites attention à ce que vous faîtes, vous pourriez vous retrouver dans une situation délicate si on vous surprend en train d'agir contre le Généralissime.

Il n'y a pas d'ordre de postage, soyez juste logique avec vos partenaires et ce qu'il se passe autour de vous.  Que le sort vous soit favorable.
Vous avez  15 jours pour répondre, au delà, le PNJ postera.
Ce poste concerne :  @Vadim  @Levak Itorus  @Alexis Andersson  @Alice Spitfire  @Hugh Jamis  @Rebecca Catalina
Mer 10 Mai - 21:25
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Alexis Andersson
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Alexis Andersson
Je me plaignais du manque d’activité dans la section 9 que je venais tout juste d’intégrer. Le travail de bureaucrate, très peu pour moi. Bien sûr, c’est important de le faire, ne serait-ce que pour se renseigner sur les agissement d’Amestris. Mais toute la journée. Il y a des limites à ne pas franchir. J’allais allumer une énième cigarette quand l’ordre de service me tomba sur le bureau. J’étais dépêché pour escorter des armes, et le généralissime, jusqu’à Briggs. Rien que ça ? J’étais heureux de retrouver mes montagnes. Et on m’offrait là, une opportunité inespérée d’infiltrer la forteresse, d’y déceler les failles, d’en apprendre plus sur cette blonde terrifiante. Rien qu’à penser à cette femme, je revois sa lame s’abattre sur moi et la douleur à mon visage se ravive. Je porte machinalement la main sur la moitié de masque que je porte pour cacher cette vilaine cicatrice. C’est que la mégère ne m’a pas loupé.

 

Dans le train, me revoilà perdu dans mes pensées. Mes doigts effleurent ma moitié de masque. En regardant défiler le paysage, je revois ces scènes d’après batailles qu’il nous était parfois donné d’observer. Nos hommes qui avaient eu le malheureux courage d’atteindre la forteresse, et avait eu le malheur d’être capturés, étaient tout en haut de cette muraille. Avec les jumelles il était possible de voir la blonde les menacer de sa lame avant de l’abattre sur eux. Leurs corps tombaient alors par-dessus les remparts. Si la majorité d’entre eux avaient eu l’honneur d’être abattu debout et de basculer aussitôt dans le vide, d’autres avaient été abattu après avoir été agenouillé dans la neige. Puis cette femme, que dis-je, ce montre, avait jeté leurs corps des remparts à coups de pieds. A ces souvenirs, mes doigts se crispèrent. J’étais décidé à agir.

Je n’étais pas seul dans ce wagon, d’autres officiers m’accompagnait. Le Lieutenant Itorus, que j’avais rencontré quelques jours plus tôt après avoir été fort aimablement reçut par sa fiancée, et deux jeune femmes : une brune plutôt vulgaire qui semble sauter sur le premier homme venu, et une rouquine plus réservée. Il est assez rare de voir des roux dans ce pays. Je décide donc de la garder à l’œil. Elle peut tout aussi bien être de mon côté que du leur. D’autant plus qu’elle est colonel et alchimiste d’Etat. Vous ne pensiez tout de même pas que je n’aurais pas pris le temps de me renseigner sur les personnes qui partaient en mission avec moi ? Je suis pro des renseignements, pas un amateur. Tenez, je peux même vous dire que la brune est une tireuse d’élite. Elle cherche un mari, mais je n’aimerai pas être dans son viseur pour autant. Bien… Ce petit monde est fort sympathique mais…


-             Je reviens…

Histoire de leur faire entendre que je vais juste aux toilettes. Cela fait déjà un moment que le train roule, et nous ne tarderons plus à arriver à destination. Et je ne compte pas laisser toutes ces armes destiner à tuer les miens arriver à destination. Une fois sortit du wagon, je me dirige malgré tout aux toilettes, du moins le temps que la porte du wagon se referme. Puis je prends la direction des wagons où sont entreposer les armes. J’annonce aux soldats qui gardent les munitions du premier wagon qu’ils peuvent aller se chercher un café. Je vais les remplacer pendant 10 minutes. C’est largement le temps qu’il me faut pour saboter une partie de la cargaison. Malheureusement, je sais que je ne peux pas toute la neutraliser malgré mes nombreux passages. Car depuis le début du trajet, j’effectuais cette manœuvre régulièrement. Pas plus de dix minutes à chaque fois. Et avec un intervalle variable de minimum 50 minutes.

J’avais fini depuis une minute, et fumais une cigarette devant la porte du wagon quand les soldats revinrent à leur poste. Je terminai ma cigarette en leur compagnie avant de regagner mon compartiment. L’odeur de tabac me suivait. Il était un précieux allié pour justifier mes absences. Un arrêt au toilettes suivit d’une cigarette. Je revenais, portant sur moi cette odeur qui ne laissait aucun doute sur mon occupation. Je n’eus pas le temps de m’asseoir que le train freina brusquement et me projeta sur le colonel. Je devais bien reconnaitre qu’elle était asses mignonne. Mais quelque chose me disait que je ne devais pas abuser de la situation. Quand le train s’immobilisa je pus enfin me relever.


-             Navré Colonel.

De toute évidence, je n’étais pas le seul à vouloir empêcher ces armes d’arriver à destination.

______________________________________________________
Event 04 -  Secteur 02 79d24612
Ven 12 Mai - 11:25
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Hugh Jamis
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Hugh Jamis
Mars - 1916
Il y avait un moment que Hugh n'était pas revenu par ici.. Pas depuis qu'il avait découvert la capital d'Amestris.. Mais le voici à présent, sous les ordres de cet ancien Général qui n'était pourtant pas sur les lieux.. Vadim et ses hommes étaient présent, eux aussi... Perché derrière un rocher, le jeune homme vérifiait sa lunette avant de se mettre en place.. Dans le silence qu'offrait la nature et le froid ambiant, Il perçut enfin l'approche du train. Il allait à vive allure et bientôt, il se retrouvera figé ici même. Bien qu'il ne manquait pas de patience, Hugh devait reconnaître qu'il avait terriblement froid... Par moment, il devait faire un gros effort pour ne pas frissonner , ou bien claquer des dents. Ce genre de chose lui ferait manquer ses tirs, hors, il n'en était pas question, pas dans un moment aussi cruciale. Un événement qui pourrait sortir Amestris de sa spirale de violence...

Inspirant un bon coup, Jamis se reprit et se remit en position.. parfaitement installé.. le fusil placé entre ses mains.. Il observait le train. La détonation se fit et bientôt les rails furent sectionnés. La locomotive freina tout ce qu'elle put et s’arrêta juste avant le drame...Le signale était lancé... Dès qu'un soldat pointa le bout de son nez pour riposter, Hugh tira sa première balle pour faire mouche... le blessant à l'épaule. Pas une seule fois, il ne tenta un tir létale. Offrant une protection à distance pour que les assaillants aient leur chance. Dans l'action, le garçon avait oublié le froid, seul ces cibles comptaient et la mission... A chaque tire, il tentait d'être le plus efficace possible..  Depuis sa mission à Central, il ne pouvait plus dire qu'il était un simple mercenaire et ce nouveau chemin ne lui paraissait pas du tout incompatible avec les leçons de son père... Même s'il se disait que ce dernier ne serait pas approbateur de tout ceci, car le gamin prenait bien trop de risque.

Lun 15 Mai - 14:24
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Vadim
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Vadim
Tout le monde était à son poste, depuis son évasion Vadim ne restait pas les bras croisés, surtout au vu de l’événement qui n’allait pas tarder à se produire. Le bruit courait ces derniers temps, l’armée de Brewster avait pour intention de s’en prendre au train de munitions qui devait rejoindre la forteresse de Briggs. Après de longues journée de réflexion, des réunions à n’en plus finir, la petite bande s’était mise d’accord, ils allaient participer à ce casse. Malheureusement une entente devait être mise en place, ils allaient devoir bosser avec ce type. En soit rien n’empêchait les deux camps de faire équipe, Vadim n’avait simplement pas l’intention de suivre des ordres dans une armée.

Son combat repose sur la liberté, pour lui chacun devrait être capable de prendre les décisions nécessaires à son bien être. Peu importe la société, les règles, tout ça ce ne sont que des inventions des plus puissants pour maintenir tout le monde en laisse. Une fois qu’on a goûter au pouvoir, bien souvent les Hommes sont incapable de s’en passer. L’argent, le contrôle toutes ces choses qui rendent le pouvoir intéressant et nécessaire pour certains.

Mais pour cette fois il avait besoin de l’aide et des moyens que possédait l’armée de Brewtser. Comme prévu ils attendaient caché derrière des rochers, face à un pont, ce dernier était censé exploser, ce qui stopperait alors l’avancée du train pour permettre son pillage. Vadim n’avait pas l’habitude des pays froids, il ne pensait pas que cela pouvait être si froid.

Quoi qu’il en soit il devait se concentrer, une détonation venait de retentir, c’était le signal, le pont venait de céder, le train était donc arrêté. Ils devaient agir et vite, Vadim ne prenait pas la peine de cacher son visage, à quoi bon ? Il était déjà recherché dans une bonne partie du pays, si ce n’est partout. Après un échange de regard avec ses camarades il était temps, d’un hochement de tête le petit groupe se mettait à l’action.

Il devait conduire un petit groupe au contact, enjambant d’un bond les rochers derrières lesquels ils étaient planqués, le petit groupe courrait en direction du train immobilisé. Chacun une arme à la main, le premier groupe de pillard Kassim avec une petite quantité d’explosif parvenait à percer un premier wagon. Hugh les couvraient, Vadim avait conscience qu’ils devaient faire vite.

Armé, il tua les soldats qui se présentaient à lui.

“Les gars comme d’habitude on ouvre une brèche, on récupère le butin. On se fout des prisonnier compris ?”

Les explosifs positionnés, il ne manquait plus qu’une charge pour enfin ouvrir ce wagon.

Lun 22 Mai - 15:23
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Levak Itorus
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Levak Itorus

Un temps incertain


Vadim & Levak Itorus & Alexis Anderson & Alice Spitfire & Hugh Jamis & Rebecca Catalina


De Central à Briggs, il n’y a pas cinquante possibilités. On peut y aller à pied si l’on a du temps à perdre, cela laisse le trajet imprévisible si ce n’est les points de départ et d’arrivée. Les véhicules, motorisés où tractés, plus rapides mais aux options plus limitées, permettent de transporter plus d’objets, même si la logistique derrière ce genre d’action s’avère être un enfer. Le train, enfin, est le plus rapide des trois. Impossible à séparer à moins d’être déjà en place, il permet de transférer d’énormes quantités de personnel et de marchandises en un temps record. Son défaut, inaliénable inconvénient, est l’absence de possibilité en cas de pépin. Un itinéraire unique est disponible, laissant à toute force hostile le choix du terrain.

L’armée, tous les pays de toutes les époques de tous les mondes sont d’accord, n’est pas très optimisée en organisation, une défense assez efficace pour lutter contre l’espionnage en soi. L’armée, surtout en Amestris, ne manque cependant pas d’hommes et de matériel. L’armée, pour la protection de ses frontières, est contrainte d’agir avec vitesse et efficacité. L’armée, par une logique absolue, est contrainte de prendre le train pour ravitailler la forteresse du Nord.

Aujourd’hui, le ravitaillement n’est pas commun. Le Généralissime, King Bradley en personne, est présent dans l’un des wagons, nécessitant une hausse impressionnante de sécurité, créant une demande de renfort de la part des autres régions.

C’est ainsi que tu te retrouves dans le wagon des officiers, simple lieutenant fraîchement détaché depuis East City. A tes côtés, quelques têtes te sont plus familières que les autres. Le Major Anderson, pour commencer, te traumatise de par sa simple apparence, fantôme de ton passé incarné chez les gradés. Autant que possible, tu t'arranges pour ne pas le regarder. Non loin de là se trouve Alice Spitfire, Colonel originaire du Sud tout comme toi. Les autres, cependant, ne te disent absolument rien.

Pendant les premières heures de trajet, rien ne s’est passé de particulier, à tel point que tu te permets de sortir un livre de ta musette afin de faire passer le temps. Il s’agit là d’un ouvrage simple, un roman aux intrigues vues et revues, parfait pour se libérer l’esprit après avoir passé bien trop de temps sur l’apprentissage de l’Alchimie et l'affûtage de tes connaissances militaires. Ta canne posée à tes côtés, une montre à gousset dans la même poche que ta flasque remplie, tu lis tant que l’un de tes supérieurs temporaires ne te donne pas d’ordre. Ainsi distrait, tu ne remarques pas, ne fait pas attention, au manège du Major qui semble avoir la vessie en dé à coudre.

Ce que tu remarques sans peine, cependant c’est l’arrêt brutal du véhicule, le crissement strident des roues sur les rails ayant été précédé par un autre bruit, un bruit si souvent entendu que ton esprit le reconnaît immédiatement. Il s’agit d’une explosion, loin devant.

Alors que le Major tombe sur le Colonel, tu manques de peu d’être projeté au sol, ayant gardé les jambes tendues devant toi à ce moment-là. La douleur est réelle, dans tes articulations, et tu récupères la canne du dragon afin de t’en servir avec raison, pour une fois.

Debout, en appui sur ton outil et ton arme en bandoulière, tu regardes autour de toi pour vérifier l'étendue des dégâts avant de t’approcher du combiné interne sans attendre plus d’éléments. Une explosion, quelle qu’en soit l’origine, n’est certainement pas de bonne augure.

Conscient de l’urgence de la situation, tu ne prends pas la peine de consulter tes supérieurs avant de prendre contact avec le wagon des troupes le plus proche de la cargaison. Ta voix tonne avant que la personne ayant décroché ne puisse s’annoncer.

Une section, renfort pour la cargaison.


A peine l’accusé de réception énoncé par le soldat, tu raccroches et te retournes vers les autres et attends les ordres supplémentaires.
Lun 22 Mai - 21:58
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Rebecca Catalina
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Rebecca Catalina
Cela faisait plusieurs heures que nous étions partis de Central pour nous diriger vers Briggs.
Nous devions transporter des armes et des munitions pour le Général Olivia Armstrong. Rien que cela ! Je n’avais jamais rencontré l’ainé de la fratrie Armstrong mais la réputation de la blonde était connue de tous. Le Commandant Alex Louis Armstrong m’en parlait régulièrement comme une personne très forte, d’autres utilisaient le terme « impitoyable et froide telle la glace ».

Je n’avais pas l’habitude de me joindre à ce genre de convoi, mais le Général Grumman avait insisté sur la nécessité de ma présence, en raison de l’importance du chargement et d’une personne qui s’y trouvait, le Généralissime, de son doux nom « King Bradley ».

L’ennuie commençais à me gagner. Mes chers camarades de voiture avaient tous trouvés une occupation. Le Major Anderson passait le clair de son temps entre les toilettes et les pauses cigarettes. A chaque fois qu’il revenait une odeur de tabac embaumait la voiture. Je ne le connaissais pas bien, c’était une personne très discrète, mais qui semblait très observateur. Etais-ce une envie présente qui le gagnait à chaque fois ou la nervosité qui le faisait faire autant de vas et vient ? A la regarder de plus près, c’était un homme fort agréable en apparence, bien qu’il avait un côté ténébreux. Néanmoins, son côté mystérieux ne donnait pas envie de l’aborder.
Le Lieutenant Itorus quant à lui était en pleine lecture. Il semblait être une personne très discrète. Je ne crois pas l’avoir beaucoup entendue durant la première partie du voyage.

J’étais plongé dans mes pensées lorsqu’une détonation non loin de mon wagon se fit entendre, suivit du freinage brutal du train. L’arrêt de la machine était si brutal qu’il me projeta contre le siège en face. Heureusement pour moi il était vide. Le temps de retrouver mon esprit, je m’emparai de mon arme prête à défendre l’expédition.

D’instinct je m’empresse d’aller à la fenêtre afin d’analyser la situation extérieure. Je vois les assaillants armés jusqu’aux dents se diriger droit vers le train. S’en suit des échanges de tirs entre les assaillants et les soldats en positions défensives. Je me choisis un angle stratégique pour avoir dans le viseur tous les pillards qui chercheraient à atteindre le wagon qui contenait l’armement. Je me mis à tirer de suite, en visant à chaque fois un point non vital, afin de les dissuader de continuer leur quête. Avec si peu d’éléments que j’avais à cet instant, je ne voulais pas abattre sans connaître les réelles motivations de ceux-ci. Au loin près des rochers, je vois un reflet brillant miroité. Serait-ce une personne qui s’était cacher derrière ? Un tireur embusqué ? Je n’ai pas eu le temps de plus réfléchir qu’un soldat tombe près de moi. Une tâche rouge commençait à se former sur son épaule droite. Je regarde à nouveau le point lumineux. Le tir devait venir de là. Je décidai de tirer dans cette direction pour avoir le cœur net.

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Event 04 -  Secteur 02 211c4410
Mer 24 Mai - 8:17
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Alice Spitfire
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Alice Spitfire
Event 04 - Secteur 02 - Mars 1916
UN TEMPS INCERTAIN
Alice avait quitté la région du Sud pour une mission un peu spéciale. L’escorte d’un train qui devait emmener des munitions et des armes à Briggs. Elle n’avait jamais mis les pieds dans le nord et cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas quitté le sud. Elle n’était pas à son avantage dans le nord, elle avait du se renseigner sur les minéraux présents dans le secteur pour être sûre que son alchimie fonctionnait.

Elle pouvait fonctionner… de ce qu’elle avait lu, mais bien souvent la théorie et la pratique étaient deux choses différentes. Elle n’était pas seule mais avec des collègues qui venaient aussi de différents horizons. La rouquine était heureuse de voir qu’elle n’était pas la seule avec sa couleur de cheveux, les roux étaient quelques choses de plutôt rare dans le pays.

La longueur de la route commençait doucement mais surement à se faire ressentir. Alice ne savait pas quoi faire, elle était dans le wagon des officiers avec les autres. Elle attendait, les bras croisés sur un siège. Elle avait la tête qui observait l’environnement. Le rouquin était étrange, il faisait des aller-retour depuis un bon moment déjà. Son expérience dans l’armée lui disait de se méfier. Cependant, elle ne s'attendait pas à la suite. Une grosse explosion se faisait entendre et ressentir. UNE EMBUSCADE ?

Lorsque le train s’arrêtait tout à coup, ce fameux rouquin se retrouvait projeter sur elle dans une position… plus que regrettable pour le monsieur. Un bon gros coup de botte devrait lui remettre les idées en place.

« Navrée Major, les armes sont à l’arrière ! vite ! Que ceux qui n’ont pas d’armes aillent se servir, un rapport sur la situation ? »

Après cet ordre, l'Alchimiste d'état, Alice se relevait et repoussait le major sur elle.

« Qu’est-ce que vous faîtes encore là ? Suivez-moi ! » criait Alice sur le Major tandis qu’elle allait rejoindre l’arrière pour s’emparer d’une armes et prendre des nouvelles des autres.

« Tout le monde va bien ? Qu’en-est-il de la marchandise ? » s’inquiétait la Colonel.
Pando
Mer 24 Mai - 20:34
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Le Père
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Le Père
UN TEMPS INCERTAIN

∎  Event 04 - Secteur 02 - Mars 1916
Milieu de journée, entre North City et Empalme.


L’effet de surprise étant passé, les soldats se mettent en position de défense,  le long des parois pour empêcher ces assaillants de parvenir jusqu’au train immobilisé. Un sergent répondit au téléphone de la voiture et interpella quelques hommes pour les diriger rapidement vers l’arrière du train, pour rejoindre la cargaison. Ils passèrent dans la voiture des officiers pour s’y engager..

Le groupe formé par Vadim parvient à se faire un passage, couvert par le Hugh depuis les rochers. Ils ouvrirent une faille dans le Wagon précédemment occupé par une partie des hommes allés renforcé la défense de la cargaison. Certains soldats tombèrent dès le premier échange… Le sergent blessé par l’un des balles de Vadim, se hissa comme il pouvait vers le téléphone…et l’attrapa pour tenté d’appeler celui des Officiers..” ils.. arr...ivent.. Ils... arrivent..…” il répétait cela inlassablement en espérant qu’on l’entende à l’autre bout du fil. Il glissa une main fébrile sous sa veste..… Dos aux adversaires...Ces dernière purent entendre une bruit caractéristique d'une goupille qui est retirée.

Pendant que le reste des hommes de Brewster couvraient les tirs des autres soldats, un second groupe se fraya un chemin par le toit du train, essayant de passer par une ouverture.. qui donnait sur un intérieur un peu plus cossu. Quand ils y entrèrent.. on n’entendit que cri et agonie.. puis… plus rien. Seuls, trois hommes en réchappèrent, n'étant pas encore entré à l'intérieur, ils coururent en sens inverse, passant par dessus les compartiments de la cargaison, pour courir juste au dessus des officiers.. Là, il y avait une autre ouverture pour allé à l'intérieur.


….........................................................

HRP :

Les attaquants : vous savez où se trouve la cargaison d'armes, depuis un appel de la gare de Central, quand les compartiments ont été mise en place. ( il est entre le wagon du Généralissime et celui des officiers, sur 2 wagons)
Groupe Vadim : il y a un wagon qui te sépare des officiers
les Officiers : Des soldats passent dans votre compartiment pour rejoindre la cargaison
Vous ne savez pas ce qu'il s'est passé dans le Wagon supposé du Généralissime.


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Jeu 25 Mai - 11:34
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Hugh Jamis
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Hugh Jamis
Mars - 1916
Tandis que Hugh s'évertuait à iposter contre les soldats qui étaient dans le train. C'est avec une certaine satisfaction qu'il nota la réussit du groupe de Vadim. Ce dernier avait enfin pu créer une brèche dans l'un des compartiments pour s'y engager. Du coin de l'oeil , il aperçu un autre groupe qui touchait au but, préférant toute fois le toit. Les suivant depuis sa lunette, notre mercenaire finit par écarquiller ses pupilles. Qu'est ce qu'il venait de voir là au juste ??? Ils avaient disparu à l'intérieur, mais les trois hommes encore sur le wagon semblèrent paralysé, comme apeuré et repartirent dans l'autre sens. Redressant un peu sa tête, le jeune homme laissa entendre son incrédulité..

➽ Qu'est ce que....


Une phrase restée en suspend, car le sifflement d'une balle se manifesta dans les airs, passant juste au dessus de sa tête.

➽ Bordel ! 


il y avait sans doute un tireur d'élite de l'autre côté et il venait de se faire repérer. Rapidement, Hugh attrapa son arme en roulant sur le flanc pour disparaître derrière un rocher.. et ainsi rompre tout contacte visuel, du moins pendant un temps.. Car il se mit à courir en s'abaissant le plus possible pour rejoindre un autre point de tire qu'il avait repéré avant l'assaut. Il lui fallut tout de même quelques secondes afin de contrôler son souffle, expirant profondément, avant de mettre son fusil en joug... Il bloqua sa respiration puis il riposta à son tour de là, où il pensait que le tireur se trouvait.. La détonation se fit net, résonnant un peu sur les parois des roches...Sa balle passa au travers de la fenêtre..


Sam 27 Mai - 15:18
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Alexis Andersson
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Alexis Andersson
Comme je l’avait pensé, le colonel n’était pas des plus avenante. C’est dommage de gâcher un tel beauté. Après son coup de botte que je reçus en pleine cuisse, je fis comme si la douleur n’était pas présente mais serra les dents. Cette garce se voulait aussi sauvage que la reine des glaces. Que croyait-elle ? Que son grade lui permettait de mépriser les autres ? A moins que ce ne soit son alchimie qui la faisait se sentir supérieure… Elle n’était qu’une Amestrienne. Rien de plus qu’une femme de ce maudit pays que j’ai juré de détruire. En voyant sa chevelure rousse tournoyer devant moi je fus envahit d’une envie irrésistible de l’attraper et de la mettre à genoux. Je voulais lui faire ravaler son orgueil mal placé. Lui donner un avant-goût du sort que je réservais au général Armstrong. Cette pensée me fit décrocher un sourire carnassier qui ne passa sans doute pas inaperçu car la voix cassante de cette sauterelle me ramena à la réalité. Décidément, cette femme ne tenait pas en place. Je rectifiais le geste que j’avais esquissé lorsque je m’imaginais lui tordre le cou pour attraper l’arme qui se trouvait à ma ceinture. Ne laissant rien paraitre de mon envie de meurtre.

Je la suivis sans hâte. Mon regard se posa distraitement sur la croupe de la brunette qui avait sauté de son siège pour s’atteler à ce qu’elle savait le mieux faire : tirer à distance. Visiblement, elle avait trouvé un lièvre à chasser. Mon regard ne bougea pas de cet arrière train, qui, lorsqu’il bougeait pour trouver une position stable, me fit l’imaginer dans un autre contexte. Je me serais volontiers attardé plus longtemps sur le spectacle si la voix du colonel ne me cassait pas d’avantage les oreilles.


-             J’arrive…

Je n’étais clairement pas motivé. Et ce manque d’entrain s’entendait grandement dans ma voix. Et pour cause, je n’avais nulle envie d’arrêter des personnes qui servaient mon intérêt. Le seul problème, c’est que j’étais potentiellement une de leurs cibles. Et ça, ça ne me plaisait pas des masses.

J’entendais des pas au-dessus du wagon, présumant qu’ils venaient pour nous, où les armes. Mais il ne faisait aucun doute qu’ils ne tenteraient pas un seul accès.


-             Pour la cargaison, nous verrons cela plus tard colonel… L’ennemi arrive droit sur nous et nous semblons être un obstacle pour atteindre leur but…

Cela ne m’enchantait pas de me battre, mais j’avais retrouvé un peu de motivation. Je ne comptais pas me laisser tuer ici, ni perdre ce joli postérieur qui se trémoussait à la fenêtre. Et avec un peu de chance… Je pourrais rabattre le clapet de cette rousse. Il n’y avait bien que le cornu qui ne se faisait pas trop remarquer pour le moment, juste devant le téléphone.

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Jeu 1 Juin - 15:20
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Vadim
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Vadim


Event 04



Cette opération était un joyeux bordel, malgré l’effet de surprise, les voleurs rencontraient une résistance féroce et considérable. Les Hommes de Brewster couvrait leurs arrières, une partie du moins, Vadim et son groupe venaient de créer une brèche dans ce maudit wagon. Un combat commençait, alors que le voleur venait d’abattre un soldat, ce dernier eut le temps de prévenir les renforts. Alors que Vadim approchait pour l’abattre une bonne fois pour toute, un bruit caractéristique le poussa à reculer, criant en direction de ses camarades, courant le plus rapidement possible il sortait du wagon, cherchant à se mettre à couvert.

Il ne pouvait pas prendre le risque de se cacher derrière les banquettes une grenade dans un endroit si restreint est dangereuse. Shani était restée en retrait avec les tireurs de Brewtser pour couvrir le reste du groupe. Alors qu’elle s’appliquait à la tâche une situation la sortait de sa concentration, Jamis était repéré.

“Merde !”

Pendant qu’il courait pour changer de position, Shani faisait en sorte de tirer en direction du gêneur. Elle devait lui offrir un moment de répit, qu’il puisse se reprendre, qu’il ait le temps de se concentrer de nouveau. Plus les minutes passaient, plus elle se demandait s’ils n’allaient pas tous mourir ici bêtement.

Kassim lui était planqué avec Vadim au cas où la grenade viendrait à exploser. Depuis leur position Vadim tirait sur tous les ennemis qu’il voyait, il n’avait pas l’intention de rester planqué pendant que les autres s'occupaient du sale boulot. Ils devaient trouver un moyen de contourner ce wagon.

“On attend l’explosion, une fois qu’elle a lieu on cours le plus rapidement possible vers l’avant du train.”

Dit-il à son partenaire de toujours.


   

Jeu 1 Juin - 16:36
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Alice Spitfire
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Alice Spitfire
 Event 04 - Secteur 02 - Mars 1916
UN TEMPS INCERTAIN
Alice souhaitait estimé les dégâts et analyser la situation le plus vite possible pour prendre une décision rapidement. De ce fait, elle remarquait à peine que le Major ne semblait pas l’apprécier plus que ça, surement à cause de son coup. Arrivée à l’arrière du wagon, la colonel s’emparait d’une arme à feu. La rouquine se demandait bien si c’était vraiment les armes qu’ils voulaient. Le geenralisme était dans l’autre wagon. Un petit groupe de soldats venaient de s’introduire dans le wagon, Alice s’armait accroupie derrière un des fauteuils.

Elle alignait son viseur sur un des membres du groupe qui tentait de passer et de s’introduire avant de tirer. Il y avait beaucoup de monde, utiliser l’alchimie maintenant reviendrait à blesser ses camarades et ce n’était pas sûre qu’elle fonctionne. Elle n’avait pas bien analyser le sol et les minéraux là mais…elle laissait cette pensée de côté pour se concentrer plus facilement sur son arme.

Combiens ils étaient ? Combien avaient réussi à passer dans ce wagon ? Elle ne savait pas ? Elle entendait du bruit sur le haut du train comme si quelqu’un marchait sur le toit.

« Il faut les neutraliser, vous avez raison Major, nous sommes un obstacle, mais quel est leur objectif ? la cargaison ou le généralisme ? d’après vous ? » disait Alice en regardant sa collègue brune et les autres officiers présents avec elle.
Alice tirait plusieurs fois sur les personnes qui arrivaient, elle regardait le Major, et Rebecca du coin de l’œil.
Pando
Ven 2 Juin - 18:09
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Levak Itorus
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Levak Itorus

Un temps incertain


Vadim & Levak Itorus & Alexis Anderson & Alice Spitfire & Hugh Jamis & Rebecca Catalina


A côté du téléphone, après ton appel, tu reçois et transmet l’annonce du sergent aux autres officiers, qui n’ont pas perdu de temps avant de se mettre en action.

Le major Andersson suit fidèlement le Colonel, l’autre lieutenant ne perd pas de temps à se mettre en position pour couvrir les alentours. Le travail de transmission terminé, tu te dépêches de récupérer ton fidèle fusil de l’autre bout du wagon, évitant tes supérieurs avec une fluidité à peine trop marquée pour l’état que tu es censé avoir, mais normalement les deux ne devraient pas s’en rendre compte au vu de la situation.

Ton arme en main, les munitions en chambre, tu t'adosses à un mur et te place en position de tireur assis. Tes yeux sont fixés sur l’un des murs du wagon, celui auquel Rebecca tourne le dos, et tu en surveilles les fenêtres.

Colonel. Je prends cet angle.


Tu montre les ouvertures, pour ne pas que les ennemis sur le toit ne puissent être informés de ton orientation, afin que le reste du wagon puisse être coordonné dans les zones de surveillance et de tir.

Finalement, la rousse pose sa dernière question, concernant l’objectif des assaillants.

Aucune idée, mais nous ne les laisserons pas faire.
Lun 5 Juin - 21:48
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Le Père
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Le Père
UN TEMPS INCERTAIN

∎  Event 04 - Secteur 02 - Mars 1916
( TW  +18 Violence) Milieu de journée, entre North City et Empalme.


La grenade finit par exploser, emportant avec elle la vie du Sergent. L'explosion ne fut pas assez puissante pour détruire totalement le compartiment, mais les vitres  se brisèrent de toute part, par le souffle, et la porte en acier vola dans les airs, se plantant tout à côté d'où ce tenaient Vadim et son second.. avant de retomber lourdement sur le sol, dans un son agonisant. Les voitures voisines tremblèrent sous l'explosion dont celle des Officiers.

Les trois rescapés voulurent descendre dans le compartiment, sans réaliser qu'ils feraient face à tout ce beau petit monde qu'était levak, Alice, Rebecca et Alexis.  L'un d'eux se mangea une balle de la part de l'Alchimiste d’État. Mais les deux autres pointèrent leur arme sur la bande et tirèrent directement dans le tas.

« Vous allez crever !!! »

Le tir de Hugh fit mouche cependant et sa balle toucha Rebecca au niveau de l'épaule. Fort heureusement pour elle, la balle passa juste au dessus, manquant sa tête par dessus le marcher.. Mais offrit une belle coupure qui méritera des points de sutures par la suite , et une belle cicatrice en guise de souvenir, si toutefois elle restait en vie.

A l'extérieur, un camion récupérer par des hommes de Brewster, roulait en direction des deux wagons qui devaient contenir la cargaison convoitée. Le compartiment du Généralissime semble particulièrement silencieuse. Les volets avaient été tiré.. bien que du sang marquait quelques vitres...

….........................................................

HRP :

Event 04 -  Secteur 02 Plan10


Il n'y a pas d'ordre de postage, soyez juste logique avec vos partenaires et ce qu'il se passe autour de vous.  Que le sort vous soit favorable.
Vous avez  15 jours pour répondre, au delà, le PNJ postera.
Ce poste concerne :  @Vadim  @Levak Itorus  @Alexis Andersson  @Alice Spitfire  @Hugh Jamis  @Rebecca Catalina
Sam 10 Juin - 12:43
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Vadim
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Vadim


Ingénieuse évasion



Alors qu’ils se trouvaient derrière leur cachette de fortune, les deux voleurs entendaient cette explosion. Le souffle était si important que même à bonne distance ils pouvaient le ressentir, les vitres du wagon volaient en éclat, même la porte blindé venait à se planter à quelques mètres de leur position, retombant lourdement sur le sol. Vadim releva la tête pour observer la situation, il devait trouver une solution et vite, il restait  un wagon d’officier avant d’atteindre celui de la cargaison, ce serait du suicide de forcer le passage. Ils avaient besoin d’une diversion, quelque chose qui tiendrait les officiers occupés, le temps que Vadim se faufile jusqu’au wagon contenant les marchandises.

Vadim allait expliquer un plan à son second, lorsqu’un bruit de moteur attira son attention. Visiblement les hommes de Brewster avaient réussi à voler un camion. Parfait, en roulant en direction de la cargaison ils vont attirer toute l’attention sur leur véhicule, c’était l’occasion rêvée.

“Quand le camion va passer, on va passer de l’autre côté. Nous aurons assez de temps pour atteindre les wagons de cargaison. Tu as toujours des bombes avec toi ? Je suis persuadé qu’ils ne vont pas être si évident que ça à forcer.”

Kassim montrait alors deux bombes qui lui restaient, ainsi que deux fumigènes, les deux hommes échangeaient un regard complice, un sourire, un check du poing avant de se mettre en route. Le camion roulait en direction des wagons de cargaison, monter dans ce véhicule serait certes plus rapide, mais plus dangereux, si l’ennemi parvenait à abattre le camion, tous les passager risquent d’y passer.

Le duo se mettait en route, faisant bien attention de se baisser et de ne pas être visible pour les occupants du train. Pendant que le camion continuait sa course, Vadim et Kassim avançaient le plus rapidement possible. D’un mouvement de main, Vadim faisait comprendre à son ami qu’il devait envoyer un fumigène à travers les vitres du wagon des officiers.

Le chef des voleurs utilisa alors son arme pour tirer un coup dans l’une des vitres, la brisant, Kassim lui envoya le projectile à l’intérieur. Sans attendre de savoir si cela fera effet ou non, ils continuent leur route en courant cette fois. Le coup de feu allait sans doute donner leur position.

Le duo arriva enfin devant l’un des deux wagon contenant la cargaison, Kassim posa rapidement une charge sur ce dernier, l’allumant, les deux voleurs courent se mettre à l’abri et hors de portée une fois la charge allumée. Si cette explosion ne l’ouvrait pas, il était toujours le deuxième, mais l’effet de surprise sera passé et ils perdront ce net avantage.

   

Dim 11 Juin - 12:32
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